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- Après-match
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- Par marc
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Incapable de construire le jeu et de se montrer dangereux, le Racing s'est logiquement incliné face à une solide équipe d'Amiens. Inquiétant.
Fidèle à sa décision prise en début de semaine, Jean-Pierre Papin arrive en Picardie avec un groupe délesté des Ivoiriens Boka et Loué, punis pour avoir fait la fête en discothèque. A ces deux absences, s'est ajoutée au dernier moment celle de Pascal Johansen dont le nom ne figurait même pas sur la feuille de match. Du coup, le coach alsacien aligne une équipe sensiblement remaniée par rapport à celle qui a affronté Dijon une semaine plus tôt. Si la défense et l'attaque son inchangées, le milieu, lui, est bouleversé. Abdessadki (aussi peu en vue ce soir que face à Dijon) joue dans un rôle recentré tandis que Nicolas De Gea et Romain Gasmi fêtent leur première titularisation sur les côtés, respectivement le droit et le gauche.
Le début de match est à l'avantage des Amiénois dont le jeu prudent semble bien déjà bien rodé. Le Racing, lui, peine à construire et seul Gasmi se montre dangereux sur une frappe légèrement enlevée après un bon travail sur le côté gauche. Il est imité par Abdessadki quelques instants plus tard mais le capitaine ne trouve pas le cadre. C'est sans surprise que les locaux ouvrent la marque sur un coup franc concédé bêtement sur le côté droit. Raynier est là pour reprendre le ballon dans la surface strasbourgeoise et crucifier Cassard. 1-0, 24ème, ça s'annonce compliqué.
La 1ère mi-temps reste maîtrisée par les Picards et les deux équipes regagnent les vestiaires sans avoir montré grand chose sur le terrain. La deuxième mi-temps sera globalement à l'avantage des Strasbourgeois, les hommes de Batelli se contentant principalement d'attendre les Bleus dans leur camp et de procéder par contre-attaques. Tactiquement et individuellement à la rue, les Alsaciens semblent impuissants. Même s'ils dominent ce second acte, on ne retiendra guère qu'une frappe de Rangelov bien bloquée par Merville ou une tête de Tum à côté qui s'était déjà distingué par un tir fuyant quelques instants aupravant.
Jamais le Racing n'a été en mesure de poser le jeu et d'inquiéter les Amiénois. Pire, il a montré de grandes carences tactiques et techniques. La défense, déjà peu à son aise face à Dijon, a à nouveau donné des frissons à la grosse soixantaine de supporters strasbourgeois ayant fait le déplacement. A l'image d'Ekobo qui s'emmêle les pinceaux à 20 mètres de son but et qui offre à Buengo un face à face avec Cassard heureusement mal négocié par l'attaquant. Le milieu de terrain lui aussi inquiète. Kantari, propulsé leader à la récupération a multiplié les pertes de balles et les mauvais choix.
Mardi, face à Montpellier (encore battu), c'est déjà un match couperet qui s'annonce. Le Racing n'aura clairement pas le droit de ne pas gagner. Mais en est-il capable ?
Le début de match est à l'avantage des Amiénois dont le jeu prudent semble bien déjà bien rodé. Le Racing, lui, peine à construire et seul Gasmi se montre dangereux sur une frappe légèrement enlevée après un bon travail sur le côté gauche. Il est imité par Abdessadki quelques instants plus tard mais le capitaine ne trouve pas le cadre. C'est sans surprise que les locaux ouvrent la marque sur un coup franc concédé bêtement sur le côté droit. Raynier est là pour reprendre le ballon dans la surface strasbourgeoise et crucifier Cassard. 1-0, 24ème, ça s'annonce compliqué.
La 1ère mi-temps reste maîtrisée par les Picards et les deux équipes regagnent les vestiaires sans avoir montré grand chose sur le terrain. La deuxième mi-temps sera globalement à l'avantage des Strasbourgeois, les hommes de Batelli se contentant principalement d'attendre les Bleus dans leur camp et de procéder par contre-attaques. Tactiquement et individuellement à la rue, les Alsaciens semblent impuissants. Même s'ils dominent ce second acte, on ne retiendra guère qu'une frappe de Rangelov bien bloquée par Merville ou une tête de Tum à côté qui s'était déjà distingué par un tir fuyant quelques instants aupravant.
Jamais le Racing n'a été en mesure de poser le jeu et d'inquiéter les Amiénois. Pire, il a montré de grandes carences tactiques et techniques. La défense, déjà peu à son aise face à Dijon, a à nouveau donné des frissons à la grosse soixantaine de supporters strasbourgeois ayant fait le déplacement. A l'image d'Ekobo qui s'emmêle les pinceaux à 20 mètres de son but et qui offre à Buengo un face à face avec Cassard heureusement mal négocié par l'attaquant. Le milieu de terrain lui aussi inquiète. Kantari, propulsé leader à la récupération a multiplié les pertes de balles et les mauvais choix.
Mardi, face à Montpellier (encore battu), c'est déjà un match couperet qui s'annonce. Le Racing n'aura clairement pas le droit de ne pas gagner. Mais en est-il capable ?
