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- Après-match
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- Par denpasar
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De timides réactions recueillies après le match nul entre la Berrichonne et le Racing.
Les supporters de la Berrichone de Châteauroux ne sont sans doute pas les plus mal lotis : le stade Gaston Petit permet tout de même l'accueil de 17.000 spectateurs, et chaque tribune est dotée de buvettes. L'équipe a déjà goûté les joies de la Ligue 1, et devrait un jour ou l'autre s'y inviter à nouveau. Quelques grands joueurs ont porté le maillot castelroussin, ou le portent encore, tel Tedy Bertin. Un vide assez sidéral en revanche concernant le net, puisque aucun forum ne permet aux supporters de partager leur passion. Reste donc les compte-rendus du Site Officiel, pour savoir ce qu'ils en disent en style télégraphique.
L'avant-match, stop. « Un soleil épatant, une affiche coquette, deux Brésiliens dans l'entrejeu castelroussin, un enjeu de feu, Il y avait un dimanche de foot fort agréable à vivre. », stop.
La tactique, stop. « Cédric Daury avait promis une équipe d'obédience offensive. Ce n'était pas l'intox, son quatuor offensif était bien là »., stop.
L'enjeu qui tue le jeu, stop. « La Berri semble subir le poids de l'événement. » stop.
« La Berri, étonnamment empruntée, a toutes les peines du monde à mettre de la folie. Et même à se débarrasser d'une tenace fébrilité. Résumons : rien ne va. », stop. « C'est un spectacle irritant car on sent une grosse impuissance berrichonne face aux balèzes défenseurs alsaciens. », stop.
Tum et tout le tutim, stop. « Une hésitation défensive coupable, un relais de Camadini pour Tum et l'attaquant qui, des 20 m, lobe comme à la parade un Fernandez bien trop avancé. (18e, 1-0). », stop. « Strasbourg ne capitule pas et Tum mange la feuille face à Fernandez. Ouf ! Puis le même Tum largue la patrouille mais vendange de nouveau. Re-Ouf! », stop.
Le tournant du match, stop. « Tout s'anime brusquement en cette fin de mi-temps. Il y a d'abord Tum qui est tout près du doublé et du break. Mais sa reprise fracasse le poteau de Fernandez. Dans la foulée, Camadini charge Sako très virilement. Trop pour l'arbitre qui sort le rouge illico. Et pour couronner le tout une main strasbourgeoise, au coeur de la surface, est zappée par le juge de jeu. De quoi alimenter de nouveau cet éternel débat de la main volontaire ou pas. Ou de la compensation. », stop.
L'égalisation heureuse, stop. « Jeu anémié, la Berri va pourtant retrouver de la vie. Grâce à un corner d'orfèvre de Bayod et une tête brevetée d'Allegro (75e, 1-1). Une égalisation qui change tout ? Pas vraiment hélas », stop.
C'est qui les meilleurs, c'est le Racing, stop. « Strasbourg qui fait montre d'une plus grande autorité. », stop. « Un sommet de L2, même animé des meilleures attentions, c'est d'abord un rapport de force. Et des duels à gagner. Et ce sont les Strasbourgeois qui en gagnent le plus. », stop. « À sa force, l'équipe de l'Est ajoute une plus grande maîtrise. », stop. « À dix, Strasbourg gère même mieux le ballon. », stop. « La Berri peut donc se satisfaire de ce point face à une belle équipe aussi, il faut le reconnaître. », stop.
Voilà, c'est fait. La prochaine fois, si des supporters de Chateauroux s'offrent un forum, ce sera vachement mieux !
Les citations de cet article proviennent du Site Officiel de la Berrichonne de Chateauroux.
L'avant-match, stop. « Un soleil épatant, une affiche coquette, deux Brésiliens dans l'entrejeu castelroussin, un enjeu de feu, Il y avait un dimanche de foot fort agréable à vivre. », stop.
La tactique, stop. « Cédric Daury avait promis une équipe d'obédience offensive. Ce n'était pas l'intox, son quatuor offensif était bien là »., stop.
L'enjeu qui tue le jeu, stop. « La Berri semble subir le poids de l'événement. » stop.
« La Berri, étonnamment empruntée, a toutes les peines du monde à mettre de la folie. Et même à se débarrasser d'une tenace fébrilité. Résumons : rien ne va. », stop. « C'est un spectacle irritant car on sent une grosse impuissance berrichonne face aux balèzes défenseurs alsaciens. », stop.
Tum et tout le tutim, stop. « Une hésitation défensive coupable, un relais de Camadini pour Tum et l'attaquant qui, des 20 m, lobe comme à la parade un Fernandez bien trop avancé. (18e, 1-0). », stop. « Strasbourg ne capitule pas et Tum mange la feuille face à Fernandez. Ouf ! Puis le même Tum largue la patrouille mais vendange de nouveau. Re-Ouf! », stop.
Le tournant du match, stop. « Tout s'anime brusquement en cette fin de mi-temps. Il y a d'abord Tum qui est tout près du doublé et du break. Mais sa reprise fracasse le poteau de Fernandez. Dans la foulée, Camadini charge Sako très virilement. Trop pour l'arbitre qui sort le rouge illico. Et pour couronner le tout une main strasbourgeoise, au coeur de la surface, est zappée par le juge de jeu. De quoi alimenter de nouveau cet éternel débat de la main volontaire ou pas. Ou de la compensation. », stop.
L'égalisation heureuse, stop. « Jeu anémié, la Berri va pourtant retrouver de la vie. Grâce à un corner d'orfèvre de Bayod et une tête brevetée d'Allegro (75e, 1-1). Une égalisation qui change tout ? Pas vraiment hélas », stop.
C'est qui les meilleurs, c'est le Racing, stop. « Strasbourg qui fait montre d'une plus grande autorité. », stop. « Un sommet de L2, même animé des meilleures attentions, c'est d'abord un rapport de force. Et des duels à gagner. Et ce sont les Strasbourgeois qui en gagnent le plus. », stop. « À sa force, l'équipe de l'Est ajoute une plus grande maîtrise. », stop. « À dix, Strasbourg gère même mieux le ballon. », stop. « La Berri peut donc se satisfaire de ce point face à une belle équipe aussi, il faut le reconnaître. », stop.
Voilà, c'est fait. La prochaine fois, si des supporters de Chateauroux s'offrent un forum, ce sera vachement mieux !
Les citations de cet article proviennent du Site Officiel de la Berrichonne de Chateauroux.
