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- Après-match
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- Par mario-67
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Cette première grosse affiche s'annonçait comme un match engagé, serré, spectaculaire. Ce fut finalement un match assez moyen. On retiendra de cette soirée le tifo des UB90, d'une envergure jamais vue à Strasbourg.
Racing- Le Havre, c'est le match choisi par les UB90 pour le « tifo du centenaire » en l'honneur des 100 ans du Racing Club de Strasbourg. Ce tifo, qui a nécessité des mois de préparation, fut une belle réussite, malgré quelques petits soucis au moment du déploiement des voiles (NDLR : compte rendu « côté tribunes » à venir dans la soirée)
JPP décide d'aligner la paire Cohade-Ekobo à la récupération, Lacour étant forfait. Sinon, mêmes titulaires que lors des matchs contre Créteil et Châteauroux.
Devant 15 800 spectateurs, c'est l'équipe du Havre qui se met très vite en évidence. Dès la 2e minute de jeu, Traoré, lancé en profondeur, part à la limite du hors jeu vers Cassard, le crochète et semble marquer dans le but vide. Mais c'est là que Bellaid sort de nulle part pour tacler le ballon, qui finit sa course dans le petit filet....extérieur. On voit tout de suite que le HAC est un autre calibre que Créteil, Guingamp ou encore Châteauroux.
Cependant, le reste de cette 1ère période est assez fade. On notera une percée en solitaire de Cohade, très précieux, qui se terminera hélas par une frappe bien trop molle pour inquiéter Mandanda, le gardien havrais. A part cela, RAS. Bellaid, ayant semble-t-il compris que les spectateurs s'ennuient un peu, s'en va tacler l'arbitre par derrière. Rafraîchissant. Moins drôle mais tout aussi distrayant, le juge de touche devant la tribune Nord (ou arbitre assistant, selon le langage LFP), qui donne systématiquement remise en jeu pour Le Havre.
Pour mettre de la vitesse dans le jeu, JPP lance coup sur coup Mathlouthi à la place de Perbet, inexistant, et Mouloungui à la place de Gasmi. Mouloungui ne tarde pas à se mettre en évidence. A l'heure de jeu, il prend la défense havraise de vitesse, mais croise trop sa frappe. Sur le contre, Traoré, idéalement servi par Medaci, se retrouve seul au point de penalty. Mais sa reprise de volée s'envole au-dessus de la barre. Le match s'emballe. Dans la minute suivante, le Racing obtient un corner. Abdessadki trouve Mouloungui au premier poteau qui place une tête imparable sous la barre de Mandanda. Dans les tribunes, la crispation cède sa place à l'euphorie.
A la 67eme, Lesage est à deux doigts d'égaliser, sur ce coup franc de 25 mètres, que Cassard réussit à sortir de sa lucarne. Mais ce n'est que partie remise. A dix minutes du coup de sifflet final, l'intenable Traoré lance Fouret, tout juste entré en jeu, qui prend de vitesse la défense strasbourgeoise et glisse le ballon au ras du poteau de Cassard. Les strasbourgeois protestent, réclament une main de Fouret dans sa conduite de balle, mais l'arbitre ne bronche pas.
Dans le temps additionnel, le Racing se rue à l'attaque ; Mathlouthi et Bellaid ont coup sur coup, de la tête, l'occasion de redonner l'avantage au Racing, mais le score ne bougera plus.
Lors de ce match, le Racing n'a pas pu dérouler son jeu comme lors des journées précédentes. On retiendra donc le tifo du centenaire, ainsi que l'envie et la solidité de l'équipe strasbourgeoise. Face à l'une des meilleures attaques de L2, la défense a plutôt tenu la route. L'attaque, un peu en dedans, va être renforcée prochainement par Gameiro, ainsi que par Dimitar « Dynamitko » Rangelov, qui, au vu des prestations fournies, devra tôt ou tard se voir offrir une chance.
Maintenant, il s'agit de ramener des points du périlleux déplacement à Ajaccio, afin d'aborder avec sérénité les deux affiches (Grenoble et Caen) qui se profilent à la Meinau très prochainement.....
JPP décide d'aligner la paire Cohade-Ekobo à la récupération, Lacour étant forfait. Sinon, mêmes titulaires que lors des matchs contre Créteil et Châteauroux.
Devant 15 800 spectateurs, c'est l'équipe du Havre qui se met très vite en évidence. Dès la 2e minute de jeu, Traoré, lancé en profondeur, part à la limite du hors jeu vers Cassard, le crochète et semble marquer dans le but vide. Mais c'est là que Bellaid sort de nulle part pour tacler le ballon, qui finit sa course dans le petit filet....extérieur. On voit tout de suite que le HAC est un autre calibre que Créteil, Guingamp ou encore Châteauroux.
Cependant, le reste de cette 1ère période est assez fade. On notera une percée en solitaire de Cohade, très précieux, qui se terminera hélas par une frappe bien trop molle pour inquiéter Mandanda, le gardien havrais. A part cela, RAS. Bellaid, ayant semble-t-il compris que les spectateurs s'ennuient un peu, s'en va tacler l'arbitre par derrière. Rafraîchissant. Moins drôle mais tout aussi distrayant, le juge de touche devant la tribune Nord (ou arbitre assistant, selon le langage LFP), qui donne systématiquement remise en jeu pour Le Havre.
Pour mettre de la vitesse dans le jeu, JPP lance coup sur coup Mathlouthi à la place de Perbet, inexistant, et Mouloungui à la place de Gasmi. Mouloungui ne tarde pas à se mettre en évidence. A l'heure de jeu, il prend la défense havraise de vitesse, mais croise trop sa frappe. Sur le contre, Traoré, idéalement servi par Medaci, se retrouve seul au point de penalty. Mais sa reprise de volée s'envole au-dessus de la barre. Le match s'emballe. Dans la minute suivante, le Racing obtient un corner. Abdessadki trouve Mouloungui au premier poteau qui place une tête imparable sous la barre de Mandanda. Dans les tribunes, la crispation cède sa place à l'euphorie.
A la 67eme, Lesage est à deux doigts d'égaliser, sur ce coup franc de 25 mètres, que Cassard réussit à sortir de sa lucarne. Mais ce n'est que partie remise. A dix minutes du coup de sifflet final, l'intenable Traoré lance Fouret, tout juste entré en jeu, qui prend de vitesse la défense strasbourgeoise et glisse le ballon au ras du poteau de Cassard. Les strasbourgeois protestent, réclament une main de Fouret dans sa conduite de balle, mais l'arbitre ne bronche pas.
Dans le temps additionnel, le Racing se rue à l'attaque ; Mathlouthi et Bellaid ont coup sur coup, de la tête, l'occasion de redonner l'avantage au Racing, mais le score ne bougera plus.
Lors de ce match, le Racing n'a pas pu dérouler son jeu comme lors des journées précédentes. On retiendra donc le tifo du centenaire, ainsi que l'envie et la solidité de l'équipe strasbourgeoise. Face à l'une des meilleures attaques de L2, la défense a plutôt tenu la route. L'attaque, un peu en dedans, va être renforcée prochainement par Gameiro, ainsi que par Dimitar « Dynamitko » Rangelov, qui, au vu des prestations fournies, devra tôt ou tard se voir offrir une chance.
Maintenant, il s'agit de ramener des points du périlleux déplacement à Ajaccio, afin d'aborder avec sérénité les deux affiches (Grenoble et Caen) qui se profilent à la Meinau très prochainement.....
