RCS 1-1 Istres - Après match
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jamalJ'ai toujours trouvé que Le Pen dans l'axe perdait toute son efficacité. Je le sens beaucoup plus a l'aise dans les couloirs tout comme Arrache.
Sinon, concernant Alex au poste de milieux defensif, bof, je preferai y mettre Le Pen justement. -
superdou a écrit :
Concernant l'age, je crois que c'est au même age que Laurent Blanc a abandonné son poste de meneur de jeu pour reculer d'abord milieu défensif, puis défenseur central.
David Sommeil également est passé du poste d'ailier au poste de défenseur à cet age.
Détail intégriste, c'est à l'age de 25-26 ans que Blanc est passé libéro. Il jouait avant celà numero 10.
Leboeuf a aussi joué numéro 10 au Racing, jusqu'à 23-24 ans... -
Il me semble que Leboeuf est arrivé au Racing en étant déjà libéro. C'est à Toulon qu'il a changé de poste alors qu'il souffrait de la concurrence de Ginola...
Ou alors à Laval...
Ou alors je dis une connerie... -
Je suis persuadé qu'il était numéro 10 lors du match de barrage contre Rennes. Je me souviens d'une défense type Cobos, Dall'Oglio, Keshi, Mura...
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Ah bah ça alors...
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L'idée de mettre Lulu en soutient direct de Bassila peut être intéressante, maintenant on mettrait qui en tant que Milieu Offensif droit
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Ben Arrache, et Farnerud sur la gauche
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Il me semble que Arrache est un pur Gaucher, c'est pas sûr qu'il réussisse à ce poste. Mais on pourrait tenter le coup ...
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thelak a écrit : Il me semble que Arrache est un pur Gaucher, c'est pas sûr qu'il réussisse à ce poste. Mais il faut tenter le coup ...
aussi
Mais on a que des pieds gauche dans notre equipe ou quoi ?
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jamal a écrit : thelak a écrit : Il me semble que Arrache est un pur Gaucher, c'est pas sûr qu'il réussisse à ce poste. Mais il faut tenter le coup ...
aussi Mais on a que des pieds gauche dans notre equipe ou quoi ?
On en a même 2 avec le seul Bassila :)) -
marc a écrit : Il me semble que Leboeuf est arrivé au Racing en étant déjà libéro. C'est à Toulon qu'il a changé de poste alors qu'il souffrait de la concurrence de Ginola...
Ou alors à Laval...
Ou alors je dis une connerie...
Je confirme.
Je me rappelle très bien que Leboeuf était déjà libéro (mais avec des montées plus que fréquntes) lorsqu'il a signé à Strasbourg.
Lors de son 1er match, je me rapelle de ce défenseur à la toison impressionante ... ce qui conraste bien avec son manque de chevelure actuelle :))
Par contre, je ne sais plus si c'est à Laval ou à Toulon qu'il est descendu de poste -
conan a écrit : Détail intégriste, c'est à l'age de 25-26 ans que Blanc est passé libéro. Il jouait avant celà numero 10.
Si je me souviens bien, il a joué quelques saisons au poste de milieu défensif entre son passage du poste de meneur de jeu à celui de libéro -
conan a écrit : Je suis persuadé qu'il était numéro 10 lors du match de barrage contre Rennes. Je me souviens d'une défense type Cobos, Dall'Oglio, Keshi, Mura...
je confirme, leboeuf a bien debute en 10 au racing. -
Keller : « Tout donner »
Le directeur général du Racing s'est placé en observateur d'une semaine sous tension. Tandis que son entraîneur Antoine Kombouaré a donné un tour de vis, il appelle les Strasbourgeois à plus d'abnégation et de caractère.
Dimanche 29 août. 11 h à la Meinau. Au lendemain du nul face à Istres (1-1), la séance photos d'avant-saison s'achève. Le président du Racing, Egon Gindorf, fulmine et lâche un péremptoire « On va durcir le ton ». À ses côtés, son directeur général, Marc Keller, a le regard perdu. L'ex-international a beau chercher, il ne comprend pas ce qui cloche, lui qui reste persuadé que « le travail a été fait » et à qui les prestations des recrues (Vercoutre, Hagui et Pagis surtout) donnent raison. Observateur silencieux d'une semaine agitée, il sort aujourd'hui de sa réserve.
Marc Keller, le président Gindorf a annoncé un durcissement de la méthode et l'entraîneur Antoine Kombouaré l'a appliqué. C'est une démarche à laquelle vous vous associez...
C'est le fruit d'une discussion à trois. Quand les résultats sont décevants, il faut retrouver des règles de vie plus strictes et être plus intransigeants. Depuis trois ans, nous avions pris l'habitude de bien démarrer et de traverser des hivers délicats. Cette fois, nous débutons péniblement et essayons de réagir tout de suite.
« Pas préparés à cette entame ratée »
Vous attendiez-vous à ces difficultés initiales ?
Nous avions le sentiment d'être prêts, sur et en dehors du terrain. Sportivement, nous avons tout fait pour rester sur la lancée de l'an passé, en prolongeant de bons joueurs et en ajoutant des recrues de qualité. Nous voulions passer un cap et progresser dans la hiérarchie pour viser le top 10. Alors, non, nous n'étions pas préparés à cette entame ratée.
Certains joueurs, les cadres en particulier, ont un rendement déficient en ce début de saison. Est-ce aussi votre sentiment ?
Le foot est ainsi fait que tout le monde subit des pressions. Avec un marché des transferts qui ne ferme que le 31 août, les joueurs peuvent être déstabilisés et je le comprends. Rien n'est cartésien dans ce milieu : on a beau tenter de tout prévoir, il reste des paramètres aléatoires. Les cadres sont conscients de la situation, conscients aussi qu'on attend davantage d'eux.
Comme Mamadou Niang, que vous avez envoyé en cure d'amaigrissement ?
Mamadou est important, capable de faire la différence. Mais comme souvent avec les joueurs au potentiel énorme, il y a un gros boulot de management à faire. Il faut qu'il revienne en forme, se soigne (Ndlr : il souffre des adducteurs) et... réagisse.
Deux points en quatre matches, c'est notoirement insuffisant, surtout avant un terrible mois de septembre (déplacements à Monaco, Caen et Paris contre la seule réception de Lens)...
Ne tirons pas de bilan après quatre journées, ni dans un sens, ni dans l'autre. Pour l'instant, nous tentons de trouver des solutions. Jusqu'ici, nous avons perdu des matches sans avoir l'impression d'avoir tout donné. C'est inacceptable.
Vous êtes-vous exprimé directement devant le groupe ?
J'ai surtout beaucoup discuté avec Antoine et Egon. Gueuler pour gueuler ne sert à rien. En revanche, j'ai reçu individuellement quelques joueurs.
« À un moment donné, il faut qu'il y ait un retour »
L'autre dimanche, vous sembliez abattu comme rarement. N'est-il pas usant, alors que vous êtes en poste depuis plus de trois ans, de devoir composer encore avec des contraintes budgétaires drastiques ? Et l'idée de renoncer ne vous a-t-elle pas parfois effleuré ?
Je ne me suis jamais plaint du manque de moyens. Il peut être compensé par des choix judicieux. Depuis 3 ou 4 ans, les efforts consentis ont été importants. Nous sommes en train de refaire du Racing un club sérieux. Je vis à 100 % pour ce club, au prix de sacrifices dans ma vie familiale. C'est presque un sacerdoce. Mais à un moment ou un autre, oui, il faut qu'il y ait un retour, autrement dit une récompense sportive, que nous franchissions un cap au classement pour nous nourrir de l'idée que nous progressons encore. L'équipe une est la vitrine du club et elle doit être alléchante. C'est la locomotive aussi et quand la locomotive ne fonctionne pas à plein régime, comme en ce moment, on éprouve la désagréable sensation que tout le train tourne au ralenti. Nous avons donné une assise au RCS. Maintenant, j'ai envie que nous fassions rêver les gens. C'est un besoin que je ressens aussi pour moi.
Septembre s'annonce terrible. Quel objectif vous fixez-vous sur ces quatre matches ?
Je ne raisonne pas en termes de points, même si nous en avons un besoin cruel. Je préfère parler de qualité et de gnac. Tu peux accepter de perdre à partir du moment où tu donnes tout. Quels que soient les résultats, il faudra être irréprochable dans le caractère et l'abnégation.
Qu'adviendrait-il si l'équipe ratait ces quatre rendez-vous et plongeait encore plus ?
(il marque un temps) Comment pourrais-je répondre à cette question dès aujourd'hui ?
Recueilli par Stéphane Godin
source : l'alsace
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