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- Après-match
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- Par klaus
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C'est dans un stade maudit pour lui et devant plus de 30000 spectateurs que le Racing est allé reprendre un peu de confiance égarée en route depuis la nouvelle année en arrachant le point du match nul dans les arrêts de jeu.
Huit jours après la défaite face à Sochaux, le Racing se rendait chez sa bête noire, le FC Nantes, chez qui il n'a plus gagné depuis la saison 1970-1971.
En effet, en 32 confrontations entre les Canaris et les Strasbourgeois, les Nantais se sont imposés à 22 reprises, 8 matchs nuls et seulement...2 victoires pour le Racing. Devant un carré d'une bonne cinquantaine de supporters strasbourgeois ayant fait le long chemin jusqu'en Loire Atlantique, la tâche de nos protégés s'avérait ainsi très périlleuse face à une équipe en bonne forme en ce moment et bénéficiant du retour gagnant du Roumain Viorel Moldovan.
Le match commence par une minute de silence en l'honneur de Jacques Georges, ancien président de la FFF et de l'UEFA, décédé au courant de la semaine. Les Nantais prennent rapidement les choses en main et ont l'emprise sur le début du match. Le Racing semble préférer voir venir et essayer de bien défendre, avec un milieu dense.
La première occasion nantaise intervient à la 6e minute, où sur un centre de Vahirua, Moldovan ne peut reprendre, gêné qu'il est par Camadini. Au fil des minutes, le Racing reste toujours aussi hésitant et les deux attaquants que sont Niang et Chapuis sont trop isolés. La domination nantaise va crescendo, même si à la 17e minute, Niang est injustement sifflé en position de hors jeu après un excellent service de Camadini.
Le RCS revient progressivement dans la partie en étant bien appliqué. Malheureusement ce léger mieux sera brisé par le but somptueux inscrit par Frédéric Da Rocha à la 24e minute de jeu, où bien servi par Yapi Yapo, il expédie d'un extérieur du pied droit le ballon au fond des filets, malgré l'intervention de Vincent Fernandez, qui ne peut que dévier le tir sur le poteau. A ce moment là, les statistiques sont très défavorables au Racing, puisque le FCNA a remporté 7 de ses 8 matchs quand il a ouvert le score. Suite à ce but, le Racing est à la peine et la possession du ballon demeure toujours autant nantaise. Néanmoins les bleus et blancs ne se désunissent pas et essayent de construire du jeu pour revenir dans le match. La mi-temps est sifflée sur un avantage d'un but pour les Nantais.
Les joueurs strasbourgeois reviennent des vestiaires avec de bien meilleures intentions et à la 46e minute Fabrice Ehret place un magnifique frappe sur la barre transversale d'un Landreau complètement battu... Le RCS est bien plus entreprenant et bénéficie à présent de l'avantage du vent. Il joue également plus haut, avec tous les risques que cela comporte.
A la 52e Chapuis est magnifiquement lancé par un excellent Pontus Farnerud mais perd son duel face à Landreau. Deux minutes plus tard c'est cette fois un bon Vincent Fernandez qui vient chercher le cuir dans les pieds de Vahirua. Vers l'heure de jeu, la neige se met à tomber. Est-ce un signe divin pour les Strasbourgeois ? En tout cas, ils ne baissent pas les bras et montrent de bonnes intentions, avec une recherche perpétuelle du mouvement. Chapuis se montre moins discret et Niang prend à présent plus la profondeur et les espaces.
A la 60e minute, le Racing obtient un excellent coup franc à l'entrée de la surface nantaise. La frappe de Niang est contrée par Fae, mais elle revient sur la tête de Chapuis qui ne peut tromper Landreau, qui se couche bien.
Malgré, de façon générale, une seconde mi-temps de moins bonne facture que la première, Nantes redevient progressivement plus dangereux, d'abord par un tir de Moldovan contré par un Drobny omniprésent, puis par un centre de Vahirua bien intercepté par Fernandez. Les conditions climatiques se dégradent de plus en plus et c'est peut être une chance pour le Racing, qui met à présent ses dernières forces dans la bataille.
A la 82e minute Drobny effectue une magnifique percée en plein coeur de la défense nantaise et obtient un coup franc à la limite de la surface de réparation. Nantes souffre de plus en plus et commet de nombreuses fautes. Le Racing quant à lui se montre plus offensif avec les rentrées conjuguées de Mouloungui et de Kobilyk en fin de rencontre, associées à celle plus précoce du cadet des Farnerud à la place de Camadini. Mais fatalement le Racing se découvre et sur un corner, Moldovan d'abord, et Pujol ensuite, sont à deux doigts de marquer le but du KO.
Dans les arrêts de jeu, le Racing donne tout pour arracher le point du match nul et après un centre de Chapuis détourné en corner par Landreau, Mario Yepes craque sous la pression strasbourgeoise et marque contre son camp à la 92e minute sur un corner bien tiré par Kobylik, qui avait fait tant de mal aux Canaris au match aller.
Le Racing a finalement su arracher un point en terre nantaise grâce à une seconde mi-temps de qualité. Le résultat semble logique, même si cette égalisation en toute fin de match est heureuse, les deux équipes ayant chacune eu leur mi-temps.
En effet, en 32 confrontations entre les Canaris et les Strasbourgeois, les Nantais se sont imposés à 22 reprises, 8 matchs nuls et seulement...2 victoires pour le Racing. Devant un carré d'une bonne cinquantaine de supporters strasbourgeois ayant fait le long chemin jusqu'en Loire Atlantique, la tâche de nos protégés s'avérait ainsi très périlleuse face à une équipe en bonne forme en ce moment et bénéficiant du retour gagnant du Roumain Viorel Moldovan.
Le match commence par une minute de silence en l'honneur de Jacques Georges, ancien président de la FFF et de l'UEFA, décédé au courant de la semaine. Les Nantais prennent rapidement les choses en main et ont l'emprise sur le début du match. Le Racing semble préférer voir venir et essayer de bien défendre, avec un milieu dense.
La première occasion nantaise intervient à la 6e minute, où sur un centre de Vahirua, Moldovan ne peut reprendre, gêné qu'il est par Camadini. Au fil des minutes, le Racing reste toujours aussi hésitant et les deux attaquants que sont Niang et Chapuis sont trop isolés. La domination nantaise va crescendo, même si à la 17e minute, Niang est injustement sifflé en position de hors jeu après un excellent service de Camadini.
Le RCS revient progressivement dans la partie en étant bien appliqué. Malheureusement ce léger mieux sera brisé par le but somptueux inscrit par Frédéric Da Rocha à la 24e minute de jeu, où bien servi par Yapi Yapo, il expédie d'un extérieur du pied droit le ballon au fond des filets, malgré l'intervention de Vincent Fernandez, qui ne peut que dévier le tir sur le poteau. A ce moment là, les statistiques sont très défavorables au Racing, puisque le FCNA a remporté 7 de ses 8 matchs quand il a ouvert le score. Suite à ce but, le Racing est à la peine et la possession du ballon demeure toujours autant nantaise. Néanmoins les bleus et blancs ne se désunissent pas et essayent de construire du jeu pour revenir dans le match. La mi-temps est sifflée sur un avantage d'un but pour les Nantais.
Les joueurs strasbourgeois reviennent des vestiaires avec de bien meilleures intentions et à la 46e minute Fabrice Ehret place un magnifique frappe sur la barre transversale d'un Landreau complètement battu... Le RCS est bien plus entreprenant et bénéficie à présent de l'avantage du vent. Il joue également plus haut, avec tous les risques que cela comporte.
A la 52e Chapuis est magnifiquement lancé par un excellent Pontus Farnerud mais perd son duel face à Landreau. Deux minutes plus tard c'est cette fois un bon Vincent Fernandez qui vient chercher le cuir dans les pieds de Vahirua. Vers l'heure de jeu, la neige se met à tomber. Est-ce un signe divin pour les Strasbourgeois ? En tout cas, ils ne baissent pas les bras et montrent de bonnes intentions, avec une recherche perpétuelle du mouvement. Chapuis se montre moins discret et Niang prend à présent plus la profondeur et les espaces.
A la 60e minute, le Racing obtient un excellent coup franc à l'entrée de la surface nantaise. La frappe de Niang est contrée par Fae, mais elle revient sur la tête de Chapuis qui ne peut tromper Landreau, qui se couche bien.
Malgré, de façon générale, une seconde mi-temps de moins bonne facture que la première, Nantes redevient progressivement plus dangereux, d'abord par un tir de Moldovan contré par un Drobny omniprésent, puis par un centre de Vahirua bien intercepté par Fernandez. Les conditions climatiques se dégradent de plus en plus et c'est peut être une chance pour le Racing, qui met à présent ses dernières forces dans la bataille.
A la 82e minute Drobny effectue une magnifique percée en plein coeur de la défense nantaise et obtient un coup franc à la limite de la surface de réparation. Nantes souffre de plus en plus et commet de nombreuses fautes. Le Racing quant à lui se montre plus offensif avec les rentrées conjuguées de Mouloungui et de Kobilyk en fin de rencontre, associées à celle plus précoce du cadet des Farnerud à la place de Camadini. Mais fatalement le Racing se découvre et sur un corner, Moldovan d'abord, et Pujol ensuite, sont à deux doigts de marquer le but du KO.
Dans les arrêts de jeu, le Racing donne tout pour arracher le point du match nul et après un centre de Chapuis détourné en corner par Landreau, Mario Yepes craque sous la pression strasbourgeoise et marque contre son camp à la 92e minute sur un corner bien tiré par Kobylik, qui avait fait tant de mal aux Canaris au match aller.
Le Racing a finalement su arracher un point en terre nantaise grâce à une seconde mi-temps de qualité. Le résultat semble logique, même si cette égalisation en toute fin de match est heureuse, les deux équipes ayant chacune eu leur mi-temps.
