[2009-2010] Châteauroux 2-1 RCS | Après-match
Flux RSS 82 messages · 12.378 lectures · Premier message par katzo68 · Dernier message par maxdestrass
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katzo68Extérieur nuit
Dépassés dans l'envie, le talent et l'engagement physique, le Racing n'a jamais semblé en mesure de forcer son destin hier soir, à Châteauroux. En s'inclinant presque sans se battre, les Strasbourgeois sont tombés en National. Une relégation tout sauf illogique au vu d'une saison noire.
De l'un de nos envoyés spéciaux à Châteauroux
« Survivre ou mourir ». On ne pouvait mieux résumer l'enjeu de la rencontre d'hier que ne l'ont fait les UB90 et le Kop ciel et blanc, qui avaient déployé ce message, simple et direct, dans les tribunes du stade Gaston-Petit.
Une défaite de plus,
une défaite de trop
Mais hier, le Racing s'est finalement laissé « mourir », en terminant sa saison comme il l'avait commencé. Par une défaite face à Châteauroux, une défaite de plus, une défaite de trop. De celle qui plonge les Strasbourgeois en troisième division nationale, niveau jamais atteint par le club alsacien plus que centenaire.
« Ça fait mal au Racing, à l'Alsace, aux supporters, c'est malheureux et je pense à tous ces gens qui sont tristes, mais la Terre ne s'arrête pas de tourner », a lancé un Pascal Janin très digne à l'issue de la rencontre.
Incapables - ne serait-ce qu'une fois - de s'imposer à l'extérieur, trop inconstants à domicile (surtout dans la dernière ligne droite), les Alsaciens n'ont pas su forcer leur destin dans ce match de la dernière chance.
Dès le début de rencontre, les affaires semblent bien mal emmanchées pour les Strasbourgeois. Vannes ouvre rapidement le score - à la surprise générale - sur la pelouse de Metz et Guingamp aussi, chez lui.
Suffisant pour envoyer le Racing à l'étage inférieur, surtout qu'en face, ce sont les Castelroussins qui font passer les premières sueurs froides dans le dos des Alsaciens.
En face, le Racing vit encore. Zenke, parti seul en contre à la 20e, rate l'immanquable. Le Nigérian déboule et crochète Deneuve, mais sa frappe finit dans le petit filet extérieur, alors que le but était grand ouvert. Une action tout à fait à l'image d'une saison noire de chez noire.
Côté berrichon, Rudy Haddad appuie là où ça fait mal et offre quelques bons ballons sur coups francs. Le pied de Maire sauve une première fois les ciel et blanc sur un débordement de Baby. Mais une faute plutôt anodine de Bah, le long de la ligne de touche, va sceller le sort alsacien.
Sur le coup franc qui suit, Haddad ouvre d'une longue transversale, en direction de la surface alsacienne. Baby saute plus haut que tout le monde et crucifie Cassard de la tête. Le portier alsacien réclame en vain une charge irrégulière auprès de M. Ennjimi.
Les Strasbourgeois ont le mérite de réagir rapidement et se ruent, de manière quelque peu désordonnée, à l'attaque. Zenke, bousculé par Da Silva, offre un bon coup franc à ses troupes. Gueye se charge de le tirer et marque d'un brossé du pied gauche que personne, dans la surface, ne parvient à toucher.
Deneuve est battu et la révélation strasbourgeoise de l'année peut serrer les poings, sous les vivats des supporters strasbourgeois.
« C'est à l'image
de notre saison »
Mais à 1-1, si le Racing est relancé, il n'est pas maintenu pour autant, Vannes et Guingamp, s'accrochant toujours comme des morts de faim à leurs trois points, synonymes de maintien.
Et surtout, l'équipe de Châteauroux, volontaire à défaut d'être géniale, repart de l'avant. Dans un stade bien garni - qui a battu hier son record d'affluence de la saison -, les hommes de JPP se remettent dans le sens de la marche grâce à Baby, qui inscrit en force le 2e but castelroussin après un bon travail de Pinaud.
« On revient au score, on a fait le plus dur et on prend ce 2e but, c'est à l'image de notre saison », en soupire encore Arnaud Maire une demi-heure après la fin de la rencontre.
Les spectateurs locaux, un peu apathiques jusqu'alors, se réveillent enfin. Pas forcément une bonne nouvelle pour des Strasbourgeois déjà passablement assommés.
Rodrigo court dans le vide, Fanchone joue les courants d'air et les passes d'Othon ne trouvent pas preneur. A l'arrière, Sikimic et Maire, abandonnés par leur milieu, subissent les assauts du trident Abraw/Buengo/Baby. Lacour a beau multiplier les courses dans son couloir, le Racing ne se montre pas dangereux.
A la mi-temps, les dés semblent jetés et on se demande bien comment les Alsaciens vont pouvoir inverser la tendance. Les supporters strasbourgeois l'ont d'ailleurs déjà compris. Dès la reprise, la centaine d'Alsaciens présente dans le parcage visiteurs fait trembler les grillages de rage.
Mais après les chants de soutien, les insultes proférées par des supporters excédés ne changent rien. Le Racing rame, à l'image de sa saison complètement ratée et Châteauroux se voit pousser des ailes.
« Depuis le début de la saison, on retrouve les mêmes lacunes. Notre attaque n'est pas assez précise et percutante pour faire la différence. Si on en est là, c'est parce qu'on n'a pas les moyens d'être dangereux, surtout sans Fauvergue », analysait avec raison Pascal Janin.
Le cauchemar ne fait
certainement que commencer
Ce dernier a beau faire rentrer Ledy, en lieu et place d'un Fanchone dépassé par les évènements, puis Marcos, la poussée alsacienne reste plus que timide. Loin, en tous cas, de ce qu'on pourrait attendre d'une équipe qui joue sa peau en Ligue 2.
A quelques exceptions près, les joueurs strasbourgeois se montrent même consternants tellement ils semblent accepter leur triste sort. Seul Lacour, en véritable capitaine courage, prouve qu'il veut vraiment sauver son équipe. Mais au coup de sifflet final, ce sont bien les Berrichons qui exultent, tandis que les supporters alsaciens saccagent méthodiquement leur tribune.
« Peut-être un mal
pour un bien »
La veille de la rencontre, Pascal Janin espérait que son équipe fasse le « maximum », sans savoir si cela suffirait. Maintenant, toute l'Alsace le sait : cela n'a pas suffi.
« Il va falloir faire comme Reims et Troyes, ils ont su repartir à zéro et rectifier le tir. Pour le club, c'est peut être un mal pour un bien », veut croire un Farez Brahmia bien dépité. Pour Pascal Janin, le moment est peut-être venu de « reconstruire le club, avec un vrai projet. Car trop de choses ont été mal faites ces dernières années ».
Le Racing en récolte aujourd'hui les fruits. Car l'équipe alsacienne est bel et bien en National et n'a plus que ses yeux pour pleurer après une saison catastrophique de bout en bout. Et le cauchemar ne fait certainement que commencer...
DNA -
Que dire....
Joueurs dirigeants, staff....Merci d'avoir tué mmon club chéri....Bordel c'est pas possible d'en arriver là....
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Bon déjà ça va être 100 euros d'économisé cette année pour l'abonnement.
Ensuite ça pue le dépot de bilan.. et comme la DNCG nous a dans le pif ça risque d'être dans pas longtemps...
Ha ça va être bandant les Plabennec - RCS.... :D
Perso, depuis que Gress a été viré et bien je me marre doucement.. il avait raison depuis le début !!!
Allez au Diable bande de mercenaires... -
Ce message est une brève publiée par katzo68.
Le Racing s'est incliné 2-1 à Châteauroux (but de Gueye contre deux buts de Baby). Il est relégué en National. -
Que Janin ferme sa large gueule.
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Une soirée en enfer
Les supporteurs strasbourgeois ont un peu plus terni l'image de leur club. Photo Jean-François Frey
Après 13 minutes de jeu, le Racing était déjà relégué, suite aux résultats de Vannes et Gunigamp. Il n'est jamais apparu capable d'inverser cette funeste tendance.
Un pan d'histoire est tombé hier soir au stade Gaston-Petit de Châteauroux. 13 minutes, c'est le temps que le Racing a passé hors de l'eau, Vannes et Guingamp ayant alors ouvert le score. La suite a été un calvaire, malgré par une cruelle incapacité à porter le danger dans la défense berruyère, la moins bonne du championnat. Mais ce n'était pas une nouveauté.
20.30 : Au coup d'envoi donné par M. Enjmini, le Racing est 17 e et maintenu en Ligue 2. La pression locale n'est pas très forte et le round d'observation dure une bonne dizaine de minutes.
20.36 : À Metz, Reset donne l'avantage à Vannes.
20.43 : Alors que Buengo vient de placer une tête au-dessus, l'ouverture du score de Guingamp par Ogunbiyi, face à Ajaccio, change la donne. Virtuellement, le RC Strasbourg est relégable, tout comme son hôte berruyer. Les supporters alsaciens redoublent d'ardeur et entonnent le « Jetzt geht's los ».
L'incroyable raté de Zenke
20.50 : Strasbourg met tout doucement le nez à la fenêtre (tête de De Carvelaho à la 15 e, coup-franc de Fanchone à la 17 e) et s'offre une occasion énorme. Gueye lance Zenke en profondeur. Le Nigérian dribble le gardien local, mais légèrement excentré à droite, rate son geste et pousse la balle à côté du but. Un raté aux conséquences insoupçonnées.
20.55 : Un lointain coup-franc de Haddad est repris dans les 6 mètres de la tête par Baby qui ouvre le score (1-0). Cassard réclame une faute, en vain. À ce moment, le Racing et Guingamp accompagnent Bastia en National.
21.00 : Le Racing obtient un coup franc pour une faute de Da Silva sur Zenke. À 22m côté droit, Gueye adresse une frappe enroulée, que manque tout le monde, mais le ballon finit au fond des filets (1-1). Cela faisait 6 h 50 que les Alsaciens n'avaient pas marqué un but à l'extérieur.
21.02 : Sur un long ballon, Abraw prend Maire de vitesse, mais Cassard détourne son tir en corner.
21.06 : Lacour, d'une demi-volée à l'entrée de la surface, oblige Deneuve à un arrêt difficile.
21.08 : Fanchone se fait surprendre à droite par Pinaud, qui centre en retrait. Baby est le plus vif et redonne l'avantage aux siens (2-1). Châteauroux, retrouve à nouveau la Ligue 2, Strasbourg est au fond du trou.
21.13 : Guingamp mène 2-0, grâce à un but contre son camp de Ndiaye. Mais les Bretons sont relégables à la pause, avec Strasbourg et Bastia.
21.39 : Jean-Alain Fanchone, dépassé, est remplacé par David Lédy.
21.46 : Rodrigo cède sa place à Marcos. Châteauroux, plus saignant, procède désormais par contres alors que le Racing manque d'idées pour se mettre en position d'égaliser.
21.48 : Lacour prend le dessus sur le côté droit, place le centre parfait sur la tête de Lédy, qui, à 6 m, trouve le moyen de mettre le ballon au-dessus.
21.54 : Guingamp ne mène plus que 2-1, après la réduction du score de Ba pour Ajaccio. Cela ne change rien au problème des Strasbourgeois, qui doivent inscrire deux buts dans les 20 dernières minutes.
22.04 : Coup-franc lointain de Gueye sur lequel Sikimic place une tête qui file à côté des buts castelroussins.
22.06 : Janin effectue son dernier changement en rappelant De Carvalho et en lançant Pelé.
22.12 : Buengo, parti de son camp, file seul au but, efface Cassard, mais ne parvient pas à redresser le ballon qui finit dans le petit filet extérieur.
22.15 : Haddad prend le dessus sur Othon, va défier Cassard qui écarte le ballon de la main à la limite de sa surface de réparation.
22.21 : M. Enjmini siffle la fin du match, dans l'allégresse générale. Les supporters strasbourgeois se déchaînent et détruisent les sièges de leur tribune. Des incidents lamentables. À leur image, le Racing ne mérite peut-être pas une équipe en Ligue 2.
L'Alsace -
Assumons nos choix.
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En National, plus de Gueye, Othon, Bah, JAF, ... Plus rien ! :'( Peut être encore Cassard :)
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franzdurcs67 a écrit, le 2010-05-15 07:41:17 : En National, plus de Gueye, Othon, Bah, JAF, ... Plus rien ! :'( Peut être encore Cassard :)
j'espère pas ptain... c'est une merde Cassard !!! Mate encore sur le 1er but hier soir..
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Bah alors Sommer ! Peut être, il vieilli lui aussi... Mais pour le National un des deux pourrait passer !
J'viens de penser, pas de Racing club de Strasbourg dans Fifa 11...
Bon j'y vais j'ai cours... Moi et znitneuq on va se taper la honte...
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Hé oui les 3/4 des joueurs vont partir , des employés vont être licencié et où jouera t'on la saison prochaine car à 1 million l'année le club ne pourra plus se le permettre .
Fontenla a encore un solde de 600 000 € à payer pour les droit au nom, les paiera t'il ?
Pas besoin d'aller à Chateauroux pour tout casser , qui va payer , le club . -
AVEC RAISON VIVRE DANS UN CLUB COMME CE RCS EST RIDICULE.
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ta touche caps lock est enfoncé... :))
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Faudra songer à arrêter de rêver des Allemands et les Anglais qui remplissent les stades en D3, D4... A vous lire tous, y aurait plus qu'à ouvrir le gaz.
L'Alsace, ça doit être ça : des Germains chi... enfin, qui ont le sens du tragique.
Allez, tous dehors. C'est au grand air, etc...
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franzdurcs67 a écrit, le 2010-05-15 07:41:17 : En National, plus de Gueye, Othon, Bah, JAF, ... Plus rien ! :'( Peut être encore Cassard :)
Jaf c'est pas grave. T'as vu sa mentalite de merde hier soir quand il est sorti du terrain
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Je viens de rentrer. Je ne sais pas quoi dire de plus à part que nous avons peut-être vu notre club mourir. Jamais je n'aurai pu penser pleurer autant et voir des personnes pleurer autant pour notre passions. Les paysans de cette saison (TOUS) ont tué ce que nous avions...
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cohade1 a écrit, le 2010-05-15 06:59:54 : Que dire....
Joueurs dirigeants, staff....Merci d'avoir tué mmon club chéri....Bordel c'est pas possible d'en arriver là....
C'est tout simple 5 presidents en UNE saison ; Fontenla qui la joue "je me barre 2 heures apres je me barre plus" ; 1 recrutement de misere et voila le resultat -
katzo68 a écrit, le 2010-05-15 07:14:55 : Une soirée en enfer
22.21 : M. Enjmini siffle la fin du match, dans l’allégresse générale. Les supporters strasbourgeois se déchaînent et détruisent les sièges de leur tribune. Des incidents lamentables. À leur image, le Racing ne mérite peut-être pas une équipe en Ligue 2.
L'Alsace
C'est a la Meinau qu'il faut tout casser, pour qu'ils voient notre mecontentement
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Il avait raison Gilbert Gress, dès le début. Il voulait les faire courir un peu nos majorettes, mais elle se sont révoltées. Les starlettes ne voulaient pas décoiffer leur brushing avec tant de sueur. Voilà où çà mène de se péter plus haut que son cul. Istres, Châteauroux, des bouseux qui mouillent le maillot.
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je le savait que ça allait etre dur ,gress l avait dit ça sent mauvais cette année,et il avait raison
j espere qu il vont faire en sorte de ne pas tomber encore plus bas,et essayer de reconstruire pour remonter en ligue 2 -
peut etre que les joueurs n avait pas les capacités de mieux faire ,et je pense que s y fauvergue n était pas la ça aurai était régler depuis longtemps
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Jean-Pierre Papin (entraîneur de Châteauroux) : « C'est une joie que je n'avais pas encore connue. J'avais connu celle d'aller en haut, pas celle de se sauver de la descente. J'ai une équipe combative. Avant, il y avait la peste dans le vestiaire. Là, le groupe vit bien depuis sept semaines, il s'est épanoui et c'est ce qui a fait la différence. Aujourd'hui, l'équipe est capable de faire un match comme ce soir (hier). Je suis fier et heureux pour les joueurs. Ils ont fait le match qu'il fallait. L'important, c'est que la Berrichonne soit sauvée. La relégation du Racing ? Je ne m'étais pas entendu avec quelques personnes qui, aujourd'hui, ne sont plus au club. Quelque part, cela me rend triste, c'est un club que j'avais emmené en Ligue 1... »
DNA
Cette dernière phrase fait mal au coeur... -
bonjour
personnellement je me rejouis de cette descente pour plusieurs raisons.
dun je me rejouis de la 19eme place strasbourg ne peut donc pas compter sur la dncg pour voir un club du national ne pas monter.
la consolation c que strasbourg aura le plus g stade de national, dedans il y a assez de place pour caser lensemble des villes de gueugnon, plabennec, luzenac, et frejus:)
sinon je souhaite a strasbourg une saison a la amiens: une 13eme place:)
par contre c lamentable de voir les degats causes au stade de chateauroux... juste lamentable... faites ca dans votre propre stade. -
Retourne donc dans ta cuvette, tu y étais si bien!
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Match horrible, gens en pleurs, la même qu'à Montpellier, l'enjeu en plus terrible. Je n'ai pas vraiment envie de revenir sur la partie sur le terrain, si tant est qu'il y en avait une. Simplement féliciter la sportivité des castelroussins à la fin du match qui sont venus nous cracher à la gueule, au propre comme au figuré, et qui s'étonnent encore après des réactions. Bravo les cons ...
Sinon, la bonne dizaine de stubistes, notamment, présent en voiture, a pu discuter avec certains des joueurs et du staff, avant leur départ en bus:
- Plessis: pas vraiment le plus agréable, vraiment sur les nerfs. Il nous disait qu'il restera, qu'il vont tranquillement monter le plan B dans les prochains jours et surtout qu'il attendait que la Mairie se bouge avec la subvention.
-Maire: celui qui a pris le plus de son temps. Conscient de la responsabilité des joueurs, il pointe aussi du doigt l'environnement du club. D'autres complèteront je pense, mais son discours était franc.
-Bah: tout sourire (oui oui !), il nous a simplement répondu qu'il lui restait deux ans de contrat quand on lui a demandé s'il partait. Le stéréotype du footballeur kéké qui n'en a rien à foutre ...
- Lacour: lui aussi à chercher à s'excuser, mais a surtout avoué qu'il resterait si un vrai était mis en place, ce qui n'est pas forcément le cas. Il a confirmé le malaise des joueurs face au climat du club, sans toutefois se dédouanner.
- Cassard: à nouveau presque en larmes, il a avoué à demi mot que c'était fini pour lui. Il a aussi parlé d'une somme d'erreurs tout au long de la saison, avec notamment la préparation catastrophique et la gestion sportive foireuse. Par contre, moins convaincant quand il s'agit d'expliquer pourquoi les joueurs ne daignent pas saluer les supporters en déplacement durant la saison.
- Sikimic: "les gars, on s'excuse, on est une équipe de merde"
Marcos, Ledy, Gurtner, Brahmia et Vencel sont encore passés.
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