Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

FC Saint-Louis Neuweg

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Flux RSS 134 messages · 20.390 lectures · Premier message par samh · Dernier message par pepito

  • A l'occasion de leur qualification pour les 32es de la Coupe de France :

    Rester à Saint-Louis !

    Où Saint-Louis disputera son 32e de finale de Coupe de France, face au FC Sochaux (L 1), le 9 ou 10 janvier à venir ? Implanté sur un site classé Seveso, le stade de la Frontière local est limité à 750 spectateurs. Un accueil juste pour une telle affiche. Or, en 2006, malgré la directive, il y avait plus de 2 000 personnes, dans cette même enceinte et au même niveau de la compétition, pour assister à la défaite des locaux face aux SR Colmar (1-2). Un antécédent que les dirigeants de Saint-Louis ont l'intention de faire valoir auprès des autorités. Ils souhaitent évoluer chez eux, quitte à risquer un coup d'envoi à guichets fermés, avec les 750 places autorisées. Si la requête n'est pas acceptée, la rencontre devrait se jouer à Illzach.

    DNA
  • La flemme de regarder. Ils figurent en quel position Saint-Louis dans le championnat de CFA2 ?
  • Ils sont câlés au milieu de tableau.

    Classement

    ;)
  • Saint-Louis, un grand projet à l'horizon 2015

    Le FC Saint-Louis/ Neuweg profite de l'exposition médiatique de la Coupe de France pour afficher son ambition pour les cinq prochaines années.
    « Le projet a pour objectif la montée en National en 2015 ». Pierre Fichter, président du FC Saint-Louis/Neuweg depuis tout juste trois mois, a l'ambition à fleur de peau. Il n'hésite pas à annoncer la couleur, au risque de passer pour un doux rêveur.

    « Il y a quelque chose à construire ici, affirme-t-il. Et j'y crois très fort ». Sinon, il n'aurait jamais accepté de prendre la présidence, lui, qui, partenaire depuis quelques années, avait décidé d'arrêter de soutenir le club. « Cela ne me convenait pas », lâche-t-il tout en retenue. M. Girny, l'adjoint aux sports de Saint-Louis, le convainc d'intégrer le comité de gestion, avant de se voir proposer la présidence suite au retrait de Henri Goepfert. « Après mûre réflexion, j'ai accepté et j'ai plongé », sourit le responsable de l'entreprise Capi-Sécurité.

    Depuis trois mois, Pierre Fichter est au four et au moulin et savoure l'épopée de la Coupe de France, qui verra son équipe affronter Sochaux samedi à 18 h à Illzach en 32 e de finale. Sa présidence ne pouvait donc pas débuter sous de meilleurs auspices. « On ne pouvait pas rêver mieux, concède-t-il, c ar cela crée immédiatement un engouement dans la ville, chez nos supporters. Certains ont retrouvé le chemin du stade après plusieurs années d'absence. Il n'y a que le football qui puisse donner du rêve comme cela. »

    Mais le président ludovicien ne s'enflamme pas. Il sait très bien que les lampions seront prochainement éteints, même s'il croit très fort pouvoir battre Sochaux. Non, dès à présent, il prépare l'avenir, avec l'obsession de faire grandir le club, de lui permettre de franchir un nouveau cap.

    « Je ne veux pas de mercenaires »

    Et le travail ne manque pas. « Tout est à construire côté structures. Notre effectif à potentiel CFA2 n'est pas suffisant aujourd'hui. Mais je ne veux pas de mercenaires, je veux des gens qui viennent chez nous pour le projet. Il faut ensuite développer les partenariats, faire augmenter le budget qui est aujourd'hui de 355 000 euros. Pour réussir, il faut être crédible vis-à-vis de l'extérieur. Il y a un immense travail de fond à effectuer. Un de nos grands chantiers sera aussi consacré à l'équipe réserve, qui n'est qu'en Promotion. Cherchez l'erreur... » La section jeunes, confiée à Pascal Lemut, sera aussi revalorisée, avec l'ambition de permettre à des gamins du cru de rejoindre l'équipe première. « Y jouer doit redevenir un rêve », assène le président.

    « Je ne ferai rien à coups de dollars »

    Pierre Fichter souhaite également relancer les relations avec les clubs alentours, histoire de créer une véritable dynamique dans le secteur frontalier. « J'irai rencontrer tous les présidents dans les prochaines semaines ». Il espère aussi retirer des dividendes du partenariat lié avec le FC Bâle.

    Le président ludovicien sait cependant que tout cela prendra du temps, beaucoup de temps. « Nous nous sommes donné cinq ans, car cela ne se fera pas du jour au lendemain. Et je ne ferai rien à coups de dollars, ce n'est pas possible. Il faut faire preuve de beaucoup d'humilité, de combativité sur le terrain, de solidarité. Lorsque tous ces critères seront réunis, le club sera plus fort. À partir du moment où chaque bénévole s'implique à fond, où chacun respecte ses engagements, qu'il y va à fond, je suis persuadé que nous pouvons y arriver ».

    Cinq ans, le délai peut paraître long, mais il est en réalité très court pour hisser un club vers le National. D'autres s'y sont cassé les dents. Mais Pierre Fichter y croit. Et ça peut renverser des montagnes.

    L'Alsace
  • 32, voilà enfin Ponelle !

    Fin 2005, Alain Ponelle s'apprêtait à disputer un 32e de finale de Coupe de France face aux SR Colmar, futurs tombeurs de Monaco. Malheureusement, l'attaquant ludovicien s'était gravement blessé en championnat à Eckbolsheim. Cette fois, il sera là.

    Il a fêté sa première titularisation de la saison avec empressement. C'était le 12 décembre 2009 face à Besançon lors du 8e tour de la Coupe de France. Il revenait d'une pubalgie dont il souffrait depuis la fin du mois de mars.
    « C'est dur de rester à la maison pendant sept mois alors que les copains s'amusent dehors, souffle Alain Ponelle. Avec ce genre de truc, tu ne sais pas comment guérir. Et ça part un jour comme c'est venu. Sans savoir pourquoi. »

    Il avait perdu son boulot en Suisse à cause du foot

    Les semaines avant le rendez-vous face à Besançon, il n'avait joué que de très rares bouts de match. Le buteur qu'il est resté en avait toutefois profité pour marquer un but face à Oberlauterbach lors du 7e tour (2-1).
    Ces dernières saisons surtout, son parcours ressemble plus à celui d'un poissard qu'à celui d'un footballeur : une fracture du péroné droit, une du péroné gauche, les ligaments croisés du genou, une pubalgie « et plein de petits trucs musculaires » comme il le disait avec autant d'élégance que de fatalisme il y a quelques mois.
    « J'avais même perdu mon boulot en Suisse à cause du foot. C'était quand j'avais les croisés. Mon employeur m'avait licencié », soupire Alain Ponelle, 26 ans et à la recherche d'un emploi.
    « Ma fierté, c'est d'avoir toujours eu l'envie de revenir. De m'être accroché. J'avais envie de retrouver les copains. On se connaît presque par coeur. Et puis, tant que je peux courir, je joue. »

    Héros du 8e tour

    Lors du 8e tour de la Coupe de France contre Besançon donc, son cousin d'entraîneur, Cédric Decker, le titularise. Alain le malchanceux redevient Ponelle le bienheureux.
    Trois buts et une passe décisive pour expédier son club de presque toujours (il a joué une saison à Dannemarie car Saint-Louis était tombé en Excellence) en 32e de finale face à un club donné pourtant favori (4-0). « J'étais bien sûr heureux. Et soulagé », dit-il tout sourire.
    Celui qui avait raté l'aventure de 2005/2006 (fracture du péroné) sera là, sur le terrain, face à Sochaux. « C'est le rêve de tout footballeur amateur de pouvoir rencontrer un club de Ligue 1, s'exclame ce fan de l'OM. Pour moi, c'est une récompense après tout ce que j'ai vécu. » Comme d'habitude, il aura la même envie de gagner avec « une détermination décuplée », comme il le crie presque.
    « Ici, on ne parle que de ce match. Avant, quand une personne me croisait dans la rue, elle me disait : "Salut Alain, ça va" ? Maintenant, c'est : "Alors, Sochaux ?". C'est sympa à vivre. »

    « On aurait préféré jouer à la maison »

    Donc, il le promet, Alain Ponelle et son pied droit - « Le gauche ne fait pas grand chose », sourit-il - sont prêts à faire du dégât aux Sochaliens sur la pelouse du stade Joseph-Biechlin, à Illzach.
    « C'est le seul regret de notre aventure. On aurait préféré jouer à la maison. C'est dommage pour nous, mais aussi pour nos dirigeants, nos bénévoles et nos supporteurs. Ça aurait été aussi bien pour la ville. »
    Ce sera peut-être pour le prochain tour, allez savoir. Et le stade de la Frontière serait bien pour commettre une nouvelle fois l'impossible.


    DNA
  • Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi je vois bien la big surprise pour Saint-Louis-Neuweg face à Sochaux :-$
  • Cela va être difficile, très difficile, mais après tout pourquoi pas. C'est la magie de la coupe. =P~
  • Le groupe sochalien face à St-Louis Neuweg:

    Dreyer, Richert, Perquis, Faty, Duplus, Bréchet, Jokic, Dramé, Josse, Stevanovic, Tulasne, Martin, Dalmat, Gavanon, Maurice-Belay, Boudebouz, Butin, Privat.

    Le groupe ludovicien: Bauch, Lerose, Carray, Elmas, Rychen, Zeghouani, Ponelle, Mastroianni, Feghoul, Kaymak, Onesta, Coulibaly, Goepfert, Matter, Anatole, Senaya, Meneceur, Bus.
  • Vous commencez à m'emmerder avec votre club à deux balles et vos joueurs à deux balles ...
    Le président de Sochaux, Alexandre Lacombe, à l'attention de son homologue de
    Saint-Louis-Neuweg (CFA2), Pierre Fichter (12/01/10)


    FF.fr

    Violent quand même ! b-(
  • Si je devais rester apeuprès polis, je dirais sale con !
    Quel culot de la pars de ce mec #-o
  • Lacombe vient en une phrase de doubler la motivation des joueurs de Saint Louis. L'entraîneur aura juste à afficher ça dans le vestiaire.
  • Ah ben là c'est sûr.
    Sacré source de motivation pour les Ludoviciens. :)
  • On va bouffer du sochaliens =P~
  • rhaaa vivement ce match ^^
  • sochaux n'aime pas du tout les alsacien il nous prenne pour des allemand et la il insulte nos club mais il se croivent ou ??
  • La meilleure réponse à rapporter à ces sottes allégations sera à fournir sur le terrain pour les ludoviciens. Allez on y croit.
  • Saint-Louis ne digère pas

    Dans une lettre ouverte adressée à Jean-Pierre Escalettes, président de la Fédération Française de Football (FFF), et à Jean Djorkaeff, président de la commission d'organisation de la Coupe de France, le FC Saint-Louis-Neuweg fait part de son mécontentement - pour ne pas dire plus - suite au report du 32e de finale de Coupe de France opposant le club alsacien de CFA 2 au FC Sochaux-Montbéliard. Mais pas seulement. «Depuis que le tirage au sort nous a réservé ce que nous pensions être un privilège», débute le courrier des Haut-Rhinois, «on n'a de cesse en haut lieu de tout faire pour briser le rêve et la magie de la Coupe de France.»

    « Grand club du Sud de l'Alsace à deux balles... »

    Le FC Saint-Louis-Neuweg revient dans un premier temps sur toutes les péripéties autour du lieu de la rencontre. Saint-Louis, le stade Bonal du FCSM... «Le FC Saint-Louis-Neuweg met tout en oeuvre pour accueillir cette rencontre dans notre stade, enceinte sportive refaite à neuf en 2007», explique la lettre. «Toutes les autorisations sont obtenues dans les 48 heures (après le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe de France). Mais notre demande de dérogation est rejetée.» S'en suit plusieurs jours de négociations et autres petites phrases («grand club du Sud de l'Alsace à deux balles, avec ses joueurs à deux balles et ses questions à deux balles», dixit Alexandre Lacombe, président du FCSM). Finalement il se jouera à Illzach.

    «Chapron a tué un club»

    Alors le FC Saint-Louis-Neuweg «met tout en oeuvre pour que le samedi 9 janvier soit une véritable fête (...) On annonce de la neige ! Que cela ne tienne ! On recrute des bras et des outils et dès 7h30 ce samedi matin, on déneige, on déneige, on déneige ! (...) Un délégué (de la FFF) arrive en milieu de matinée et procède à l'inspection du terrain qu'il a jugé praticable et bon pour le service (...). M. Chapron (l'arbitre de la rencontre) n'en a cure. Il a tout juste fait un petit tour et a annoncé une décision qu'il avait prise en concertation évidente avec nos adversaires du jour, à savoir le report de la rencontre dans le but soi-disant de préserver l'intégrité physique des joueurs (...). Ce faisant, il a tué un club dont la perte va se chiffrer à plusieurs dizaine de milliers d'euros.» avant de conclure que «vos attitudes et vos décisions ne sont que mépris et suffisances.» Comme les autres 32es de finale de Coupe de France reportés le week-end, la rencontre entre Saint-Louis-Neuweg et Sochaux se disputera le samedi 25 dimanche 26 janvier. Où ? «Au stade d'Illzach», espère Saint-Louis-Neuweg, «et non au stade Bonal comme le souhaite le FC Sochaux-Montbéliard depuis le tirage au sort !»

    FF
  • flow a écrit, le 2010-01-12 20:22:29 :
    Vous commencez à m'emmerder avec votre club à deux balles et vos joueurs à deux balles ...
    Le président de Sochaux, Alexandre Lacombe, à l'attention de son homologue de
    Saint-Louis-Neuweg (CFA2), Pierre Fichter (12/01/10)


    FF.fr

    Violent quand même ! b-(


    Aucune crainte à avoir, la Fédé veille sur le fair play, le respect et l'esprit sportif (+)
    Ah merde, ça ne s'applique qu'au public, pas aux pros.
  • j'espère qu'il y aura quand même des sanction de la FFF
  • Coupe de France: Saint-Louis-Sochaux le 23 janvier à Illzach.

    C'est officiel depuis hier: la rencontre Saint-Louis-Sochaux, comptant pour les 32e de finale de la Coupe de France, a été refixé au samedi 23 janvier à 18h au stade Joseph-Biechlin à Illzach.

    L'Alsace
  • Un grand bravo au club ludovicien et à ses joueurs: match appliqué, joueurs bien en place, bon match défensif de l'ensemble de l'équipe, jeu posé et même une énorme occasion d'égalisation à le 74e. Match relativement équilibré, manquait juste un brin de folie.

    Les Joyriders ont été présents: dégradation de la main courante, lancé de fumigènes sur la pelouse et prise à partie de supporters locaux ayant nécessité la charge des CRS. L'esprit Coupe y était merci à eux (-)
  • A signaler aussi que le FCSM a refusé de laisser sa part de la recette au FC St-Louis Neuweg. Normalement, la recette est partager en deux parts égale pour les rencontres de coupe, mais il est de coutume que le club pro laisse sa part aux amateurs, surtout pour les matches à l'extérieur.

    Le FCSM a pris sa part ... et l'a reversé à la LAFA.
  • Ben, je trouve pas choquant que le FCSM le donne à la LAFA, perso :'>
  • Dans l'absolu, non. Mais on peut se demander pourquoi. Eux, ils y gagnent rien, que ça aille à la LAFA ou à St-Louis. Sauf que c'était clairement fait pour emmerder leurs adversaires du soir.
  • Saint-Louis se méfie du Thaon

    http://www.lalsace.fr/fr/images/F73C3FB3-46E3-4F04-BDAE-364B899A9...

    Le FC Saint-Louis du gardien Rodoplhe Roche ne veut pas entendre parler d'un statut de favori ce soir. Photo Jean-François Frey

    Face à l'ES Thaon, ce soir 18 h, au stade de la Frontière, Saint-Louis/Neuweg veut entériner ses excellentes dispositions du moment. Et fêter de belle manière son 100 e anniversaire.

    Une nouvelle fois, la visite des Vosgiens de l'ES Thaon, ce soir 18 h au stade de la Frontière, a été l'occasion de taquiner un peu Cédric Decker. Il est clair, qu'au vu du classement actuel, il ne devrait pas y avoir photo entre des Alsaciens bons 4 e et des visiteurs englués en zone dangereuse avec un seul succès au compteur. Mais, c'était couru, l'entraîneur frontalier repousse fermement tout statut de favori : « Ne dites pas ça ! D'ordinaire, quand nous sommes favoris, nous nous inclinons ; quand nous ne le sommes pas, nous gagnons... » En filigrane perçait une allusion à peine voilée à cette rencontre pleine et parfaite que les Ludoviciens ont déroulé samedi dernier sur la pelouse du stade Joseph Biechlin d'Illzach. « Il va nous falloir à présent confirmer nos bonnes dispositions et faire preuve du même sérieux face à Thaon » souligne Cédric Decker.

    Tous les héros de Biechlin ne seront toutefois pas de ce duel face aux Vosgiens de Michel Swistek : Olivier Onesta est à l'infirmerie et Oxence M'Bani dispute une rencontre de la sélection congolaise. Dépourvu de défenseurs supplémentaires, Decker envisage de faire glisser un milieu défensif au poste de latéral. Dans le secteur offensif, tout va bien, l'ASIM s'en est rendue compte le week-end dernier. Et ça ira d'autant mieux que Perez, de retour de blessure, pourrait bien apporter un peu de vivacité supplémentaire aux avant-postes.

    Quoi qu'on en pense, abondance de biens ne nuira probablement pas face à ces Vosgiens, qui chez eux, restent sur un résultat tout à fait honorable, ne s'inclinant que d'un tout petit but (3-4) face aux minots de l'AJ Auxerre, pour l'heure au commandement de la poule. Dans les heures précédant la rencontre, Saint-Louis/Neuweg sera en liesse, trempé dans les festivités du centenaire du ballon rond en cité Porte de France. Une piqûre de Thaon, que Kaymak et les siens veulent éviter à tout prix, ferait un peu désordre au tableau. Elle serait comme une piqûre de rappel pour remettre en mémoire, que le football est loin d'être une science exacte.

    L'Alsace
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