RCS - Bordeaux, la revue de web

A moitié satisfait (Dernières Nouvelles d'Alsace, 21/10/2007)
Auteur d'une première période carrément emballante, hier après-midi, le Racing est parvenu à désarçonner Bordeaux. L'avantage pris grâce à Gameiro n'a toutefois pas suffi. A force de croquer des occasions puis de reculer, les Strasbourgeois ont fini par se faire reprendre. Ils ont de quoi nourrir quelques regrets.
Ce matin, le Racing est neuvième avec seize points. C'est bien, même s'il pourra longuement deviser sur l'histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein.

Une bouteille à moitié pleine (L'Alsace, 21/10/2007)
Les Strasbourgeois auraient pu gagner hier après-midi à la Meinau contre Bordeaux, mais auraient pu perdre aussi. À l'arrivée, leur nul (1-1) contre l'un des ténors de la L 1 n'a rien d'infamant.Dans un championnat où la victoire à trois points a un impact capital, le nul est souvent synonyme d'opération blanche. La preuve : le RCS recule de deux rangs.

Le Racing ne se débine pas (Site officiel, 21/10/2007)
Même s'il peut nourrir quelques regrets sur le résultat final, le Racing peut être fier de ce qu'il a montré ce samedi après-midi face à Bordeaux, et du nul obtenu face à un prétendant au titre. Les hommes de Jean-Marc Furlan ont eu de très bonnes séquences de jeu mais ont connu une entame de deuxième période difficile et qui leur a coûté cher au final.
Ce nul les maintient toutefois dans la première moitié du tableau. La suite du calendrier s'annonce tout aussi relevée avec des rendez-vous à Lille, face au PSG et à Monaco.
Ce nul permet au Racing, en tout cas, de rester posté dans la première moitié du classement. Après onze matches en Ligue 1, se maintenir dans cette zone du classement prouve certaines choses sur le jeu et le potentiel de cette équipe strasbourgeoise. D'autres rendez-vous majeurs arrivent dans les prochaines semaines et il faudra défendre chèrement cette place dans le Top 10 de l'élite.

Un point en plus (Kop Ciel et Blanc, 21/10/2007)
En cet après-midi ensoleillé accompagné d'un vent froid venu du Nord, le Racing et les Girondins de Bordeaux se sont quittés sur un score de parité 1-1. Un résultat encourageant pour les bleus, logique et mérité vu la physionomie de la rencontre, et qui a le mérite de conforter la victoire obtenue à Metz. Les bleus se retrouvent désormais à la 9ème place au classement avant de se déplacer à Lille, dans 7 jours.
Alors, que retenir de ce match ? Un point déjà, face à un candidat sérieux à la ligue des champions, c'est toujours ça de pris. Ensuite, dans la manière, on peut dire que le bloc collectif du Racing a été cohérent. Individuellement, on a assisté à relativement peu d'erreurs et à une bonne débauche d'énergie des bleus.

Un bon point en Alsace ! (Site officiel adverse, 21/10/2007)
Grâce à un bon match nul (1-1), les Marine et Blanc reviennent d'Alsace avec un point précieux. Au terme d'un match à deux visages, les Girondins ont fait preuve détermination en imposant leur jeu en seconde période. A la 62ème minute, David Bellion répond ainsi à Gameiro (15e). Bordeaux voyage bien et reste toujours invaincu à l'extérieur cette saison !

On s'en contentera (Site adverse : Direct Bordeaux, 21/10/2007)
Les marines et blancs ont concédé le match nul cette après-midi sur le terrain de Strasbourg. Après une première mi-temps chaotique, on aura pu apprécier la capacité à réagir de Laurent Blanc qui aura fait quelques recadrages sans doute indispensables durant la pause. En effet, c'est un autre Bordeaux que l'on a vu en deuxième période, tant dans l'application et l'implication dans les duels que dans la disposition tactique.
Les Girondins ramènent donc un point de la Meinau. Si on peut être déçu de ne pas avoir pu prendre l'avantage en deuxième mi-temps, il ne faut pas oublier la médiocre prestation des marines et blancs durant les quarante-cinq premières minutes où les strasbourgeois auraient pu définitivement prendre le dessus.

Le Racing manque de maturité (Football 365, 21/10/2007)
Strasbourgeois et Bordelais ont proposé une prestation de qualité à la Meinau. Mais le manque de maturité des premiers, conjugué à une bonne seconde période des Girondins, a débouché sur un score de parité logique.
trasbourg prend l'ascension sur son adversaire. Bordeaux revient progressivement dans la partie mais à la pause, le score n'a pas évolué. Les changements techniques opérés côté girondin par Laurent Blanc changent la physionomie du match. Bordeaux voit ses efforts récompensés à l'heure de jeu par un superbe but de Bellion. Les deux équipes préservent leur cage et se font alors plus défensives. Et fort logiquement, elles se quittent sur un score de parité pour partager les points au classement.

Bordeaux ne lâche pas (Sports.fr, 21/10/2007)
Invaincus à l'extérieur cette saison, les Girondins auront dû batailler ferme pour préserver cette série contre des Strasbourgeois au style toujours insicif.
Les deux équipes se quittent finalement sur un score de parité logique (1-1).
Au classement, les deux équipes se neutralisent et Bordeaux (4e) compte toujours trois points d'avance sur Strasbourg, 9e.

Chacun sa mi-temps (Sport24, 21/10/2007)
Au terme d'une partie très ouverte, Strasbourg et Bordeaux se sont neutralisés (1-1). Un résultat nul logique qui maintient les deux équipes dans le haut du tableau.
Positionnés en 4-2-3-1, les hommes de Jean-Marc Furlan auront une nouvelle prouvé qu'il était possible d'obtenir des résultats en déployant du beau jeu. Mais après avoir effectué un cavalier seul en première période, ils auront connu un relâchement coupable au retour des vestiaires qui aurait même pu leur coûter les trois points. Comme souvent, Cassard aura en tout cas été irréprochable, se montrant notamment particulièrement brillant sur sa ligne.

Strasbourg 1-1 Bordeaux (Maxifoot, 21/10/2007)
Chaque équipe aura sa mi-temps au cours de cette première période. La première période a été à l'avantage des Strasbourgeois qui menaient 1 à 0 grâce à Kevin Gameiro à la pause. Mais en deuxième mi-temps, c'est David Bellion qui égalisait pour les Girondins. A la suite d'un match équilibré, les deux équipes se sont donc quittées sur le score d'un but partout. Strasbourg perd deux places (9e avec 16 points). Bordeaux reste 4e (19 points).

Le Racing a des regrets (Football.fr, 21/10/2007)
Les Strasbourgeois seront sans doute déçus du résultat (1-1) concédé face à Bordeaux à domicile. Les joueurs de Jean-Marc Furlan avaient pourtant ouvert le score par leur attaquant Kevin Gameiro (15e) avant de se faire rejoindre par David Bellion et Bordeaux à l'heure de jeu. Un partage des points logique sur l'ensemble du match puisque chacune des deux équipes a dominé une période. Les Strasbourgeois pourront s'en vouloir de ne pas avoir fait le break, en première période, pour faire douter des Girondins qui restaient sur une défaite à domicile contre l'OL. Le Racing perd deux places au classement et chute au neuvième rang de Ligue 1

Bordeaux s'en sort bien (Eurosport, 21/10/2007)
Mené au score, Bordeaux a trouvé les ressources nécessaires pour arracher le nul à Strasbourg (1-1) lors de la 11e journée de L1. Le coaching tactique de Laurent Blanc a payé et permet aux Girondins de rester à hauteur du trio de tête.
Pas de vainqueur donc entre Strasbourgeois (9e) et Bordelais (4e), un statut-quo finalement bien logique entre deux équipes qui ont joué à se passer allégrement les commandes de la partie. A défaut de gagner, Bordeaux ne perd toujours pas à l'extérieur et au vu du match de samedi, se rassure quelque peu après la claque lyonnaise. Reste désormais à gommer quelques petites imperfections, dont cette fâcheuse tendance à galvauder les entames de rencontres...

Strasbourg et Bordeaux dos à dos (Fifa, 21/10/2007)
Disputé dans le frimas, le 46e match de l'histoire de la L1 entre Strasbourg et Bordeaux a donné lieu à son 23e match nul 1 à 1 et c'est un verdict logique qui a concrétisé le match proposé à la Meinau samedi lors de la 11e journée.
Alsaciens et Girondins ont tour à tour dominé les débats, les premiers en première mi-temps, les seconds après la pause. Ainsi, les protégés de Laurent Blanc conservent leur invincibilité à l'extérieur avec désormais un bilan de trois victoires et trois nuls en déplacement, tandis que ceux de Jean-Marc Furlan demeurent confortablement installés dans une première partie de classement qui lui convient bien.