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- Par kitl
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Dernière étape du "Racing-on the road Tour" : c'est à Luçon que s'est disputé l'avant-dernier chapitre de la saison, intitulé le vendredi de l'Ascension.
Ne Vendée pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué : tel était le message adressé au Racing Club de Strasbourg, contraint de s’imposer à Luçon ce vendredi et d’observer à distance l’affrontement entre le Paris FC et Bourg-Péronnas, qui le devancent au classement. D’observation de Charléty, de ses tribunes clairsemées, des maillots verts vierges de sponsor, vides de blason ou sans noms de joueur côté bressan, il aura le plus souvent été question au cours d’un multiplex artisanal mitonné par le diffuseur exclusif du championnat de National.
Le Racing se présente à Jean-de-Mouzon dans une composition fort classique :
La première période démarre sous le soleil vendéen. Marqué par un but refusé – justement – à Jean-Philippe Sabo, coupable d’un hors-jeu, le début de match semble à l’avantage des Bleus. Personne ne parvient à faire la différence jusqu’à la 45ème minute et l’ouverture du score côté RCS. Mayoro N'Doye signe un nouveau but, de la tête sur une offrande de Sabo. C’est à l’issue de quelques manifestations de joie que les téléspectateurs attentifs auront remarqué le but strasbourgeois. 1-0 à la pause.
La seconde mi-temps démarre tambour battant : Alassane N'Diaye signe le but du 2-0. Comme quoi cette équipe de « N-quelque chose » prêtés par Metz et Arles, aura su se dépouiller en fin de saison pour le Racing. Fort de cet avantage, le Racing se met en tête de gérer, ce qui ne lui a pas tellement réussi cette saison. Mais en face, Luçon perd les pédales, mais gagne Delanoë, nouvel entrant. Les Vendéens laissent des espaces et Stéphane Bahoken n’est pas loin de mettre définitivement le Racing à l’abri.
C’est finalement le seul véritable buteur de l’effectif qui s’en charge : Jérémy Blayac propulse le cuir au fond des cages de Martin, profitant d’un ballon traînant dans les seize mètres. 3-0, plus rien ne peut arriver au RCS, et la réduction du score d’Heyman est anecdotique, si ce n’est une petite piqûre appelant Oukidja à rester concentré.
Les données sont claires : le Racing doit premièrement s’imposer face aux aimables Columérins. Ce qui, très franchement, semble jouable.
Deuxièmement, il faudrait que le CA Bastia fasse mordre la poussière à Paris (i.e. Bastia bat PFC) ou bien que Bourg-Péronnas ne batte pas Boulogne-sur-Mer vendredi prochain (soit N ou 2 dans votre grille Lotofoot).
Un nouveau plan à trois se tiendra la semaine prochaine, on souhaite bien du courage aux réseaux de télécommunications de la rue de l’Extenwoerth pour tenir tout le monde informé.
Le Racing se présente à Jean-de-Mouzon dans une composition fort classique :
La première période démarre sous le soleil vendéen. Marqué par un but refusé – justement – à Jean-Philippe Sabo, coupable d’un hors-jeu, le début de match semble à l’avantage des Bleus. Personne ne parvient à faire la différence jusqu’à la 45ème minute et l’ouverture du score côté RCS. Mayoro N'Doye signe un nouveau but, de la tête sur une offrande de Sabo. C’est à l’issue de quelques manifestations de joie que les téléspectateurs attentifs auront remarqué le but strasbourgeois. 1-0 à la pause.
La seconde mi-temps démarre tambour battant : Alassane N'Diaye signe le but du 2-0. Comme quoi cette équipe de « N-quelque chose » prêtés par Metz et Arles, aura su se dépouiller en fin de saison pour le Racing. Fort de cet avantage, le Racing se met en tête de gérer, ce qui ne lui a pas tellement réussi cette saison. Mais en face, Luçon perd les pédales, mais gagne Delanoë, nouvel entrant. Les Vendéens laissent des espaces et Stéphane Bahoken n’est pas loin de mettre définitivement le Racing à l’abri.
C’est finalement le seul véritable buteur de l’effectif qui s’en charge : Jérémy Blayac propulse le cuir au fond des cages de Martin, profitant d’un ballon traînant dans les seize mètres. 3-0, plus rien ne peut arriver au RCS, et la réduction du score d’Heyman est anecdotique, si ce n’est une petite piqûre appelant Oukidja à rester concentré.
Les données sont claires : le Racing doit premièrement s’imposer face aux aimables Columérins. Ce qui, très franchement, semble jouable.
Deuxièmement, il faudrait que le CA Bastia fasse mordre la poussière à Paris (i.e. Bastia bat PFC) ou bien que Bourg-Péronnas ne batte pas Boulogne-sur-Mer vendredi prochain (soit N ou 2 dans votre grille Lotofoot).
Un nouveau plan à trois se tiendra la semaine prochaine, on souhaite bien du courage aux réseaux de télécommunications de la rue de l’Extenwoerth pour tenir tout le monde informé.
