- Note
- 0.0 / 5 (0 note)
- Date
- Catégorie
- Côté tribunes
- Lectures
- Lu 1.531 fois
- Auteur(s)
- Par rachmaninov
- Commentaires
- 0 comm.
Contre toute attente, la Meinau ne sonnait pas creux pour un des matches les moins "sexy" de l'année. Officiellement, ce sont près de 17 000 spectateurs qui ont assisté à cette rencontre dans une ambiance parfois bonne.
La météo quasi printanière et les invitations distribuées par le club aux plus jeunes expliquent cette belle affluence un peu surprenante, même si les chiffres officiels doivent exagérer l'affluence réelle. Le kop propose une animation à l'entrée des joueurs, constituée de confettis et de lancer de rouleaux de papier hygiénique, le tout étant accompagné de la banderole suivante : « Jeunesse Ultra », référence aux membres les plus jeunes des UB90 qui ont réalisé ce tifo.
Comme souvent, l'ambiance dans les tribunes est fonction de l'animation sur le terrain. Aussi la 1ère mi-temps n'est-elle pas folichonne en terme d'ambiance, malgré un bon début et une bonne fin de mi-temps, but oblige. Une bonne dizaine de supporters cristoliens arrivent en retard et se font remarquer en agitant leurs drapeaux avec régularité. Côté strasbourgeois seule la partie basse du Kop donne de la voix de façon régulière, le haut du Kop étant assez dépeuplé et toujours parasité par plusieurs « consommateurs d'ambiance » confortablement assis, les mains dans les poches, réservant leurs rares moments d'activité aux sarcasmes et à la critique.
La 2ème mi-temps débute par l'exclusion de Strasser, ce qui déclenche l'ire du kop, qui invite l'arbitre à diversifier ses pratiques sexuelles en Grêce notamment. Passé ce coup de sang, l'ambiance redescend d'un cran, le match devient plus poussif. Jusqu'au dernier quart d'heure de jeu où le match et le stade s'emballent. La tribune Ouest se réveille un peu, accompagne les chants du kop en tapant dans les mains, parfois en chantant, comme sur le « Aux armes », mais sans s'arracher les cordes vocales non plus. A noter la présence de la traditionnelle banderole « Supporter n'est pas un crime ». En fin de match, Tum rate une occasion incroyable ce qui provoque la stupéfaction voire l'hilarité du public. Peu avant le coup de sifflet final, le Kop invite le stade à se lever, et c'est sur ce beau moment d'unité que la fin du match est sifflée.
Comme souvent, l'ambiance dans les tribunes est fonction de l'animation sur le terrain. Aussi la 1ère mi-temps n'est-elle pas folichonne en terme d'ambiance, malgré un bon début et une bonne fin de mi-temps, but oblige. Une bonne dizaine de supporters cristoliens arrivent en retard et se font remarquer en agitant leurs drapeaux avec régularité. Côté strasbourgeois seule la partie basse du Kop donne de la voix de façon régulière, le haut du Kop étant assez dépeuplé et toujours parasité par plusieurs « consommateurs d'ambiance » confortablement assis, les mains dans les poches, réservant leurs rares moments d'activité aux sarcasmes et à la critique.
La 2ème mi-temps débute par l'exclusion de Strasser, ce qui déclenche l'ire du kop, qui invite l'arbitre à diversifier ses pratiques sexuelles en Grêce notamment. Passé ce coup de sang, l'ambiance redescend d'un cran, le match devient plus poussif. Jusqu'au dernier quart d'heure de jeu où le match et le stade s'emballent. La tribune Ouest se réveille un peu, accompagne les chants du kop en tapant dans les mains, parfois en chantant, comme sur le « Aux armes », mais sans s'arracher les cordes vocales non plus. A noter la présence de la traditionnelle banderole « Supporter n'est pas un crime ». En fin de match, Tum rate une occasion incroyable ce qui provoque la stupéfaction voire l'hilarité du public. Peu avant le coup de sifflet final, le Kop invite le stade à se lever, et c'est sur ce beau moment d'unité que la fin du match est sifflée.
