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- Côté tribunes
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Le Racing débutait l'année en clôturant le cycle des matchs aller à domicile. Pour cette première / dernière à la Meinau, les joueurs ont offert une victoire à leurs supporteurs.
Après la mini trêve de Noël, le fan du Racing reprend le chemin de la rue de l'Extenwoerth en ce vendredi soir et se prend à rêver d'un nouveau championnat qui commence comme le proclame François Keller depuis quelques jours. Néanmoins lorsqu'il arrive à la Meinau et pénètre dans le saint des saints, rien n'a vraiment changé par rapport à 2013. La buvette est toujours en place, les UB90 sont toujours dans le quart de virage, certains fans portent même encore le bonnet bleu du dernier match face au Poiré-sur-Vie.
Petite nouveauté tout de même, les chants seront lancés en première mi-temps par 2 nouveaux capos, qui assureront une belle ambiance avec l'aide des joueurs évidement. En seconde mi-temps le capo historique sera de retour au micro comme c'est le cas depuis plus d'une dizaine d'année. S'il n'y a pas d'animation particulière à l'entrée des joueurs, le kop revêt néanmoins ses plus belles couleurs et se pare de nombreux drapeaux et écharpes. Les 2 réalisations sur le terrain seront autant d'occasions de faire monter l'ambiance et d'entrainer le reste du stade à pousser les bleus encore plus fort. Le numéro 9 Columérin s'attirera la bruyante sympathie du public suite au choc avec Guillaume Gauclin et à sa réaction quelque peu agressive en se relevant. Si quelques sifflets l'accompagneront en première mi-temps, cela ne continuera pas après la pause. Dernier fait marquant de cette première mi-temps, 2 étudiantes en photographie qui comme au dernier match, continuent de tirer le portrait des habitués du Kop. Affaire à suivre, pour voir ce que donnera le résultat de cette étrange galerie.
A la quinzième minute une banderole à dominante orange fait son apparition au bas du quart de virage : no to Hull Tigers, no to RcsA. Le tout signé évidement UB90. La signification du message n'étant pas évidente pour les non-initiés, Racingstub tente un décryptage : Hull City est un club qui évolue en premier league anglaise et dont le propriétaire et président a décidé de le rebaptiser Hull Tigers. Quelles peuvent bien être les motivations de Assem Allam, lui qui a pourtant permis à Hull City d'obtenir la promotion en première division l'année passée ?! Eh bien voilà, M. Assem Allam n'aime pas le mot City : « Je déteste le mot City, parce que cela renvoie à quelque chose de commun. City est déjà associé aux clubs de Leicester, Bristol, Manchester et d'autres clubs encore. Je n'aime pas être comme tout le monde ». Il décide donc de rebaptiser le club « Hull Tigers », en utilisant le surnom de l'équipe : les tigres. Un peu comme si Waldemar Kita décidait de renommer le FC Nantes : Les Canaris Nantais. Évidement cela ne passe pas auprès des fans qui manifestent leur mécontentement que ce soit par des banderoles et des chants au stade, ou par des pétitions sur internet avec un seul mot d'ordre : City till we die.
Mais pourquoi donc une banderole pour un club de l'élite anglaise au stade de la Meinau ? Le monde des tribunes est ainsi fait de petites histoires qui s'entremêlent à la grande. Il se trouve que depuis la coupe du Monde 2006, quelques membres des UB90 et quelques supporteurs de Hull City se rendent régulièrement visite sur fond de passion pour le football et la bonne chère. Il était donc normal que les ultras de Strasbourg expriment leur soutien à leurs collègues d'outre Manche. D'autant plus normal qu'en Alsace aussi le président du club a décidé de changer le nom du club malgré les protestations d'une partie des supporteurs. Même si peu de monde en tient compte, le Racing voit encore son nom et son blason défigurés par une affreuse particule.
En fin de match Fransisco Pacho Donzelot stoppe son échauffement et retrouve enfin le terrain après une longue absence. Il est spontanément applaudi, puis son nom est scandé par le public. Une banderole : « Pacho enfin de retour » fait également son apparition en tribune nord. Après que l'arbitre a sifflé la fin de la partie, il sera plus qu'heureux que de lancer la communion avec les fans comme a son habitude, qui plus est pour la première victoire de l'année 2014.
Petite nouveauté tout de même, les chants seront lancés en première mi-temps par 2 nouveaux capos, qui assureront une belle ambiance avec l'aide des joueurs évidement. En seconde mi-temps le capo historique sera de retour au micro comme c'est le cas depuis plus d'une dizaine d'année. S'il n'y a pas d'animation particulière à l'entrée des joueurs, le kop revêt néanmoins ses plus belles couleurs et se pare de nombreux drapeaux et écharpes. Les 2 réalisations sur le terrain seront autant d'occasions de faire monter l'ambiance et d'entrainer le reste du stade à pousser les bleus encore plus fort. Le numéro 9 Columérin s'attirera la bruyante sympathie du public suite au choc avec Guillaume Gauclin et à sa réaction quelque peu agressive en se relevant. Si quelques sifflets l'accompagneront en première mi-temps, cela ne continuera pas après la pause. Dernier fait marquant de cette première mi-temps, 2 étudiantes en photographie qui comme au dernier match, continuent de tirer le portrait des habitués du Kop. Affaire à suivre, pour voir ce que donnera le résultat de cette étrange galerie.
A la quinzième minute une banderole à dominante orange fait son apparition au bas du quart de virage : no to Hull Tigers, no to RcsA. Le tout signé évidement UB90. La signification du message n'étant pas évidente pour les non-initiés, Racingstub tente un décryptage : Hull City est un club qui évolue en premier league anglaise et dont le propriétaire et président a décidé de le rebaptiser Hull Tigers. Quelles peuvent bien être les motivations de Assem Allam, lui qui a pourtant permis à Hull City d'obtenir la promotion en première division l'année passée ?! Eh bien voilà, M. Assem Allam n'aime pas le mot City : « Je déteste le mot City, parce que cela renvoie à quelque chose de commun. City est déjà associé aux clubs de Leicester, Bristol, Manchester et d'autres clubs encore. Je n'aime pas être comme tout le monde ». Il décide donc de rebaptiser le club « Hull Tigers », en utilisant le surnom de l'équipe : les tigres. Un peu comme si Waldemar Kita décidait de renommer le FC Nantes : Les Canaris Nantais. Évidement cela ne passe pas auprès des fans qui manifestent leur mécontentement que ce soit par des banderoles et des chants au stade, ou par des pétitions sur internet avec un seul mot d'ordre : City till we die.
Mais pourquoi donc une banderole pour un club de l'élite anglaise au stade de la Meinau ? Le monde des tribunes est ainsi fait de petites histoires qui s'entremêlent à la grande. Il se trouve que depuis la coupe du Monde 2006, quelques membres des UB90 et quelques supporteurs de Hull City se rendent régulièrement visite sur fond de passion pour le football et la bonne chère. Il était donc normal que les ultras de Strasbourg expriment leur soutien à leurs collègues d'outre Manche. D'autant plus normal qu'en Alsace aussi le président du club a décidé de changer le nom du club malgré les protestations d'une partie des supporteurs. Même si peu de monde en tient compte, le Racing voit encore son nom et son blason défigurés par une affreuse particule.
En fin de match Fransisco Pacho Donzelot stoppe son échauffement et retrouve enfin le terrain après une longue absence. Il est spontanément applaudi, puis son nom est scandé par le public. Une banderole : « Pacho enfin de retour » fait également son apparition en tribune nord. Après que l'arbitre a sifflé la fin de la partie, il sera plus qu'heureux que de lancer la communion avec les fans comme a son habitude, qui plus est pour la première victoire de l'année 2014.
