[2011-2012] St-Louis Neuweg - RCS | Avant-match
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ericcantonaBinder le match complet, cela m'etonnerait beaucoup (même s 'il a éte trés bon depuis le debut de saison) -
J ai sans doute pas tout suivi. Mais stzven keller? Blesse ou suspendu?
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Benchenane serait il déjà en forme pour être sur le banc?
Faisons confiance à François. -
il y aura encore des place en vente demain ? car j'ai trop envie d'allé a st louis pour rien
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Racing : David Ledy et Steven Keller forfait
Steven Keller . Archives Dominique Gutekunst
Le meilleur buteur du RCS David Ledy et le milieu de terrain Steven Keller, blessés à la cuisse, ne joueront pas demain (18h) à Saint-Louis lors de la 24e journée du groupe C de CFA 2. Du côté ludovicien, Oxence Mbani (suspendu) et Sadik Kaymak (pubalgie) manquent à l'appel.
Jusqu'au bout, David Ledy, touché samedi contre Auxerre 3 à l'épaule gauche, mais aussi et surtout à l'ischiojambier gauche, a voulu y croire. Et comme le reconnaissait volontiers François Keller ce midi à l'issue de l'entraînement de veille de match, « si ça n'avait tenu qu'à David, il aurait joué. » Seulement voilà, même si on le sait l'Aspachois, qui rêvait de ce match dans son Haut-Rhin natal, est un dur au mal, le staff médical a refusé de lui donner le feu vert.
Hier midi, le meilleur buteur du RCS (22 buts officiels, dont 16 en championnat) s'était encore efforcé d'entretenir l'espoir. Il venait pourtant de passer une échographie de la cuisse pas complètement rassurante. « Il y a un petit quelque chose, mais ça va aller. »
Les médecins du club en ont jugé autrement. « David est tellement généreux, a tellement envie d'aider le club, qu'il jouerait tout seul contre toute une équipe », sourit son entraîneur, « Il nous donne une force psychologique porteuse. Mais je me fie à l'avis médical. C'est ma responsabilité de faire ce choix que je sais être un crève-coeur pour lui. Mais le faire jouer demain à Saint-Louis, ce serait prendre le risque que sa cuisse pète (sic) et qu'il soit out jusqu'à la fin de saison. J'ai besoin de lui. »
Le retour de Benchenane
L'attaquant n'est pas le seul Strasbourgeois consigné à l'infirmerie. Steven Keller, blessé jeudi à un adducteur, doit lui aussi faire l'impasse. Outre l'avant-centre et le jeune milieu de terrain, Abdoulaye Coulibaly quitte le groupe des seize. Anthony Sichi (absent face aux Icaunais pour une douleur à l'adducteur gauche), Joris Ursch (cantonné ces derniers temps en réserve) et Adel Benchenane (de retour après un mois et demi d'absence pour une lésion à l'ischio gauche) le réintègrent. « Après sa longue indisponibilité, Adel a fait une très bonne semaine d'entraînement », commente F. Keller.
Un temps incertain, Thomas Martin, victime d'une entorse de la cheville gauche contre Auxerre, va serrer les dents, comme son capitaine Ludovic Golliard qui soigne lui aussi une cheville douloureuse depuis une quinzaine. « Thomas aurait sans doute été ménagé, mais les diverses blessures m'amènent à accélérer son retour », poursuit le coach.
A Saint-Louis où plus de 1000 billets ont trouvé preneur, l'entraîneur Cédric Decker est lui aussi privé de deux pièces maîtresses : son capitaine Sadik Kaymak, qui soigne toujours sa pubalgie, et son défenseur Oxence Mbani, suspendu après son expulsion samedi dernier à Thaon-les-Vosges. Sixièmes avec 61 points, les Ludoviciens ont subi un coup d'arrêt dans les Vosges (défaite 2-1). « C'est vraiment dommage, d'autant qu'à 10 contre 11, nous avions ouvert le score », rappelle le technicien haut-rhinois, « Nous restions sur une série d'invincibilité de quatre matches (trois victoires et un nul) et nous aurions aimé accueillir le Racing avec une série encore plus longue. Strasbourg est une grosse machine qui a fait ses preuves sur la durée en termes comptables et statistiques. Mais ça ne change rien : nous avons nos chances. Nous avons souvent fait de bonnes choses contre les gros, même si nous n'avons pas toujours été récompensés par manque de réalisme.»
Les groupes
Saint-Louis : Roche, Levaux Matter, Grosperrin, Onesta, Lerose, Kalenga, Nouicer, Garos, Goepfert, Tighazoui, Perez, Anatole, Degré, Bouzaamouche. Entraîneur : Cédric Decker.
Strasbourg : Kéhi, Duki Donzelot, Golliard, Modeste, Sikimic, Guignery, Martin, Sichi, Ursch, Pinaud, Genghini, Sow, Binder, Benchenane, Ounissi. Entraîneur : François Keller.
le 20/04/2012 à 14:06 par Stéphane Godin -
A moins que Benchenane ne soit aligné d'entrée dans l'axe du milieu, Genghini étant décalé à gauche à la place d'Ounissi, qui lui, mériterait pourtant d'être enfin aligné comme titulaire (pour la 1ere fois en 24 matches de championnat, et depuis le match de coupe à Duttlenheim, il me semble...).
Mettre Binder en pointe et Sow sur l'aile gauche est aussi une solution, Robin est vraiment excellent (+) -
Guignery ne joue plus ? il est blessé ? j'aime pas trop Sikimic en latéral gauche.
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Ledy au repos, sage décision de Keller , on le préfère en forme contre vesoul, match à 6 points comme on dit!
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Ledy blesser pas au repos ...
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RCS inside : avant Saint Louis par www.StrasTv.com
Avant Saint-Louis, par StrasTV qui était à l'entraînement aujourd'hui. -
Ils me gonflent! Lorsque karim67100 filme un match, il est obligé de faire AVEC les conditions lumineuses et parfois même de filmer tout le match à contre-jour (cf. Mutzig et ses floralies :))
).
Mais verdammi, lorsque des pros réalisent des interviews, merde, on peut tout de même avoir l'oeil et choisir l'angle de prise de vue en fonction du soleil.
Sur le fond, Franz a ciré les pompes du Fußballgott d'Aspach qui manquera à tout le monde demain. Sage décision de Keller de laisser Ledy au repos. -
Il y a peut-être une symbolique cachée ?
Mais qui veut faire de l'ombre à François Keller ? -
Avec la météo de demain , personne risque de faire de l'ombre à quelqu'un .
Pluie et Orage vont être au rendez-vous .
Dommage pour le spectacle .(peut-être) -
"la modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau:elle lui donne de la force et du relief"(La Bruyere)
Merci F. Keller -
MR Keller (+) (+) (+)
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Remobiliser les troupes
Une victoire demain soir contre le Racing permettrait à Saint-Louis de rester en embuscade pour les premières places. Et de remobiliser un groupe qui semble ne plus avoir grand chose à jouer en cette fin de championnat.
De tous les Alsaciens venus tenter leur chance à la Meinau, c'est certainement l'équipe qui a mis le plus en difficulté les hommes de François Keller. C'était en novembre dernier. Saint-Louis repartait de l'antre du Racing avec les deux points du nul (1-1), et personne ne se serait offusqué si les coéquipiers de Rodolphe Roche avaient infligé au Racing sa seconde défaite à domicile de l'année. « C'est un match à l'image de notre saison. Dans le contenu, on avait montré de très belles choses mais nous avions manqué de justesse dans le dernier geste. Je pense notamment à cette tête trop croisée de Perez », se souvient l'entraîneur ludovicien Cédric Decker.
Demain soir, c'est au Stade de la Frontière que les deux équipes se retrouveront. L'occasion pour les Frontaliers de prouver que le niveau de jeu affiché lors de ce match aller n'était pas dû au simple fait d'évoluer à la Meinau. Sur leur pelouse, les Ludoviciens pourront compter sur de nombreux supporters : « Cette rencontre, j'en ai entendu parler toute la semaine. J'ai l'impression de jouer un 32e de finale de Coupe de France », plaisante Cédric Decker.
Sixième à treize longueurs du leader strasbourgeois, Saint-Louis, qui espérait se mêler à la lutte pour la montée, semble ne plus avoir grand chose à espérer cette saison : « On a manqué de constance. Le contenu et les occasions ont souvent été au rendez-vous mais pas la finition. Il nous aurait fallu un David Ledy devant. Le recrutement d'un vrai buteur sera d'ailleurs notre priorité cet été », indique Cédric Decker. En attendant le mercato estival, les Frontaliers espèrent faire déjouer un Racing qui est déjà tombé en terre haut-rhinoise (il y a deux semaines chez les voisins de l'ASIM).
S'il estime que rien n'est encore joué pour la montée et que « les dirigeants du RCS ont le destin du groupe entre leurs mains », le coach ludovicien n'est pas dupe : « Quand les écarts sont creusés, il est difficile de garder le groupe concerné. Une victoire demain soir permettrait de remobiliser tout le monde car si nous ne finissons pas dans la première partie de tableau, ce sera un échec ». Même dans le ventre mou du classement, les partenaires de Rodolphe Roche n'en restent pas moins dangereux pour un Racing lancé à plein régime dans sa quête du CFA.
LAFA -
Football CFA 2 : en tête, des intentions
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Au match aller, Amin Tighazoui (ici entre Benjamin Genghini, de dos, et Vincent Guignery, masqué) avait offert en fin de match une égalisation méritée à un FC Saint-Louis/Neuweg qui aurait même pu prétendre à mieux à la Meinau (1-1). Photo Topimage/Karim Chergui
Le derby de cet après-midi (18 h) au stade de la Frontière à Saint-Louis entre des Ludoviciens 6es et un Racing solide leader du groupe C de CFA 2 s'annonce aussi indécis que l'aller à la Meinau où les Haut-Rhinois avaient fait souffrir les Strasbourgeois (1-1). D'autant que les deux adversaires ont une idée derrière la tête.
MATCH A SUIVRE NE DIRECT SUR LALSACE.FR DES 18 H
David Ledy, forfait pour une douleur à l'ischiojambier gauche alors qu'il tenait absolument à jouer (voir ci-contre et sur www.lalsace.fr), ne trouvera sûrement pas la force d'en sourire ce matin. Pourtant, depuis quelques mois, le meilleur buteur du Racing (22 buts officiels, dont 16 en CFA 2) en plaisante souvent : « Je l'ai ouvert une seule fois cette saison et ça m'est retombé sur le coin du nez. »
C'était le 26 novembre, au sortir d'un nul contre Saint-Louis à la Meinau (1-1) où les Haut-Rhinois auraient tout aussi bien pu rafler la totalité de la mise. « J'ai trouvé les Ludoviciens meilleurs que nous. Ils jouaient mieux au foot [...]. Nous n'étions pas bons », avait alors râlé l'avant-centre aspachois du RCS. Il avait exprimé à chaud une frustration qu'il n'aura, quoi qu'il arrive, pas le loisir d'extérioriser cet après-midi sur la pelouse lors du derby retour. Comme Steven Keller (adducteur gauche), il a en effet dû déclarer forfait hier.
Il est vrai que le contexte a singulièrement changé depuis et que le Racing a gagné en sérénité. Sur le terrain, s'entend ! Lancé fin novembre dans une folle course-poursuite derrière Vesoul, il est désormais bien calé dans le fauteuil de leader, avec une confortable avance de six points sur son premier rival pour l'accession en CFA, Pontarlier, à sept journées de la fin. De quoi se sentir à l'abri ? « Pas du tout », tempère François Keller. « N'oublions pas que les Pontissaliens possèdent une différence de buts particulière favorable et que c'est ce critère qui départage deux équipes à égalité. Je persiste à penser que notre présence dans ce groupe C a bouleversé le championnat. Regardez Grenoble dont la SASP a également été liquidée l'été dernier : dans le groupe E, les Grenoblois sont 2 es derrière la réserve de Fréjus/Saint-Raphaël qui ne peut pas monter, avec le même nombre de matches que nous, cinq points de moins et pourtant onze longueurs d'avance sur le troisième. L'an dernier à pareille époque, nous aurions eu 20 points d'avance (1). »
Cédric Decker : « Ça peut faire mal »
Le Racing n'en compte donc « que » 6 ce matin. Et 13 sur un FC Saint-Louis/Neuweg 6 e dont l'entraîneur Cédric Decker regrette simplement le manque de réalisme récurrent. « Contre les gros, nous avons souvent fait des choses intéressantes. Malheureusement, nous n'avons pas souvent été récompensés. Beaucoup nous ont dit que nous avions fait très belle impression, mais à l'arrivée, nous n'avons pas toujours pris les quatre points. C'est ce qui nous frustre. Si nous parvenons à transformer cette frustration en quelque chose de positif, ça peut faire mal. »
François Keller en est intimement convaincu : « A sept matches de la fin, il ne faut avoir peur de personne, mais il faut respecter tout le monde. J'ai l'impression que c'est le col le plus difficile des sept qui nous attendent. A l'aller, j'avais tout de suite dit que le nul était un bon résultat. L'an dernier, nous sommes devenus champions de CFA 2 avec la réserve en perdant deux fois contre Saint-Louis (0-1 chez nous et 2-1 là-bas). Si nous pouvions le refaire cette saison, mais sans perdre, voire en gagnant nous irons pour ça -, ce serait très bien. Une victoire au stade de la Frontière serait moins un moyen de bien préparer la réception de Vesoul samedi prochain que de frapper un coup fort. »
Encore faudra-t-il mettre à la raison des Haut-Rhinois bien décidés, selon C. Decker, à « prouver lors de ce match de gala que notre place parmi les équipes de tête n'est pas usurpée. Pour être un peu plus dans la course à l'accession, il nous a manqué un peu d'efficacité. Mais si nous continuons dans cette voie dans les années futures, nous ne serons un jour pas loin du compte. »
Le RCS, dont le groupe sportif s'efforcera, le temps d'un match, de faire abstraction des querelles des coulisses, en est déjà tout près. S'il franchit ce soir « le col le plus difficile » des sept qui lui restent à escalader, il commencera à entrevoir la ligne d'arrivée à l'horizon.
(1) Après 23 journées en 2010-2011, Dijon 2 et le Racing 2 se partageaient la 1re place avec 65 points, devant Vesoul (62) et Saint-Louis (60). Cette saison, quatre équipes font mieux : le Racing (74), Auxerre 3 (71), Pontarlier (68) et Vesoul (67).
Saint-Louis : Roche, Levaux Matter, Grosperrin, Onesta, Lerose, Kalenga, Nouicer, Garos, Goepfert, Tighazoui, Perez, Anatole, Degré, Bouzaamouche. Entraîneur : Cédric Decker.
Strasbourg : Kéhi, Duki Donzelot, Golliard, Modeste, Sikimic, Guignery, Martin, Sichi, Ursch, Pinaud, Genghini, Sow, Binder, Benchenane, Ounissi. Entraîneur : François Keller.
L'Alsace -
L'heure d'un grand coup
Entre St-Louis, qui a l'occasion d'édulcorer ses regrets, et le Racing, pas loin d'un pas décisif pour la montée, le vainqueur du jour aura quelques raisons de sourire.
Après une extrême agitation, nous voici au stade du silence. La dernière victoire du Racing, aussi essentielle et convaincante soit-elle, face à Auxerre (2-0), s'était déroulée dans une atmosphère assez viciée en coulisses.
Samedi dernier, à la Meinau, les dirigeants du Racing, en guerre de position manifeste, ont pris soin de ne pas se croiser, de ne pas trop s'afficher, d'apparaître sur un mode fugace. C'est comme si après avoir joué les fiers à bras, ils étaient tous devenus partisans de l'extrême discrétion.
Les élus se sont bien offert une tranche d'échanges à fleuret moucheté lundi, un ancien président a ressorti une solution du chapeau en se proposant de racheter la marque pour écarter les difficultés financières à venir. Et si les supporters ont revu leur position en exprimant leur défiance à l'encontre de Frédéric Sitterlé, ce dernier s'est plongé dans un « silenzio stampa ». C'est une pratique qui a cours dans les clubs qui n'en finissent pas de perdre. Ce peut être l'expression d'un irrépressible désir de s'en aller.
La suite s'écrira sans doute bientôt sans le Haut-Rhinois. Patrick Spielmann, le président, lui, est en vacances. Et les joueurs, donc, peuvent aborder le rendez-vous ludovicien sans aucune certitude du lendemain mais avec en ligne de mire la possibilité du travail bien fait.
Aujourd'hui, ce sera jour de fête à la frontière franco-suisse. Les Strasbourgeois n'y ont assurément pas l'intention d'être les dindons de la farce. La mauvaise surprise n'est néanmoins pas à exclure. « Je considère que le match nul de l'aller avait été très bon résultat, explique François Keller. En début de saison, je considérais aussi qu'ils avaient l'un des deux ou trois meilleurs effectifs du groupe. »
« Un peu comme un 32 e de finale de Coupe de France »
La frustration est ludovicienne. En perdant des points face à quelques petits deux défaites face à Thaon ou un récent échec à Jarville par exemple , la bande à Vincent Decker a enterré tout espoir de se mêler à la lutte au sommet. Il ne lui est pas interdit de se faire plaisir alors qu'il reste sept matches à disputer. « Ce match est un événement, indique le coach haut-rhinois. Comme il l'est pour toutes les équipes du championnat. Cela génère du public, c'est un peu un 32 e de finale de Coupe de France. J'attends de mon équipe qu'elle réédite sa performance du match aller en terme de contenu et qu'on arrache cette fois la victoire. Faire chuter le Racing, c'est faisable et la victoire de l'ASIM nous donne des idées. »
La dernière virée du Racing dans le 68 a effectivement correspondu à l'une de ses deux défaites dans la saison (2-1). Méfiance et vigilance semblent donc d'indispensables précautions pour confirmer un statut de leader. Se refusant à sortir un précautionneux parapluie, le Racing a plutôt l'intention de se la jouer ambitieux.
« On peut frapper un grand coup, considère François Keller, parce que beaucoup d'équipes nous voient perdre des points à St-Louis. » En conservant au terme du week-end son inestimable avance de deux victoires sur les concurrents à la montée, à six matches de la fin, le Racing ne serait pas loin du seul Graal qui vaille, celui que ses dirigeants n'ont pas été loin de tout faire pour lui enlever.
DNA -
Allez les Bleus (+)
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Et blanc!
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Toi si tu nous livres un écran blanc (ou noir) gare à toi!
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