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- Par mickael67e
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Dans la suite de sa série de derbies alsaciens, le Racing revient de Saint-Louis en l'emportant 2-1 et prend ainsi solidement la tête de CFA2. Retour sur ce dernier derby alsacien de la saison pour les Bleus et Blancs.
CFA2 Saint-Louis Racing (1-2) Une leçon de réalisme sur le terrain, Sitterlé confirme qu'il prendra le large (Dernières Nouvelles d'Alsace, 22/04/2012) Les Strasbourgeois ont fait le job avec efficacité, hier à St-Louis. Dominés dans les grandes largeurs en première mi-temps, ils ont miraculeusement atteint la pause sur un score de parité avant de faire sauter le bouchon sur un coup franc de Martin. La montée se rapproche. En coulisses, Sitterlé confirme qu'il se retirera de l'affaire.
Le Racing l'emporte 2-1 à Saint-Louis (L'Alsace, 22/04/2012) Le Racing Club de Strasbourg, chahuté en première mi-temps par une fringante équipe de Saint-Louis/Neuweg, s'est finalement imposé 2 buts à 1 ce soir au Stade de la Frontière, et fait un pas de plus vers la montée en CFA.
Saint-Louis 1 - 2 Strasbourg (Site officiel, 22/04/2012)Des buts de Benjamin Genghini et Thomas Martin donnent la victoire à Strasbourg ce samedi en déplacement à Saint-Louis.
FC Saint-Louis 1-2 RC Strasbourg (StrasTV, 22/04/2012)
Les Strasbourgeois ont eux chaud, mais repartent avec les 4 points de la victoire. Un derby sous une pluie battante qui a tenu toute ses promesses. Après une première mi-temps dominé par le FC Saint-Louis, le Racing a inversé la vapeur en seconde période. Une belle opération pour les hommes de Francois Keller, qui conforte leur place de leader, avant de recevoir Vesoul.
Le Racing sauvé des eaux ! (Total Sport Live, 22/04/2012)
C'était le match que craignait le plus François Keller sur la phase retour. Accrocheur à l'aller, Saint-Louis Neuweg rêvait de faire tomber le Racing Club de Strasbourg. « On veut que le Racing monte mais on veut les battre », voilà la phrase qui revenait à plusieurs reprises avant le coup d'envoi. Après un court round d'observation, c'est Saint-Louis qui prend petit à petit le dessus sur le capitaine Golliard et ses coéquipiers. Même s'il y a peu d'occasions, voire aucune à se mettre sous la dent, ce sont bien les ludoviciens qui mènent la danse.
