[2009-2010] Châteauroux - RCS | Avant-match
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hyrkaCitation: Une dernière stratégie consiste à monopoliser le ballon pour empecher toute action castelroussine. Pour cela, il existe la stratégie de la Tortue, empruntée aux cohortes de légionnaires romains:
C'est chaud ! :D -
La tortue oui mais pas en avançant vers le but adverse, c'est de la provocation ! Le coin du terrain par contre est l'endroit idéal pour enterrer un ballon pendant 90 minutes ou presque. Pour éviter les corners, le mur défensif ménagera un entonnoir dans lequel les joueurs castelroussins seront contraints de s'engouffer. Là, il se prendront un tire de Sikimic dans la tête, touche pour Strasbourg, reformation de l'entonnoir, nouvelle balle de Sikimic dans la tronche d'un castelroussin et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il n'y ai plus un adversaire avec un cerveau intact sur le terrain. On pourra même se permettre l'un ou l'autre grand ballon en avant dans les dernières secondes sur Gueye ou Gargorov.
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pierrelouis a écrit, le 2010-05-11 12:45:49 : oui toutes les équipes ont enchainé des matchs tout les 3 jours
Oui bien entendu, mais ce n'est pas le propos.
roquettesyntaxe se plaignait que des jeunes comme Brahmia, Gueye et Othon soient un peu émoussés.
Et bien, je lui ai répondu que cela peut sembler normal pour des jeunes qui effectuent leur première saison complète en pro et qui qui doivent à sa conclusion, encore enchainer trois matches tous les trois jours. Donc, c'est évident que au bout du 2e et surtout 3e match que leur physique soit entamé.
Mais avec la semaine complète de récupération, ils devraient à nouveau avoir récupéré et être d'aplomb pour aborder le match de Chateauroux.
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Puisses-tu avoir raison!! Emoussés ou pas, je pense qu'il y a 2 jeunes qui restent indiscutables c'est Gueye et Othon respectivement pour le sens du but et de la passe qu'ils sont capable de faire parler à tout moment. Tout le reste n'est que chaos et incertitude pour moi.
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LA stratégie du nul est géniale, si Metz gagne...
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Moi j'ai une stratégie si on perds!!!!Vers la 88 eme on envahie le terrain comme ca chateauroux a match perdu sur tapis vert et nous on reste en L2.Alors merci qui!!!!!!!!!!
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Si seulement c'était possible... je te rassure, ça marchera pas, ça serait trop facile
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ca serait trop bien si ca marcherait mais ca m'etonnerait
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ben a nantes ils étaient rentré sur le terrain une année,ils avaint pas pu reprendre le match et avait perdu 3-0 sur tapis verts
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Dsl du HS mais il reste une place au départ de Colmar dans une caisse, si quelqu'un est interessé MP, le prix tournera autour de 40 50 neuneu on verra pas calculé encore.
En route pour LE match du racing! -
De mon côté n'ayant malheureusement pas pu annuler ou décaler un rdv ce vendredi,même si ce n'est pas faute d'avoir essayé,je regarderai la rencontre à la télé avec mon écharpe autour du cou et un petit verre.. car j'en crois que j'en aurai bien besoin.
Enfin ça me fait bien c.... tout de même de ne pas y être car j'ai l'impression que le Racing va vivre un tournant dans son histoire,à savoir que soit ça se passe mal et derrière on pourra craindre le pire pour l'avenir du club,soit il arrache ce maintien et aura l'occasion par la suite de peut être prendre un nouveau départ.
Enfin quoi qu'il en soit ils seront quelques dizaines sur place et plusieurs milliers à travers l'Alsace à croiser les doigts ce vendredi.
Allez les bleus,faites-le pour tous ceux qui aiment le Racing ! -
J'ai la sensation que d'heure en heure le contingent de supporters Strasbourgeois se rendant à Châteauroux augmente.
Perso, je viendrai de Paris, juste pour le match, et retour après.
Soyons nombreux, car l'heure est aussi grave qu'historique.
D'autant que si l'on se maintient je suis convaincu qu'une nouvelle erre
démarrera. Et pas impossible de retrouver durablement la L1 en mai 2011.
Ce match a une importance colossale !
Tous à Châteauroux, pour crier plus fort que les cestelroussins. -
Echos Janin n'est pas fébrile
Comme au coeur de la tempête hivernale, Pascal Janin s'efforce de rester zen et de faire abstraction des conséquences terribles que pourrait avoir un échec du Racing vendredi à Châteauroux. « Je sens la pression et l'inquiétude monter autour de nous. Mais pour le moment, en mon for intérieur, je ne ressens pas cette pression. Quand bien même ce serait le cas, je ferais en sorte de ne pas la montrer. Un entraîneur fébrile, s'il ne masque pas ses sentiments, communique forcément sa fébrilité au groupe. Pour moi, c'est inconcevable. L'attitude d'un coach a une influence sur le comportement de son équipe et je ne veux surtout pas que cette influence soit négative. »
Othon incertain.Au repos la veille, Quentin Othon a testé hier le genou gauche qui le titille depuis des mois. Pour le jeune milieu de terrain, l'essai n'a pas été concluant du tout. « Ça ne va pas trop bien et je ne sais pas si je pourrai jouer », soupire-t-il. « Je lui ai posé la question au retour des vestiaires quand il était entre les mains des kinés. Ill m'a dit que ça n'allait pas », confirme Pascal Janin. « S'il ne peut pas s'entraîner ce mercredi, ce sera compromis. » L'ex-international espoirs, qui avait subi une arthroscopie du ménisque la saison passée, pourrait être réopéré durant la trêve pour nettoyer un genou encombré par un morceau flottant de cartilage. « Il serait alors absent trois semaines », détaille le médecin du club François Piétra. « Mais on va le strapper ce mercredi matin et faire un essai. J'espère que ça passera. »
Les jeunes à la rescousse. Pascal Janin a organisé hier sur le terrain annexe une opposition à onze contre onze. Hormis Othon, les joueurs ménagés la veille (Rodrigo, Sikimic, Ledy) y ont participé. Pour faire le nombre, le technicien a fait appel aux jeunes du centre, Nouha Dicko, Billy Ketkeophomphone, Cyriaque Rivieyran et Nicolas Dreyer. Il a testé plusieurs formules offensives (De Carvalho ou Brahmia à droite, Gueye ou Ledy dans l'axe en soutien, De Carvalho ou Khiter à gauche). Simon Zenke est resté en pointe dans l'équipe des titulaires durant toute la partie. Un signe pour vendredi ? « Ce qui est sûr, c'est que le secteur offensif tournera autour de ces joueurs-là (Ndlr : plus Othon s'il est opérationnel) et que les autres n'entrent pas dans mes plans pour l'équipe de départ », annonce le coach.
Trois bus de supporters à Châteauroux. Trois bus se rendront à Châteauroux : deux pour les UB 90, un pour le Kop Ciel et Blanc qui, pour encourager les Bleus lors de ce match de tous les dangers, a décidé d'offrir le voyage à ses membres. Les supporters du Club central se déplaceront, eux, en minibus et en véhicules particuliers. 200 Strasbourgeois environ sont attendus dans l'Indre.
L'Alsace -
« Ne pas calculer »
A 48 heures de la rencontre capitale à Châteauroux, les joueurs du Racing ne parlent que de maintien en Ligue 2. Et donnent quelques indications sur la façon dont ils comptent s'y prendre pour arracher la décision vendredi, dans le Berry.
« Là on n'a plus le choix : ça passe ou ça casse », lance Mamadou Bah. Le jeune milieu récupérateur résume ainsi la situation du Racing, à 48 heures de cette 38e et dernière journée de Ligue 2.
« Tout oublier »
Et le Guinéen assure que son équipe a les clés pour que « ça passe », justement. « Je pense qu'il faut tout oublier, ne pas penser du tout à la saison et se concentrer uniquement sur ce match », expose-t-il. Et même « si la rencontre va être compliquée, il faudra rester concentrés et attentifs », précise encore Mamadou Bah.
« Dans un match comme cela, il ne faut pas calculer », renchérit Basile de Carvalho. L'attaquant prêté par Brest sait de quoi il parle quand il s'agit de jouer le maintien lors de l'ultime journée, car il a déjà vécu cette situation stressante avec l'équipe du Finistère, en 2006/2007.
« On jouait contre Reims et il fallait absolument gagner, on était dans la zone rouge. C'était un peu différent tout de même, parce qu'on était à domicile. On avait rapidement marqué et ça nous avait libérés », se souvient l'avant-centre.
Bref, aller de l'avant et ne pas se contenter de gérer derrière, telle serait la solution. « Je ne vois pas un match nul, il faut qu'on gagne. Je ne veux pas compter sur les autres résultats », souligne Bah en évoquant lui aussi un match couperet, celui joué par le Racing, l'an passé, à Montpellier. Et c'est bien pour cela qu'il se montre ambitieux. « L'an dernier, on était parti pour jouer le nul à la Mosson. Résultat, on a perdu », rappelle le milieu de terrain guinéen.
Reste que pour cette rencontre à Châteauroux, les enjeux et le contexte ne sont pas les mêmes que la saison passée, comme le précise Stéphane Cassard. « A Montpellier, ce n'était pas la même pression, ni le même groupe, estime le gardien de but. Là, je pense qu'on est à 50/50. Châteauroux va devoir se livrer, car un nul ne peut pas les sauver. Ils vont être obligés de prendre des risques. A nous d'essayer d'en profiter pour leur faire mal dès qu'on aura la balle, comme on a su le faire à Caen, Arles-Avignon ou Sedan ».
Quant à la « pression » inhérente à ce genre de rencontres, à chacun sa gestion. « Pour moi, la pression est une force, une motivation supplémentaire », énonce Bah. Basile de Carvalho, lui, pense que la pression existe surtout... côté castelroussin.
« La pression peut tétaniser
comme galvaniser
une équipe »
Idem pour Cassard. « On a bien travaillé cette semaine, avec beaucoup d'intensité et de sérieux. Maintenant, il faut qu'on s'y mette mentalement. Mais en face aussi ils ont la pression. Et ça peut tétaniser comme galvaniser leur équipe... », ajoute encore le portier ciel et blanc.
De Carvalho, le natif de Zinguichor, se verrait bien offrir « une joie énorme » aux Alsaciens en aidant l'équipe strasbourgeoise à sauver sa tête et utilise une technique toute personnelle pour mettre la chance de son côté. « Je vais tous les jours à la cathédrale pour poser un cierge », explique le Sénégalais.
Pas sûr que cela suffise. Mais vu la situation actuelle, tous les moyens sont bons...
DNA -
Cassard
« Une finale à gagner »
Stéphane Cassard y croit dur comme fer.
Pour ce qui sera peut-être son dernier match sous le maillot bleu, le gardien du RCS appelle à préparer une véritable finale de Coupe après-demain à Châteauroux.
Stéphane, pour la 2 e année de suite, le Racing joue son avenir sur son dernier match de L 2. L'an passé pour monter, cette saison pour ne pas descendre en National. La pression est-elle la même ?
Pas du tout. C'est incomparable. Le groupe a beaucoup changé. La saison 2009-2010 n'a rien eu à voir avec la précédente. 2008-2009 nous avait amenés aux portes de la remontée. Mais je considérais que le match à Montpellier, qui attendait le retour en L 1 depuis cinq ans, devant un public tout acquis à sa cause d'une équipe très bien armée sur coups de pied arrêtés et pouvant marquer à n'importe quel moment, s'annonçait super compliqué. Nous avions nous-mêmes connu cette situation contre Metz à la Meinau l'année de la remontée en 2006-2007. Le public nous avait portés. Là, c'est très différent. Jouer à domicile pour le maintien peut faire trembler les Castelroussins, d'autant qu'ils n'ont pas toujours été brillants dans leur stade et sont privés de plusieurs joueurs majeurs. Les spectateurs peuvent se retourner contre eux si ça se passe mal.
« Au bout, il y a un trophée »
Peut-être, mais Châteauroux vient de gagner ses deux derniers matches chez lui en passant trois buts au Havre (3-1), puis à Arles (3-0), alors que le Racing n'a pas gagné à l'extérieur cette saison et y reste sur quatre échecs (1)...
Si on compare ces deux bilans récents, nous ne sommes pas en position de force, c'est vrai. Mais avant nos quatre défaites à Tours, Istres, Bastia et Guingamp, nous avions aussi enchaîné quatre bons nuls à Arles, Sedan, Caen et Vannes. Nous pouvons le refaire. Pour l'instant, nous sommes dans une spirale négative, mais il ne faut plus y penser. Nous devons prendre ce match couperet comme une finale de Coupe et nous dire qu'au bout, il y a un trophée. En 2005, c'était la Coupe de la Ligue. Cette fois, c'est le maintien. Notre bilan est ce qu'il est. On n'y peut rien changer. Faisons-en abstraction. Plus encore dans un tel duel au couteau, la tête conditionne le reste.
Avez-vous songé que vous disputerez peut-être votre dernier match sous le maillot bleu, après six années de présence ?
Même si je ne le souhaite pas, je le sais. Mais je ne me prends pas la tête avec ça. Je veux donner le maximum sur ces 90 minutes. Chacun doit préparer sa finale. Cette finale, il faut la gagner, la vivre à fond. Surtout ne pas la subir. On peut s'en sortir. Je suis optimiste et positif.
Recueilli par S.G.
(1) Le RCS n'a plus marqué hors de la Meinau depuis 6 heures 20 minutes.
L'Alsace -
Après le match de chateauroux personne n est sur de rester au RCS,mème Cassard a des doute ssur son avenir.
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Ce message est une brève publiée par katzo68.
Quentin Othon (genou gauche) est incertain pour le match à Châteauroux.
Source: L'Alsace -
Racing / Avant le match couperet de vendredi
Entre dépit et ultime espoir
Dans les commentaires autour du stade de la Meinau, hier matin, comme dans les discussions du café du coin, les supporters du Racing sont partagés : tous espèrent que le club va se maintenir en Ligue 2, mais... pensent dans le même temps qu'une descente en National permettrait de redémarrer sur des bases saines.
Drôle d'ambiance, au Krimmeri, autour de la main courante du stade où les pros du Racing effectuent les derniers entraînements avant de disputer vendredi soir, à Châteauroux, le match qui va décider de leur maintien en Ligue 2.
Des supporters qui, cette saison, en ont vu de toutes les couleurs: valse de l'entraîneur, de l'actionnaire, des dirigeants et des présidents.
❏ « SI ON DESCEND, C'EST POUR CINQ ANS ».
Et maintenant la lutte finale, comme l'an dernier, à l'occasion de la dernière journée de championnat. Sauf que pour le coup, ce n'est pas pour la montée en Ligue 1, c'est pour le maintien en Ligue 2.
« C'est presque perdu là, on n'a jamais gagné à l'extérieur », soupire Jean-Claude 65 ans, sans vraiment suivre la séance d'entraînement de l'équipe fanion. « On est quand même pour le maintien, c'est sûr, parce que si l'on descend, c'est pour cinq ans minimum, la perte des sponsors et tout ça », renchérit Pierrot, 80 ans.
« Le mal est profond »
❏ « PLUS LES MOYENS DE JOUER A LA MEINAU ? »
« Et si on avait gardé le premier entraîneur, on en serait où aujourd'hui ? », demande Jean-Claude, 65 ans, entre sérieux et provocation. Et celui-ci de pointer du doigt la « mauvaise ambiance » qui règne dans le club, côté coulisses, et même du côté des spectateurs : « Pas assez fans » du Racing, selon lui. « Si ça se trouve, ils vont déposer le bilan et descendre en CFA », considère Jean-Paul. « Et alors, ils vont jouer où, vu qu'ils n'auront plus les moyens de payer la location de la Meinau », poursuit-il, dépité.
« Vendredi, ils vont gagner 1 à 0», pronostique Cindy, 20 ans, supportrice des UB90. « Je ne les vois pas jouer en National avec des petites équipes comme Colmar ou Mulhouse. Ils ont eu la poisse du début à la fin de la saison », explique-t-elle, en ajoutant qu'elle « a un peu les chocottes... » Parce que « c'est la misère quand même... », soupire-t-elle, tout en ne rejetant pas la responsabilité sur les joueurs.
❏ « VITRINE DU SPORT EN ALSACE ».
Accoudés au comptoir du restaurant du coin, Jean-Marie et Jacques, retraités, sont sur la même longueur d'ondes : « Personne ne souhaite la descente, mais c'est peut-être nécessaire pour recommencer à zéro... On ne peut pas être positif quand on voit les résultats », estime Jean-Marie, 63 ans. « Le Racing, c'est la vitrine du sport en Alsace. Le mal est profond : les investissement se fond sur la forme, pas dans le fond, l'amour du club », poursuit Jacques, 61 ans.
« Si on perd vendredi, ce serait la catastrophe, on est obligé de gagner et de sauver », indique, quant à lui, François, 51 ans, qui n'imagine pas les conséquences désastreuses pour « l'image de la région et de la ville ». Réponse, vendredi soir, sur la pelouse castelroussine.
Philippe Dossmann
Commerce : l'effet « soir de match »
Lorsque 20 000 personnes affluent au stade, les retombées pour le commerce de proximité sont palpables. Le voisin immédiat du stade, le restaurant Mc Donald, l'un des plus grands en Alsace, fait le plein : « Lors du match contre Metz, le mois dernier, nous avons battu le record de notre chiffre d'affaires », ne cache pas Mazem Moussa.
Pour le directeur de marché pour l'enseigne de restauration rapide à Strasbourg, il n'y a pas photo : « Un soir où il y a de grandes équipes de Ligue 1 ou de coupes et que le stade est rempli, c'est l'ensemble des huit McDo qui font du chiffre, en bénéficiant du report de clientèle qui s'arrêtent en chemin avant d'aller au stade ou au retour du stade. »
Bénéficiant du rayonnement du stade, le McDo qui est installé à la Meinau depuis 2001 se positionne « clairement comme un supporter du Racing ». En particulier pour ce dernier à Châteauroux où se joue sa survie en Ligue 2. « Si le Racing perd et que l'on se retrouve en National l'an prochain, ce sera moins mouvementé que si l'on se retrouve avec de grands matchs », craint le commerçant qui envisage, dans ce cas-là, de compenser le manque à gagner en réorientant l'activité vers la clientèle familiale ces soirs-là. « On perdrait peut-être un peu, mais pas tant que ça », ajoute-t-il, car les « grands matchs ont été rares ces derniers temps ». Et le stade pas souvent rempli... Ph.D.
DNA -
Pâlichonne Berrichonne
Le tranquille stade Gaston-Petit sera ce vendredi soir le théâtre d'un combat à mort. Présentation de l'un des deux duellistes.
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je suis troooooooooop triste pour le McDonald
vraiement triste -
Pareil, tient bon Ronald. Courage.
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Brahmia incertain
BLESSÉS. - Farez Brahmia est incertain pour la rencontre à Châteauroux. Le jeune ailier a été touché à la cheville lors de l'opposition organisée hier matin par Pascal Janin.
« J'ai pris un coup derrière la cheville et ça fait mal, je vais voir avec le kiné si ça peut aller pour le match », a expliqué le joueur à la sortie de l'entraînement.
Par ailleurs, Quentin Othon et Loïc Damour ont effectué un travail spécifique avec Jean-Claude Thiry, avant de rejoindre le groupe pour l'opposition.
JPP EN FACE. - Les joueurs du Racing qui ont participé à la campagne 2006/2007 vont retrouver leur ancien coach vendredi, à savoir Jean-Pierre Papin. « Il connaît pas mal les jeunes et certains anciens de l'équipe, a indiqué à ce sujet Mamadou Bah. Et je pense qu'il va vraiment motiver ses joueurs ». Même son de cloche du côté de Stéphane Cassard : « Jean-Pierre est un vrai compétiteur dans l'âme. » Méfiance donc...
GROUPE. - Pascal Janin a mis en place une opposition à onze contre onze hier matin, lors de la seule séance au programme. Dicko, Dreyer, Rivieyrian et Ketkeophomphone, plus habitués à la CFA, ont été appelés en renfort pour faire le nombre du côté des "rouges".
Du côté de l'équipe en "blanc" (les probables titulaires), Janin avait aligné Lacour, Maire, Sikimic et Fanchone en défense, devancés par Rodrigo et Bah à la récupération. En début de rencontre, Brahmia, Zenke, Gueye et De Carvalho ont formé le quatuor offensif, avant que Khiter, Ledy et Othon n'entrent à leur tour dans le onze de base.
L'ÉQUIPE PROBABLE : Cassard - Lacour, Maire, Sikimic, Fanchone - Brahmia (ou Khiter), Rodrigo, Bah, Othon (ou de Carvalho) - Zenke, Gueye (ou Ledy).
DNA -
Quel a été le score?Keo,Damour...sont sortis du lot?
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!! Covoiturage !!
Départ de Strasbourg vers 9h, possibilité de passer par les patelins pas trop éloignés de l'itinéraire programmé (-> MP). Probablement en Passat, il reste une place. Retour de suite après le match. -
Zenke il a fait une bonne rentrée donc moi je veux bien ça pour l'attaque :)
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