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- Après-match
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- Par athor
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Séduisant dans le jeu, le Racing est allé chercher sa première victoire de la saison à l'extérieur, sur la pelouse de Tours. De quoi laisser envisager de belles semaines à vivre.
Confronté à une succession de trois matchs en moins d'une semaine, Thierry Laurey a pu vérifier la profondeur de son effectif à l'occasion de la réception de Niort mardi soir, avec la titularisation de ses remplaçants. L'occasion pour certain de marquer des points. Ainsi, la composition de départ a laissé apparaître deux surprises au milieu de terrain : l'apparition de Mayoro N'Doye et d'Ihsan Sacko, à la place de Vincent Nogueira et de Vincent Gragnic :
D'entrée de jeu, le milieu en losange du RCS affirme sa supériorité technique, profitant du gros volume de courses du duo d'attaque Boutaïb-Bahoken, que ce soit au pressing en phase défensive ou dans les appels en phase offensive. La première occasion résulte d'ailleurs d'un beau mouvement entre Stéphane Bahoken et Ihsan Sacko, mais le second ne parvient à concrétiser le bon centre du premier. On retrouve l'ancien Niçois quelque minutes plus tard, tout en opportunisme, qui dépossède du ballon le capitaine tourangeau Gradit avant de frapper dans un angle fermé, bien bouché par Quentin Westberg. En face, le TFC de la L2 peine à se montrer dangereux, et doit se contenter de coups de pied arrêtés, mais le maître artificier Denis Bouanga n'inquiète pas Oukidja.
Le Racing se voit récompenser à la 22ème minute : sur une belle ouverture de Jérémy Grimm au milieu de terrain, Gonçalves hérite du ballon côté droit et centre impeccablement sur la tête de Khalid Boutaïb qui ouvre son compteur alsacien. La mainmise des visiteurs est totale en cette première période, les Strasbourgeois gérant sans problème les quelques offensives adverses, puis ressortant le ballon de superbe manière pour alerter les joueurs offensifs. Le score à la mi-temps aurait d'ailleurs pu être plus lourd, si Ihsan Sacko ou Anthony Gonçalves n'avaient pas manqué de réalisme dans le dernier geste.
A la reprise, Tours tente de sortir la tête de l'eau, et est même tout proche de l'égalisation, mais Cheick Fantamady Diarra manque l'immanquable devant le but d'Oukidja. Un avertissement sans frais pour le Racing, d'autant qu'il repart à l'attaque. A peine trois minutes après cette frayeur, Khalid Boutaïb récupére le ballon dans les pieds d'un défenseur et trouve immédiatement Sacko dans l'axe. Le jeune milieu offensif tente sa chance, mais est contré. En parfait renard, Boutaïb est là pour récupérer le ballon dans la surface et tromper Westberg dans un angle fermé pour le 2-0. En tribune, la petite centaine de supporters strasbourgeois se font entendre de plus belle, dans un stade déjà assez peu garni.
La soirée se déroule donc parfaitement, jusqu'à l'heure de jeu. Touché sur un mauvais contact, Ernest Seka est contraint de quitter ses partenaires et de laisser sa place à Yoann Salmier. Tours semble alors plus en confiance, mais Khalid Boutaïb est là pour calmer leurs ardeurs : sur un nouveau centre de la droite d'Anthony Gonçalvès, l'ancien Ajaccien place sa tête et signe un joli triplé. A ce moment précis, Strasbourg est leader virtuel du classement de L2. Autant dire que dans le parcage ou dans les foyers des supporters, on ne se prive pas d'une bonne enflammade, toutefois rapidement calmée par le double mètre d'Ousseynou Cissé qui réduit la marque de la tête, sur un coup franc de Denis Bouanga. Les locaux tentent alors de pousser pour revenir, en profitant de la désorganisation de l'arrière garde alsacienne, mais celle-ci tient tant bien que mal, à l'image des sorties parfois difficiles d'Alexandre Oukidja. Après Ernest Seka, c'est un autre défenseur, Eric Marester qui sort sur blessure, victime a priori d'un claquage à l'arrière de la cuisse.
C'est finalement le seul point noir de cette soirée en Touraine. Les hommes de Thierry Laurey ont livré une prestation très solide, avec une progression nette dans le jeu et des séquences de construction très intéressantes. Devant, le trio offensif constitué de Khalid Boutaïb, Stéphane Bahoken et Ihsan Sacko s'est montré disponible durant toute la rencontre. Ce début de saison prometteur doit toutefois encore être confirmé face à des adversaires d'un calibre supérieur, notamment dans deux semaines face au Gazélec Ajaccio.
D'entrée de jeu, le milieu en losange du RCS affirme sa supériorité technique, profitant du gros volume de courses du duo d'attaque Boutaïb-Bahoken, que ce soit au pressing en phase défensive ou dans les appels en phase offensive. La première occasion résulte d'ailleurs d'un beau mouvement entre Stéphane Bahoken et Ihsan Sacko, mais le second ne parvient à concrétiser le bon centre du premier. On retrouve l'ancien Niçois quelque minutes plus tard, tout en opportunisme, qui dépossède du ballon le capitaine tourangeau Gradit avant de frapper dans un angle fermé, bien bouché par Quentin Westberg. En face, le TFC de la L2 peine à se montrer dangereux, et doit se contenter de coups de pied arrêtés, mais le maître artificier Denis Bouanga n'inquiète pas Oukidja.
Le Racing se voit récompenser à la 22ème minute : sur une belle ouverture de Jérémy Grimm au milieu de terrain, Gonçalves hérite du ballon côté droit et centre impeccablement sur la tête de Khalid Boutaïb qui ouvre son compteur alsacien. La mainmise des visiteurs est totale en cette première période, les Strasbourgeois gérant sans problème les quelques offensives adverses, puis ressortant le ballon de superbe manière pour alerter les joueurs offensifs. Le score à la mi-temps aurait d'ailleurs pu être plus lourd, si Ihsan Sacko ou Anthony Gonçalves n'avaient pas manqué de réalisme dans le dernier geste.
A la reprise, Tours tente de sortir la tête de l'eau, et est même tout proche de l'égalisation, mais Cheick Fantamady Diarra manque l'immanquable devant le but d'Oukidja. Un avertissement sans frais pour le Racing, d'autant qu'il repart à l'attaque. A peine trois minutes après cette frayeur, Khalid Boutaïb récupére le ballon dans les pieds d'un défenseur et trouve immédiatement Sacko dans l'axe. Le jeune milieu offensif tente sa chance, mais est contré. En parfait renard, Boutaïb est là pour récupérer le ballon dans la surface et tromper Westberg dans un angle fermé pour le 2-0. En tribune, la petite centaine de supporters strasbourgeois se font entendre de plus belle, dans un stade déjà assez peu garni.
La soirée se déroule donc parfaitement, jusqu'à l'heure de jeu. Touché sur un mauvais contact, Ernest Seka est contraint de quitter ses partenaires et de laisser sa place à Yoann Salmier. Tours semble alors plus en confiance, mais Khalid Boutaïb est là pour calmer leurs ardeurs : sur un nouveau centre de la droite d'Anthony Gonçalvès, l'ancien Ajaccien place sa tête et signe un joli triplé. A ce moment précis, Strasbourg est leader virtuel du classement de L2. Autant dire que dans le parcage ou dans les foyers des supporters, on ne se prive pas d'une bonne enflammade, toutefois rapidement calmée par le double mètre d'Ousseynou Cissé qui réduit la marque de la tête, sur un coup franc de Denis Bouanga. Les locaux tentent alors de pousser pour revenir, en profitant de la désorganisation de l'arrière garde alsacienne, mais celle-ci tient tant bien que mal, à l'image des sorties parfois difficiles d'Alexandre Oukidja. Après Ernest Seka, c'est un autre défenseur, Eric Marester qui sort sur blessure, victime a priori d'un claquage à l'arrière de la cuisse.
C'est finalement le seul point noir de cette soirée en Touraine. Les hommes de Thierry Laurey ont livré une prestation très solide, avec une progression nette dans le jeu et des séquences de construction très intéressantes. Devant, le trio offensif constitué de Khalid Boutaïb, Stéphane Bahoken et Ihsan Sacko s'est montré disponible durant toute la rencontre. Ce début de saison prometteur doit toutefois encore être confirmé face à des adversaires d'un calibre supérieur, notamment dans deux semaines face au Gazélec Ajaccio.
