Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Patrick Spielmann

Chargement...

Flux RSS 227 messages · 22.760 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par lepatron

  • Ce message est une brève publiée par strohteam.
    Patrick Spielmann juge « grotesque » la volonté de Jafar Hilali de récupérer les liquidités de l'association. « Une chose est certaine : nous ne dirons pas amen ».
    Source: L'Alsace
  • Allez Patrick, c'est le moment de sortir du bois et de montrer que tu en as. La seule issue viable est désormais ce fameux plan B, mais il faut qu'il soit porté par l'Association devant les instances de la Fédération. Si on attend de connaître le sort réservé à la SASP, il sera peut être déjà trop tard ...
  • J'ai quand même un peu de mal à comprendre pourquoi on s'embête avec la SASP. On n'a qu'à dire que la SASP n'a plus de numéro d'affiliation ( et donc d'objet ) et la laisser se débrouiller et remonter avec l'équipe amateur. Voire donner le numéro d'affiliation à un autre entrepreneur ( sitterlé par exemple ) en disant que c'est lui qui désormais représente le racing.


    Bon j'imagine bien que si cela avait été possible ça aurait été fait il y a longtemps mais si quelqu'un pouvait m'expliquer le système j'en serais ravi.
  • Il faut distinguer le numéro d'affiliation et les droits sportifs correspondant aux équipes séniors. L'asso dispose du premier, la SASP des seconds. Ce qui les oblige en temps normal à marcher main dans la main. S'il y a un problème, c'est le comité exécutif (anciennement le conseil fédéral) qui tranche.
  • Ce doit être un peu le serpent qui se mord la queue. S'il n'y a plus de no d'affiliation, il n'y a plus d'équipes (I et II) et l'association peut repartir en amateur mais au niveau le plus bas.
    Si l'on veut pouvoir repartir en CFA, voire en CFA II, il faut bien que le RCS actuel soit inscrit d'une manière où d'une autre.
    Le problème alors, c'est qu'en ayant fait durer les choses, J. Hilali a un sursis jusqu'à la mi-juillet et peut déposer le bilan à ce moment là, entrainant équipe I et II dans le naufrage.
    La seule solution passe forcément par une négociation en sous-main avec la FFF qui permette au plan B (maintien de l'équipe en CFA avec dissociation de la SASP).
    Si cette négociation à eu lieu et si un plan B est entériné, il ne fait aucun doute que la FFF aura donné la marche à suivre à l'association au sujet de ce numéro d'affiliation.
    Dans le cas contraire, on part en plein brouillard et le pire n'est pas exclu (interdiction de tout championnat et disparition pure et simple du club.)
    Ceci n'est bien sur que mon avis, la situation semble très complexe et peut varier d'un jour à l'autre.
  • Il y a un portrait de lui en pages région des DNA. On apprend pas grand chose à part qu'il est arrivé au club en tant que sponsor dans les années 80, qu'il aime bien le golf et qu'il passe 4h par jour au téléphone à propos du Racing - et qu'il en un peu marre. On sent pas le type hyper radical, j'espère que la montagne ne finira pas par accoucher une fois de plus d'une souris.
  • Le lecteur lambda des DNA comprend que Spielmann est un mou et le lecteur Iota de l'Alsace que c'est un dur.

    Extrait de la Pravda

    Mais priver la section pro du numéro d'affiliation n'entre pas dans la réflexion du dirigeant. « Sur le sujet, on ne va même pas arrêter une position lundi (ndlr : aujourd'hui), je vous le garantis, conclut-il. S'il faut en passer par des phases intermédiaires pour continuer à travailler à des solutions, quitte à passer pour un mollasson, je veux bien être celui-là ».

    Extrait de l'Alsace

    À voir. Mais après avoir longtemps été l'un des derniers supporters de l'homme d'affaires de la City, P. Spielmann a opéré une volte-face à 180°. « Si cela ne tenait qu'à moi, je ne donnerais pas le numéro », disait-il l'autre mercredi à la sortie d'un conseil d'administration. « Mais je suis un légitimiste et ça devra être débattu en AG. »


    Le lecteur s'informant au Nord et aus Sud en ressort désemparé.
  • Ils vont donner le numéro d'affiliation... Un peu (beaucoup ?) par faiblesse, un peu dans le fol et naïf espoir que le Racing pourrait encore être racheté.
  • Je crois surtout que chaque journaliste lui fait dire ce qu'il veut bien entendre.

    Allez Spielmann, mets tes gonades sur la table pour une fois, et prends position sinon tu seras considéré par moi-même comme un vulgaire Charles Buttner ou Gemmrich.
  • Avec l'énergie du désespoir

    Dans la tourmente quant à l'avenir du Racing club de Strasbourg et de son centre de formation, Patrick Spielmann, le président de l'association support RCS, raconte son quotidien mouvementé entre coups de fil et réunions pour trouver enfin une solution.

    Dire que Patrick Spielmann a la tête des mauvais jours serait exagéré. Dire qu'il semble tout à fait décontracté serait mentir. Le visage fatigué, il parle lentement, retraçant avec nostalgie les dernières années du club. « Quand je pense qu'il y a deux ans, nous étions aux portes de la Ligue 1 », se souvient-il amèrement.
    Pour parler de la situation actuelle, il pèse et fait attention à chacun de ses mots. Notamment lorsqu'il parle de Jafar Hilali. Pour le qualifier, il l'appelle « le président de la S.A.S.P ou du Racing ». Ou plus simplement « il ».

    Quatre heures au téléphone chaque jour

    « Le problème, c'est que dans cette situation, on doit faire attention à tout ce qu'on dit », précise le président de l'association support RCS. Depuis que le conflit est ouvert avec le président du Racing, il passe ses journées entre son téléphone et les réunions.
    « Honnêtement, je dois passer en moyenne quatre heures par jour au téléphone, que ce soit dans mon bureau, dans la voiture et même chez moi le soir », raconte celui qui sera à la retraite à la fin de la semaine. « Je suis en contact deux à trois par jour avec l'encadrement du centre de formation, la mairie ou la ligue d'Alsace pour que l'on voie comment les choses avancent et que l'on essaie de trouver des solutions. »
    Une fois le téléphone raccroché, le sujet revient encore inlassablement. Où qu'il aille, le Racing revient dans toutes les bouches et toutes les conversations. Au milieu de tout ça, plus vraiment le temps de s'adonner à sa passion pour le golf. « Je devais y aller samedi, mais il y a encore une réunion. »
    Depuis que le président Hilali a siphonné les comptes de l'association, le conseil d'administration se réunit deux fois par semaine, au lieu de deux fois par an habituellement.
    Plus le temps d'aller taper quelques putts au golf de la Wantzenau. « J'y suis allé plusieurs fois avec Antoine Kombouaré et Pascal Janin, qui sont d'excellents joueurs », confie-t-il au passage. « C'est un sport qui demande beaucoup de concentration. Se focaliser sur autre chose, ça permet de faire abstraction de ce qui va moins bien. Quand je rentre à la maison, on ne parle pas de ça. Ma famille sait que j'en ai déjà parlé toute la journée et puis ma femme en a marre d'entendre parler du RCS ». Comme pour beaucoup, la famille est ce qu'il y a de plus important, « mais le Racing n'arrive pas loin derrière », ajoute-t-il en souriant.

    «Quand je me lève, c'est ma première pensée»

    Fan de la première heure, il a découvert le club lorsqu'il avait cinq ans. À l'époque, ses parents venaient de s'installer rue Ignas-Pleyel, à côté du stade de la Meinau.
    L'histoire d'amour se concrétise en fait dans les années 1980. Il fait d'abord partie des annonceurs via la société d'assurance La Strasbourgeoise dont il était le directeur marketing. «A vec cette situation, la première chose à laquelle je pense le matin en me levant, c'est de trouver des solutions, car ce qui arrive est totalement injuste. »
    Aujourd'hui et malgré la retraite, il espère passer moins de temps au téléphone ou au centre de formation : « Forcément, si j'étais moins ici, ça voudrait dire que le club va mieux. »

    Marc Mechenoua

    DNA
  • rcs2009 a écrit, le 2011-06-27 17:08:15 :
    « Honnêtement, je dois passer en moyenne quatre heures par jour au téléphone, que ce soit dans mon bureau, [g]dans la voiture



    Oh le malheureux! :O
    Il va perdre des points! :O
    On ne dit pas ça dans un journal! :O

    Big brother is watching you :|s

    Tardivement préventivement sien, Paplo
  • J'ai mon grand patron qui téléphone aussi beaucoup dans sa voiture, sans que la maréchaussée y trouve à redire.

    Il faut dire qu'il a un chauffeur.
  • paplo a écrit, le 2011-06-28 12:09:48 :
    rcs2009 a écrit, le 2011-06-27 17:08:15 :
    « Honnêtement, je dois passer en moyenne quatre heures par jour au téléphone, que ce soit dans mon bureau, dans la voiture



    Oh le malheureux! :O
    Il va perdre des points! :O
    On ne dit pas ça dans un journal! :O

    Big brother is watching you :|s

    Tardivement préventivement sien, Paplo

    Il n'a pas précisé qu'il utilisait ou non un kit main libres, encore autorisé pour le moment ;)
  • Quelqu'un pourrait-il lui indiquer où acheter un kit couilles-en-bronze?
  • Total soutien à Spielmann dans sa guerre contre l'autre escroc
  • Spielmann ou l'art de retourner sa veste #-o
  • On peut comprendre qu'il ne veuille pas être celui qui donnera le coup de grace au Racing....et surtout le refus aurait donné des arguments juridiques a l'autre.
  • Mouais, alors qu'il se taise, et n'agisse pas constamment comme une girouette :(
  • Oui mais il faut comprendre que la situation est difficile a tenir pour lui, donc il me semble qu'un peu de retenue a son égard serait la bienvenue et que certains devraient garder leurs critiques et rancoeur pour le véritable coupable de ce merdier....
  • Simple constatation, après il est clair que l'instigateur de tout ce merdier est connu de tout le monde ;)
  • Il a quand même du mesurer les risques, si le No d'affiliation n'est pas attribué au 30 juin, peut-être qu'il est matériellement impossible de le faire glisser à une équipe portée par l'association à temps. Qu'en fin de compte, cela signifie qu'il n'y aurait aucune équipe en championnat en 2011/2012.
    Ce n'est pas ce qui est envisagé. Même, comme c'est probable, en cas de mort de la SASP, le club doit continuer d'exister en version amateur. Ce n'est qu'à ce moment là que l'association pourra prendre le rennes à la place du sinistre londonien.
  • Patrick Spielmann dans l'étau

    http://www.lalsace.fr/fr/images/B5592607-21F9-4E2A-BD0D-11AC24FF5...

    C'était le 25 août : l'adjoint Alain Fontanel, le maire Roland Ries, Frédéric Sitterlé, le président de la LAFA Albert Gemmrich et Patrick Spielmann (au fond) présentaient le projet de reconstruction du club. Six mois plus tard, ce dernier pourrait bien prochainement disparaître du panorama. Photo Jean-Marc Loos

    Sauf surprise, le président de l'association amateur livre son dernier « combat » dans le débat qui l'oppose à Frédéric Sitterlé sur la convention de gestion et le contrat de licence de marque que ce dernier entend faire approuver à la fin du mois en assemblée générale. Il sera ensuite sans doute débarqué.

    L'image, tournée par la Web TV locale « StrasTV » et relayée par le site internet du Racing, a fait le tour de la toile. On y voit Frédéric Sitterlé, investisseur et propriétaire à ce jour toujours virtuel du Racing, et Patrick Spielmann, président de l'association support, commenter le dernier conseil d'administration, sitôt terminée la réunion marathon de 4 heures l'autre lundi.

    Chaque mot est soigneusement pesé. P. Spielmann semble parler sous le contrôle de F. Sitterlé. Impression confirmée d'ailleurs à l'image lorsque le premier, au sortir d'un monologue, se tourne vers le second et lui demande : « C'est bien ça ? »

    Ce que ne dit pas la vidéo de « StrasTV », c'est dans quelles conditions elle a été tournée. Sans prévenir personne, l'homme d'affaires de Blodelsheim a convié la Web TV au CA pour le filmer dans son intégralité. Spielmann a refusé sans transiger cette intrusion journalistique sans précédent et qui n'est pas sans rappeler le « Big brother is watching you » du roman d'anticipation de George Orwell, « 1984 ».

    Cette fin de non-recevoir opposée par le président de l'association a d'entrée fait monter d'un cran une tension encore avivée par une déclaration de Frédéric Sitterlé sitôt après. L'homme d'affaires de Blodelsheim a fait part de son intention d'assigner en justice « L'Alsace », son (ses) informateur (s) et Damien Kleinmann, l'adjoint au directeur régional de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, après l'article paru dans nos colonnes le samedi 4 février. Un article dans lequel D. Kleinmann, s'appuyant sur certains passages du Code du Sport, affirmait que la convention de gestion et le contrat de licence de marque RCS ne pouvaient être dissociés et qu'ils ne pourraient être validés en l'état par le Préfet dont l'autorité fait loi.

    « Nous sommes coincés »

    De ses joutes musclées avec l'ancien propriétaire Jafar Hilali, Patrick Spielmann, qui avait longtemps tout fait pour ne pas froisser le Londonien, a beaucoup appris. Mais autant toute l'association était derrière lui dans son combat face à l'ex-actionnaire majoritaire, autant ses appuis se dérobent les uns après les autres depuis qu'il a déclaré qu'à ses yeux, les conventions proposées par Frédéric Sitterlé étaient « inacceptables et dangereuses » pour la survie de l'entité qu'il dirige.

    En s'opposant à l'homme d'affaires de Blodelsheim, passé maître dans l'art de soigner - en faisant vibrer à fond la corde de ses origines régionales - sa communication et son image auprès d'une opinion publique sous le charme, Spielmann mène un combat perdu d'avance.

    Pourtant, que disent objectivement les faits à ce jour ? Que Frédéric Sitterlé a, avec un investissement personnel limité à 156 000 euros pour le rachat de la marque et du mobilier, épuisé le « trésor de guerre » que possédait encore l'association au début 2011-2012 : 728 000 euros. Il a réussi là où a échoué Jafar Hilali, qui, avec ses acolytes, avait investi et perdu 6,5 millions, mais était devenu l'ennemi public n° 1. Pressée de tourner la sombre page londonienne, l'association lui a même remis le « magot » avec le sourire.

    Un club sans contre-pouvoir
    Aujourd'hui, sa trésorerie, renflouée par le récent versement d'une grande partie des subventions de la Ville et de la CUS (voir par ailleurs), est amputée de ce bas de laine. Et Sitterlé, qui fait désormais de la signature des conventions un préalable à son investissement, sait que le temps joue en sa faveur. « À un moment ou un autre, maintenant que le reliquat 2010-2011 est épuisé, la situation financière de l'association va devenir intenable », observe un autre membre du club, « Nous n'avons aucune solution de repli et sommes coincés. »

    D'autant plus que le patron de la holding Blodelsheim Media Venture a « annexé » ou presque le CA, après en avoir modifié les statuts pour mieux y placer ses proches. Dès mardi dernier, la rumeur d'une démission prochaine de Patrick Spielmann a circulé. Celle de son remplacement par le trésorier Gérard Lehr, proche de Sitterlé après avoir pourtant fait une offre de services à Hilali en janvier 2010 avec l'agent de joueurs Frédéric Dobraje et l'ex-directeur administratif du RCS, Thierry Veil, aussi.

    Dans les faits, Spielmann, injoignable depuis une semaine et qui n'ignore pas qu'un simple vote du CA suffirait à sa mise en minorité et sa destitution, entend défendre jusqu'au bout une cause qu'il estime juste et que résume ainsi un troisième acteur du club. « Patrick est convaincu qu'il se bat pour assurer l'avenir de l'association. S'il y a bien quelque chose que tout le monde lui reconnaît, c'est son amour du club et son intégrité. Sa force, c'est son honnêteté. De ce fait, sa mise à l'écart poserait évidemment question. » Tous ceux qui croisent sa route ces jours-ci le décrivent comme pessimiste, mais combatif. Son éviction offrirait à Sitterlé toute latitude pour mener le club à sa guise. Sans contre-pouvoir. C'est là tout l'enjeu de ce qui se trame en coulisses ces dernières semaines.

    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par strohteam.
    Patrick Spielmann, qui serait en désaccord avec Frédéric Sitterlé, pourrait prochainement être démis de la Présidence de l'ARC Strasbourg.
    Source: L'Alsace
  • Quelque part je me marre.. .... ...

    Vive Hilali.

    :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :))
  • Décidément s'a n'ira jamais dans ce club..... Qui a une poupée vaudou Racing?
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch
Redirecting to https://racingstub.com/chat/1/write Redirecting to https://racingstub.com/chat/1/write.
Redirecting to https://racingstub.com/chat/1/last Redirecting to https://racingstub.com/chat/1/last.

Mode fenêtre Archives