[2009-2010] RCS - Le Havre | Avant-match
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katzo68racing67400 a écrit, le 2010-05-06 19:29:45 : Je suis arrivé à l'entraînement à 17h15 (initialement prévu à 17h l'entraînement). A 17h20 ils avaient déjà fini.
Soit ils ont commencé plus tôt ou soit Janin voulait les préserver pour demain...
Me semble que l'entraînement à débuté à 16 heures, ou me tromperais-je? -
03/05: Entraînement 10h 04/05: LIGUE2 - 36e journée GUINGAMP - RCS à 20h 05/05: Entraînement 11h 06/05: Entraînement 17h 07/05: LIGUE2 - 37e journée RCS - LE HAVRE à 20h30 08/05: Entraînement 11h 09/05: Récupération -
Echos
Échos Au vert à Molsheim
Pour rompre avec les habitudes et s'adapter à l'urgence de la situation, les techniciens strasbourgeois ont modifié le planning de la semaine. Alors que les Bleus devaient initialement s'entraîner ce matin, ils se retrouveront cet après-midi (16 h 30) à la Meinau pour la séance de veille de match et partiront au vert dans la foulée. Mais au lieu de prendre leurs quartiers dans un hôtel de la périphérie strasbourgeoise comme ils le font d'ordinaire en pareil cas, ils s'installeront dans un établissement de Molsheim que le RCS fréquentait régulièrement au début des années 2000. « Nous allons nous resserrer sur nous-mêmes », justifie le président Plessis. Au groupe de seize battu à Guingamp avant-hier s'ajouteront pour cette mise au vert Seïd Khiter et Mamadou Bah (de retour de blessure). Pascal Janin n'opérera la sélection définitive que vendredi matin.
Lésion confirmée pour Fauvergue. « C'est mon grand regret : que notre meilleur attaquant, Nicolas Fauvergue, soit blessé. Mais bon, j'aurai des nouvelles de sa santé par le médecin ce soir (hier) et on ne sait jamais. » Jean-Claude Plessis voulait encore croire hier en un rétablissement miraculeux de son meilleur buteur. Il va devoir déchanter. L'échographie passée mardi par l'avant-centre a confirmé une déchirure à la jonction tendino-musculaire de l'adducteur droit. Hier soir, « Nico » a également subi une IRM (imagerie à résonance magnétique) pour définir avec plus de précision encore la nature de sa blessure et la durée de son indisponibilité. Les résultats ne devaient être connus que très tard. Ils ne le seront peut-être même que ce matin.
L'Alsace -
C'était 16h30 alors...
Merci le SO ! Heureusement que je n'y suis pas que allé pour l'entraînement. -
J'espère voir un Gueye-Ledy en attaque...
Ca avait bien marcher face à Guingamp...à l'aller bien sur 
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moi je mettrais un 4-5-1 ,ce qui veut pas forcement dire ne pas attaquer
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Un matchc omme ça on n'a pas le droit à l'erreur : il faut gagner!!!
Donc un 4-4-2 :D
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Arrêtes avec tes " "
On joue le maintien en Ligue 2, n'abuse pas non plus. -
on a bien joué en 4-4-2 un bon nombres de matchs cette saison et on a perdu , et en 4-5-1 ca veut pas forcement dire perdre
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racing67400 a écrit, le 2010-05-06 21:13:57 : Arrêtes avec tes " "
On joue le maintien en Ligue 2, n'abuse pas non plus.
J'essaye de me monter optimiste, parce que c'est pas en les sifflant de jouer mal pour raison qu'il jouer la L1 il y a quelques années... -
J'espère que toutes les personnes qui seront au stade demain seront motivés pour soutenir l'équipe, un peu comme face à Nîmes en début de match... J'avais trouvé ca sympa. Ils ont besoin de nous, jouons notre rôle du 12eme homme a fond!
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Le 442 nous a pas mal réussi à domicile si je ne m'abuse ? En tout cas qu'il y ai une ou 2 pointes, il faudrait 4 voir 5 joueurs capables de marquer.
L'autre priorité ce sera de le prendre à la gorge physiquement pour ne pas les laisser jouer. Il vont forcément arriver décontracté donc va falloir tout de suite les calmer. Bizarrement j'ai l'impression que tout le monde redoute plus le déplacement à Chateauroux mais ce match contre Le Havre est tout aussi capital et pas gagné d'avance. -
oui il reussi bien c'est vrai mais au vu de l'effectif et des qualitée offensive Marcos zenke de carvalho ledy on connait leur limites mais bon en esperant qui en ai un qui marque demain
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Le match de demain,on aura besoin du mental.mème moi qui ne joue pas au football,si on met au stade le Havre ne nous gagnera pas.C est pour cela que je demande aux joueurs un brin d orgueil.NE NOUS FAITES PAS CA, PAS LA D3
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Victoire 55,8%
Match nul 20,9%
Défaite 23,3%
Petit sondage sur les chances de victoires Havraises à Strasbourg
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j'ai peur les gars, j'ai peur
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tu n'es pas le seul :(
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Et il sort d'où ce sondage ?
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Cessez d'être pessimistes, si le Racing gagne contre le Havre (déjà en vacances) et que Istres et Gulngamp perdent, ils sont assurés de rester en L2. Le goal-average d'Istres est bien trop mauvais pour leur permettre de repasser devant le RCS lors de la dernière journée. Je sais, ça fait beaucoup de "si" mais c'est parfaitement envisageable comme situation.
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et pourquoi Istres perdrait à domicile face à Nimes qui n'a plus rien à jouer non plus ? Pour moi c'est très peu probable. Sachant que ces mêmes istréens vont à Bastia à la dernière journée face à une équipe qui ne sera plus concernée et dans un stade pas loin d'être vide. Donc non, je n'arrive pas à être optimiste. :(
Bref toutes nos hypothèses partent du postulat que le racing gagne face au Havre... si jamais il réussissent l'exploit de pas gagner, je me demande comment va réagir le public... -
Faut mobiliser le maximum de monde autour de soi pour se rendre au stade pour ce match, c'est un tournant historique pour le Racing qui 'est jamais descendu en troisième division si nous perdons : il faut une union sacrée face au Havre. Je ne peux pas croire qu'on puisse jouer en national.
Demain il faudra être mobilisé, nombreux et faire du bruit. -
Strasbourg «préoccupe» son président
Des sensations, il pourrait bien y en avoir aussi en bas de tableau, et pas des moindres. De Nantes (13e, 45 points) à Guingamp (19e, 40 points), tout est encore possible. Et les deux clubs bretons ne sont pas les seuls gros bras en danger. Le sort de Bastia est, sauf improbables retournements de situations, scellé depuis sa défaite face à Vannes (1-2), mardi. Quant au RC Strasbourg l'inquiétude s'est vite réinvitée à la table après seulement cinq points récoltés lors des sept dernières journées. «Je suis franchement préoccupé», n'a pas caché le président alsacien Jean-Claude Plessis dans L'Equipe.
On le comprend, puisque après la réception du Havre, ce vendredi, son club se rendra à Châteauroux, un concurrent direct ragaillardi par son franc succès face à Arles-Avignon en milieu de semaine (3-0)..
L'Equipe.fr -
il a de quoi etre preocupé ,meme en leur donnant des primes ca les motives pas
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La victoire ou le néant
Pour leur dernier match à domicile de la saison, les Strasbourgeois sont dans l'obligation de gagner face aux Havrais pour éviter la disparition d'un club du panorama professionnel. Ce soir, le Racing se consacre à un match mais aussi à la défense d'une certaine idée du sport en Alsace.
C'est comme si le temps s'était mis au diapason. En ce printemps naissant, le Racing joue sa tête en L 2 dans une ambiance de Toussaint. Pour la dernière chance d'un mort-vivant, la pluie frigorifiante est finalement de saison.
Le ton tragique ne serait pas approprié ? Une relégation en National correspondrait à une radicale vague de licenciement. Les échos concernant les finances du club augurent d'une pilule plus amère encore dans quelques semaines. A une relégation sportive pourrait s'ajouter une relégation administrative. Plutôt que de rejoindre un championnat semi-professionnel en fin de saison, le Racing en serait quitte pour une plongée dans le monde amateur, le vrai (lire page suivante).
« Tant que le match n'est pas
joué, il n'est pas perdu »
Il ne s'agit encore que d'une perspective virtuelle. Une victoire face au Havre, avant un résultat positif à Châteauroux, préserverait les Bleus de la funeste catastrophe. Au regard du comportement affiché à Guingamp, cet enchaînement s'apparente à un rêve. Au regard du résultat décroché à l'issue du dernier match à la maison, face à Nîmes (1-1), globalement correct, il apparaît presque impossible.
Le Racing file un mauvais coton, depuis le début de saison et même avant. Il n'est pas encore l'heure d'identifier les responsabilités. Il est plutôt l'heure de mesurer ses chances de s'en sortir. « On est dos au mur depuis un moment, relève Pascal Janin qui s'était sauvé avec Brest, à l'avant-dernière journée de l'exercice 2006-2007. Et, si les pronostics ne sont pas favorables, on n'est pas encore en National. Tant que le match n'est pas joué, il n'est pas perdu. »
La tendance est donc funeste. Les 31 276 votants au sondage organisés par le quotidien national du sport ont donné 46 % de chance au Racing de s'en sortir. On remarquera que les rivaux, en lutte dans la galère, ne lèvent pas le pied et respectent un implacable rythme affiché ces dernières semaines. Le Racing a récolté cinq points en six matches, Istres onze dans le même temps, Guingamp neuf, quand Vannes a accumulé dix points en quatre rendez-vous et Châteauroux neuf en cinq.
En d'autres termes, Lacour, Rodrigo et les autres présentent le profil idéal pour accompagner les Bastiais, quasiment condamnés, et les Ajacciens, sur un pente (très) savonneuse - deux points en six matches. Tout porte à croire que la charrette de la L 2 sera alsaco-corse.
Quelles seraient les raisons d'y croire ? « A domicile, les joueurs ont développé des choses cohérentes, remarque l'entraîneur à la chasse à la sinistrose. Et le 12e homme peut donner des petites ailes supplémentaires ». Il faudrait encore trouver quelques candidats-spectateurs à une Rédemption, pas refroidis devant la possibilité d'un enterrement.
Au final, les Strasbourgeois seraient bien inspirés de ne compter que sur eux. Assurés de décrocher le trophée de la pire équipe du Racing jamais alignée dans un championnat professionnel, les hommes de Janin ont une petite chance d'édulcorer l'incontestable statut de Strasbourg: celui de la pire ville de sport en France.
DNA -
Un pistolet sur la tempe
Remplaçant depuis deux matches, Magaye Gueye, meilleur buteur du Racing en l'absence de Nicolas Fauvergue, blessé, devrait retrouver une place de titulaire en attaque.
Pour conserver une chance de se maintenir, le RCS doit absolument vaincre ce soir (20h30) à la Meinau un Havre AC en chute libre à l'extérieur depuis plusieurs mois.
C'est l'information du jour, dévoilée hier midi par le directeur général Christophe Cornelie lors d'un déjeuner au centre de formation et confirmée en début de soirée par Jean-Claude Plessis. Même en cas de relégation en National, les nouveaux propriétaires du Racing ne vendront pas. Et Plessis, qui, ces derniers jours, assurait qu'une descente engendrerait son départ, restera sans doute à la présidence. « C'est exact », ne nie pas l'ancien président du FC Sochaux. « Jafar Hilali (Ndlr : actionnaire minoritaire, mais véritable homme fort du RCS) m'a dit : « Si nous descendons, je garde le club et il n'est pas question que tu partes. Nous reconstruirons ensemble. » Croyez-moi, c'est un combattant. »
En clair, si le Racing vient à toucher le fond, ses actionnaires comptent y prendre appui pour remonter à la surface à court ou moyen terme. A l'image de Toulouse il y a quelques années.
Cette annonce, qui coupe court à toute rumeur de désengagement, révèle surtout que les actionnaires londoniens intègrent peu à peu l'idée d'un scénario catastrophe. Et qu'ils se préparent à « l'inimaginable » décrit par Plessis hier dans ces colonnes. Un « inimaginable » que Pascal Janin refuse de faire rimer avec inéluctable.
Un peu plus qu'à l'accoutumée, l'entraîneur strasbourgeois a ces jours-ci enfilé le costume de psychologue. « Je dois m'attacher à montrer aux joueurs ce qu'ils ont fait de bien contre Nîmes plutôt que ce qu'ils ont mal fait à Guingamp. Nous devons nous rapprocher de ce que nous avons réalisé face aux Nîmois, l'efficacité en plus. » Mais Nicolas Fauvergue en moins. Un seul être vous manque et toute une attaque est dépeuplée. Un constat que dressait Gilbert Gress dès juillet. « On n'a pas remplacé Kandia Traoré, James Fanchone et Renaud Cohade qui ont inscrit 30 buts en 2008-2009 », s'insurgeait alors le coach bientôt évincé.
« On récolte ce que l'on sème »
Dès l'automne, Janin en avait rajouté une couche en réclamant un joker offensif jamais accordé , avant de réitérer sa demande au mercato d'hiver. Seul Basile De Carvalho avait été rattrapé au vol le 31 janvier. « J'ai tiré la sonnette d'alarme très tôt, parce qu'il me semblait que nous étions en danger sur le secteur offensif. Avec un Gueye et un Fauvergue en forme et opérationnels toute la saison, nous aurions sûrement pris les cinq-six points qui nous manquent. Mais les blessures ont fait que ça nous a pété (sic) au nez. Ceci dit, nous ne sommes pas encore en National. Les pronostics ne nous sont pas favorables, mais avec l'envie, on peut retourner des situations. Après, s'il faut trouver des responsables et des coupables, je laisserai l'extérieur s'en occuper. »
Comme beaucoup en interne, l'entraîneur des Bleus considère que la déliquescence du club est la conséquence prévisible de la politique menée depuis plusieurs années. « J'ai tendance à penser que l'on récolte ce que l'on sème. Les choses sont venues insidieusement sur plusieurs saisons. Le club n'a peut-être pas mis en place les moyens nécessaires pour éviter de se retrouver dans cette situation. C'est comme le centre de formation. Ses techniciens, qui ont prouvé leur compétence, ont subi des coupes économiques qui les ont pénalisés. Le Racing le paie aujourd'hui, avec la relégation de la réserve. »
« Il n'y a plus rien dans ce club », constatait, amer, Jean-Claude Plessis mercredi, « mais je suis persuadé que tout peut repartir très vite. » Encore faudrait-il ne pas repartir de trop bas. C'est tout l'enjeu du match de ce soir.
Stéphane Godin
Suspendu : Gurtner (Strasbourg). Absents : à Strasbourg, Fauvergue (adducteurs), Pichot (cuisse), Gargorov (reprise), Bezzaz (rééducation), Kébé (rééducation), Correia (rééducation), Damour (orteil), Pelé, Abadie, Gasmi, Dedola (choix de l'entraîneur) ; au Havre, Placide (genou), Davidas (dents), Bonnet (adducteurs), Rakotoharisoa (tibia), Anin (reprise), Alla (reprise), Lesage, Gigliotti, Baseya, Kana-Biyik, Norbert, Youssouf, Mohamed (choix de l'entraîneur
L'Alsace
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