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- Par kibitz
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Presque plus de buts que de spectateurs mais les absents n'ont eu ni Tor... ni tort.
Un match de Coupe de France contre une petite équipe de L2, au mois de décembre et en pleine crise sportive du Racing, quelle drôle d'idée !
Et pourtant...
Ce « choc » entre deux équipes de L2 avant l'entrée en lice des grosses cylindrées de la L1 aurait pu être prometteur. Oui mais voilà, depuis quelques matchs, le Racing ne fait plus rêver et le stade se vide au fur et à mesure que l'hiver approche. Comme chaque année, serait-on tenté de dire...
Au final, ce « choc » de la Coupe de France, eh bien, le supporter strasbourgeois s'en fiche ou le verra à la télé. Personne autour du stade, personne aux guichets et, évidemment, personne en tribune. D'ailleurs, plusieurs sont fermées et les 2000 spectateurs recensés au final paraissent une estimation plutôt flatteuse tant les gradins ont sonné creux...
Dans le Kop, eh bien, c'est pareil ! La partie basse est condamnée et, dans la partie haute, les rares présents se regroupent pour se motiver et encourager les Bleus et Blancs.
Les ultras apposent une banderole « Justice pour Anthony et Santos », en référence aux supporters nantais et marseillais condamnés par les justices française et espagnole, et... Et en gros c'est tout. Oh, bien sûr, on crie, on hurle, on pousse, on maudit et on exulte, mais force est de constater qu'à 200 dans un stade vide, ça n'a pas le même effet qu'avec un Kop plein dans une Meinau plus remplie.
Le match n'arrange évidemment pas les choses et, à l'approche de la fin, la motivation semble proche de celle des joueurs.
Quelques sifflets achèveront cette soirée vite résumée : pas de coeur, pas de spectateurs.
Et pourtant...
Ce « choc » entre deux équipes de L2 avant l'entrée en lice des grosses cylindrées de la L1 aurait pu être prometteur. Oui mais voilà, depuis quelques matchs, le Racing ne fait plus rêver et le stade se vide au fur et à mesure que l'hiver approche. Comme chaque année, serait-on tenté de dire...
Au final, ce « choc » de la Coupe de France, eh bien, le supporter strasbourgeois s'en fiche ou le verra à la télé. Personne autour du stade, personne aux guichets et, évidemment, personne en tribune. D'ailleurs, plusieurs sont fermées et les 2000 spectateurs recensés au final paraissent une estimation plutôt flatteuse tant les gradins ont sonné creux...
Dans le Kop, eh bien, c'est pareil ! La partie basse est condamnée et, dans la partie haute, les rares présents se regroupent pour se motiver et encourager les Bleus et Blancs.
Les ultras apposent une banderole « Justice pour Anthony et Santos », en référence aux supporters nantais et marseillais condamnés par les justices française et espagnole, et... Et en gros c'est tout. Oh, bien sûr, on crie, on hurle, on pousse, on maudit et on exulte, mais force est de constater qu'à 200 dans un stade vide, ça n'a pas le même effet qu'avec un Kop plein dans une Meinau plus remplie.
Le match n'arrange évidemment pas les choses et, à l'approche de la fin, la motivation semble proche de celle des joueurs.
Quelques sifflets achèveront cette soirée vite résumée : pas de coeur, pas de spectateurs.
