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- Après-match
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- Par fremen-bleu
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Bousculé, mené au score à la mi-temps, le Racing n'en ramène pas moins un précieux match nul (1-1) de son périlleux déplacement à Grenoble, Mouloungui répondant à Kermorgant. Alors, positif ou négatif ce point qui relègue Amiens à 4 longueur
Tout en sachant que ce serait difficile, on attendait ce soir une réaction des hommes de Jean-Pierre Papin après la défaite concédée à Istres (3-2) vendredi dernier. Les Grenoblois qui ont mis fin la semaine passée à l'invincibilité caennaise à d'Ornano et, dans leur bourbier de Lesdiguières, donné le premier coup de pelle à la sépulture des ambitions havraises, étaient annoncés surmotivés. Il s'agissait pour eux à la fois de ne pas fausser le championnat, porter haut les couleurs d'un club qui n'était plus à pareille fête depuis longtemps et se battre pour Yvon Pouliquen poussé vers la porte de sortie, de manière fort peu galante, par l'investisseur nippon.
Chose promise, chose due les locaux débutent le match pied au plancher laissant leurs homologues Strasbourgeois dans les starting-blocks. Les situations chaudes se multiplient sur le but de Stéphane Cassard et c'est en toute logique que Kermorgant ouvre la marque d'une reprise de volée à la 17ème minute et ce pour le plus grand plaisir de la majorité des quelques 6900 spectateurs de cette rencontre. Les hommes de Papin sont incapables de réagir, à l'image d'un Joao Paulo qui écope d'un carton jaune pour simulation, et le score n'évoluera pas jusqu'à la mi-temps sifflée par Pascal Viléo.
Il faut donc attendre la seconde période pour voir nos Bleus sortir la tête de l'eau. Traduisant ses paroles par des actes, l'entraîneur du Racing tente le tout pour le tout en procédant à deux changements dans le sens de l'offensive : Yacine Abdessadki cède sa place à Ali Mathlouthi tandis que Joao Paulo est remplacé par Kevin Gameiro. La rencontre est disputée mais Strasbourg, à l'image d'un Eric Mouloungui remuant, hausse son niveau de jeu. C'est d'ailleurs Mouloungui qui donne à Grégory Wimbée l'occasion de s'illustrer avant de tromper sa vigilance en reprenant de la tête un centre de Renaud Cohade (71ème). On se reprend à croire en un nouveau retournement de situation comme ceux auxquels nous a habitué le Racing depuis le début de la saison mais le score ne bougera plus malgré une fin de rencontre débridée. Il convient de noter la rentrée en toute fin de partie d'un Cyril « le sous-loué » Chapuis de sinistre mémoire...
Rien ne sert de courir il faut partir à point. Voilà un adage qui peut laisser perplexe cette saison du côté de la Meinau. Si la course poursuite s'est avérée plusieurs fois payante cette saison elle n'aura pas suffi à Istres et laisse une impression mitigée ce soir. Face à un adversaire vaillant et pas dénué de talent ce match nul, qui porte le retard d'Amiens à quatre unités, n'est pourtant pas forcément une mauvaise affaire... si et seulement si la saison s'achève par une promotion !
Il faudra pour cela rester intraitable à domicile, à commencer par lundi prochain contre Reims.
Chose promise, chose due les locaux débutent le match pied au plancher laissant leurs homologues Strasbourgeois dans les starting-blocks. Les situations chaudes se multiplient sur le but de Stéphane Cassard et c'est en toute logique que Kermorgant ouvre la marque d'une reprise de volée à la 17ème minute et ce pour le plus grand plaisir de la majorité des quelques 6900 spectateurs de cette rencontre. Les hommes de Papin sont incapables de réagir, à l'image d'un Joao Paulo qui écope d'un carton jaune pour simulation, et le score n'évoluera pas jusqu'à la mi-temps sifflée par Pascal Viléo.
Il faut donc attendre la seconde période pour voir nos Bleus sortir la tête de l'eau. Traduisant ses paroles par des actes, l'entraîneur du Racing tente le tout pour le tout en procédant à deux changements dans le sens de l'offensive : Yacine Abdessadki cède sa place à Ali Mathlouthi tandis que Joao Paulo est remplacé par Kevin Gameiro. La rencontre est disputée mais Strasbourg, à l'image d'un Eric Mouloungui remuant, hausse son niveau de jeu. C'est d'ailleurs Mouloungui qui donne à Grégory Wimbée l'occasion de s'illustrer avant de tromper sa vigilance en reprenant de la tête un centre de Renaud Cohade (71ème). On se reprend à croire en un nouveau retournement de situation comme ceux auxquels nous a habitué le Racing depuis le début de la saison mais le score ne bougera plus malgré une fin de rencontre débridée. Il convient de noter la rentrée en toute fin de partie d'un Cyril « le sous-loué » Chapuis de sinistre mémoire...
Rien ne sert de courir il faut partir à point. Voilà un adage qui peut laisser perplexe cette saison du côté de la Meinau. Si la course poursuite s'est avérée plusieurs fois payante cette saison elle n'aura pas suffi à Istres et laisse une impression mitigée ce soir. Face à un adversaire vaillant et pas dénué de talent ce match nul, qui porte le retard d'Amiens à quatre unités, n'est pourtant pas forcément une mauvaise affaire... si et seulement si la saison s'achève par une promotion !
Il faudra pour cela rester intraitable à domicile, à commencer par lundi prochain contre Reims.
