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- Après-match
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- Par boogie
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C'est privé de Niang, en délicatesse avec sa cuisse, de Boka, souffrant d'une gastro-entérite, et dans des conditions climatiques cataclysmiques, que le Racing a réussi à prendre le meilleur sur le Sparta Prague. Annonciateur de jours meilleurs ?
C'est sous un soleil improbable et sur une pelouse gorgée d'eau après un premier déluge de pluie mêlée à de la neige que débute cette rencontre. Jacky Duguépéroux aligne derrière les cages gardées par Stéphane Cassard une défense avec Kanté et Fahmi dans l'axe, Deroff à droite et Lacour à gauche. Le milieu est composé de Keita, Johansen, Abdessadki et Farnerud et a pour vocation d'alimenter en ballons une attaque inédite Pagis Le Pen.
Dès les premières minutes, le Racing prend le jeu à son compte et fait très bien circuler le ballon sur un terrain difficile mais encore praticable. Abdessadki est très en forme, et semble vouloir faire taire les critiques lues ici et là. Pourtant, il y a peu d'occasions de but et les gardiens doivent trottiner dans leur surface pour tenter de se réchauffer. La partie baisse d'intensité au bout d'une demi-heure, en même temps que se détériore inexorablement le terrain. Seul un tir lointain des Tchèques permet à Cassard de faire une nouvelle fois la preuve de toute l'étendue de son talent, alors qu'il sort d'une belle claquette une frappe vicieuse à raz de terre. Deroff, qui va jouer tout le match, est à la peine après une entame plutôt réussie. Mais après quelques pertes de balle, il semble perdre pied, ce qui démontre qu'il manque singulièrement de confiance à l'heure actuelle. Juste avant la mi-temps, c'est Le Pen qui est tout prêt d'ouvrir le score sur une belle ouverture de Pagis. Mais le ballon rase le poteau droit du but adverse.
La mi-temps permet aux nombreux courageux venus assister au match de se réchauffer quelque peu, et à mosto de baver devant les jolies knacks haut-rhinoises. Il ne craquera pas, tout comme les deux défenses lors de la première mi-temps.
La seconde mi-temps voit les rentrées de Vercoutre, Devaux, Haggui, Bassila, Camadini, Arrache, Imbs et Mphela, En même temps, le déluge reprend de plus belle, rendant le terrain encore plus impraticable qu'il ne pouvait l'être précédemment. Arrache tente bien de secouer le cocotier praguois, mais ces nombreuses tentatives sont vaines. Difficile en effet de porter la balle lors de ces longues chevauchées dont il a le secret. Et le jeu se ressent de ces conditions climatiques qui virent au cauchemar lorsque des bourrasques de neige viennent rendre presque invisible le ballon. Heureusement, le ballon jaune et bleu de l'équipementier du Sparta Prague permet à la partie de continuer. Les éléments se calment enfin à dix minutes de la fin du match, et permettent à un Mphela jusque là transparent de se signaler et de marquer le seul but de la rencontre d'une belle frappe à l'entrée de la surface de réparation (82ème minute). Il ne se passera plus rien sur le terrain, contrairement aux tribunes où l'apparition de Niang, qui avait fait le déplacement, permet au sénégalais de tester toute l'étendue de sa popularité dans le Haut-Rhin.
Dès les premières minutes, le Racing prend le jeu à son compte et fait très bien circuler le ballon sur un terrain difficile mais encore praticable. Abdessadki est très en forme, et semble vouloir faire taire les critiques lues ici et là. Pourtant, il y a peu d'occasions de but et les gardiens doivent trottiner dans leur surface pour tenter de se réchauffer. La partie baisse d'intensité au bout d'une demi-heure, en même temps que se détériore inexorablement le terrain. Seul un tir lointain des Tchèques permet à Cassard de faire une nouvelle fois la preuve de toute l'étendue de son talent, alors qu'il sort d'une belle claquette une frappe vicieuse à raz de terre. Deroff, qui va jouer tout le match, est à la peine après une entame plutôt réussie. Mais après quelques pertes de balle, il semble perdre pied, ce qui démontre qu'il manque singulièrement de confiance à l'heure actuelle. Juste avant la mi-temps, c'est Le Pen qui est tout prêt d'ouvrir le score sur une belle ouverture de Pagis. Mais le ballon rase le poteau droit du but adverse.
La mi-temps permet aux nombreux courageux venus assister au match de se réchauffer quelque peu, et à mosto de baver devant les jolies knacks haut-rhinoises. Il ne craquera pas, tout comme les deux défenses lors de la première mi-temps.
La seconde mi-temps voit les rentrées de Vercoutre, Devaux, Haggui, Bassila, Camadini, Arrache, Imbs et Mphela, En même temps, le déluge reprend de plus belle, rendant le terrain encore plus impraticable qu'il ne pouvait l'être précédemment. Arrache tente bien de secouer le cocotier praguois, mais ces nombreuses tentatives sont vaines. Difficile en effet de porter la balle lors de ces longues chevauchées dont il a le secret. Et le jeu se ressent de ces conditions climatiques qui virent au cauchemar lorsque des bourrasques de neige viennent rendre presque invisible le ballon. Heureusement, le ballon jaune et bleu de l'équipementier du Sparta Prague permet à la partie de continuer. Les éléments se calment enfin à dix minutes de la fin du match, et permettent à un Mphela jusque là transparent de se signaler et de marquer le seul but de la rencontre d'une belle frappe à l'entrée de la surface de réparation (82ème minute). Il ne se passera plus rien sur le terrain, contrairement aux tribunes où l'apparition de Niang, qui avait fait le déplacement, permet au sénégalais de tester toute l'étendue de sa popularité dans le Haut-Rhin.
