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- Par christou27
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Ce soir, choc de Racing entre des Lensois qui pansent leurs plaies et des Strasbourgeois en pleine euphorie. Présentation d'une équipe en difficulté qui n'est pas celle que la logique voudrait...
Hilton aurait pu jouer à Paris mais ça n'était pas l'assurance de mener une « Simple Life » Alors il s'est tourné vers Lens, comme d'autres avant lui qui voyaient dans ce club éternel ambitieux un bon choix de Carrière. Cette année ne déroge pas à la règle, quelques grosses pointures se sont effectivement engagées dans les rangs artésiens en espérant que leur crédit n'aille pas s'effriter tel un petit Sablé. Aujourd'hui, le Racing Club de Lens a tout de l'effectif aguicheur pour permette à ce Lens lot du Lac d'accrocher le Graal de la Ligue des Champions comme le Martel leur président Gervais (« J'en veux » qu'il dit...)
Et ce n'est pas le départ de cadres comme Itandje (qui ne souhaitait pas Runje son frein à Lens), Keita ou Cousin qui changera la donne.
Si la lance est une arme de jet préhistorique acérée, le Lens version 2007-2008 s'annonce lui aussi affûté. Mais à la différence de son homonyme féminin, le Lens n'a de préhistorique que son entraîneur (893 matchs de L1 au compteur tout de même). Et elle n'a d'ailleurs sur le papier rien d'une équipe en bois.
Les dirigeants ont fait Lacourt à des noms ronflants, qui ont donc été recrutés au mercato, s'ajoutant à l'effectif de qualité déjà en place, pour devenir les fers de Lens de ce Racing. Un Lens qui a à présent, avec trois représentants, un fort accent ivoirien (nous attendrons pour faire la blague du Lens-Grenade, les joueurs de qualité de ce pays ne courant pas les rues...)
Autant de joueurs qui ont a priori jurer Aubeydiance au beau jeu. L'attaque paraît d'ailleurs sacrément flatteuse, Kalou-Aruna c'est du lourd, et d'ailleurs personne ne s'y trompe, on connaît tous la chanson : « Aruna Matata, ces mots signifient que tu vivras ta vie, sans aucun souci... » Un avenir radieux pour Lens ? C'est sûrement ce que vous dirait la diseuse de Bonaventure...
Il faut dire que la saison dernière, le Calais a été mis au Pas avec une simple Coupe Intertoto, alors que les Artésiens pointaient sur le podium à la trêve. C'est donc une équipe que les blessures passées éLens encore qui doit redorer son blason.
Cette même équipe qui a fait d'étonnants premiers pas hésitants dans cette nouvelle L1. Défaits d'entrée par Bordeaux, leur gouRoux d'entraîneur exprime d'emblée son mécontentement et Lens sans ambages : « Il ne faut pas faire le coq qui chante avant d'avoir pondu » Ambiance. Deux nouveaux faux pas face à Paris et Valenciennes, un match en moins, Lens se retrouve donc dans les tréfonds du classement, ce qui n'est clairement pas sa place. Pour les ambitions que se donne le club, c'est déjà trop faible, et pour des Sang et Or, nous sommes plus proches d'une hémorragie que du faste du podium (Ce Sidi, on ne leur Lens pas encore la pierre après trois matchs...) Akalé loin la douce euphorie de la pré-saison...
Echec relatif dans le prologue donc, pour une équipe qui se verrait bien dans le rôle du Lens Armstrong du Tour de la Ligue 1. Et samedi, ce seront les Racingmen (enfin, les bleus) qui seront dopés par un public avide de spectacle. Demont point de vue, je pense qu'on ne peut qu'espérer que Lens pédalera effectivement... mais dans la choucroute.
Et ce n'est pas le départ de cadres comme Itandje (qui ne souhaitait pas Runje son frein à Lens), Keita ou Cousin qui changera la donne.
Si la lance est une arme de jet préhistorique acérée, le Lens version 2007-2008 s'annonce lui aussi affûté. Mais à la différence de son homonyme féminin, le Lens n'a de préhistorique que son entraîneur (893 matchs de L1 au compteur tout de même). Et elle n'a d'ailleurs sur le papier rien d'une équipe en bois.
Les dirigeants ont fait Lacourt à des noms ronflants, qui ont donc été recrutés au mercato, s'ajoutant à l'effectif de qualité déjà en place, pour devenir les fers de Lens de ce Racing. Un Lens qui a à présent, avec trois représentants, un fort accent ivoirien (nous attendrons pour faire la blague du Lens-Grenade, les joueurs de qualité de ce pays ne courant pas les rues...)
Autant de joueurs qui ont a priori jurer Aubeydiance au beau jeu. L'attaque paraît d'ailleurs sacrément flatteuse, Kalou-Aruna c'est du lourd, et d'ailleurs personne ne s'y trompe, on connaît tous la chanson : « Aruna Matata, ces mots signifient que tu vivras ta vie, sans aucun souci... » Un avenir radieux pour Lens ? C'est sûrement ce que vous dirait la diseuse de Bonaventure...
Il faut dire que la saison dernière, le Calais a été mis au Pas avec une simple Coupe Intertoto, alors que les Artésiens pointaient sur le podium à la trêve. C'est donc une équipe que les blessures passées éLens encore qui doit redorer son blason.
Cette même équipe qui a fait d'étonnants premiers pas hésitants dans cette nouvelle L1. Défaits d'entrée par Bordeaux, leur gouRoux d'entraîneur exprime d'emblée son mécontentement et Lens sans ambages : « Il ne faut pas faire le coq qui chante avant d'avoir pondu » Ambiance. Deux nouveaux faux pas face à Paris et Valenciennes, un match en moins, Lens se retrouve donc dans les tréfonds du classement, ce qui n'est clairement pas sa place. Pour les ambitions que se donne le club, c'est déjà trop faible, et pour des Sang et Or, nous sommes plus proches d'une hémorragie que du faste du podium (Ce Sidi, on ne leur Lens pas encore la pierre après trois matchs...) Akalé loin la douce euphorie de la pré-saison...
Echec relatif dans le prologue donc, pour une équipe qui se verrait bien dans le rôle du Lens Armstrong du Tour de la Ligue 1. Et samedi, ce seront les Racingmen (enfin, les bleus) qui seront dopés par un public avide de spectacle. Demont point de vue, je pense qu'on ne peut qu'espérer que Lens pédalera effectivement... mais dans la choucroute.
