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- Côté tribunes
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- Par kibitz
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Des buts mais rien de spécial dans les tribunes.
Pas de grande envolée lyrique ni de récit passionnant : à la Meinau en ce moment, le spectacle n'est pas davantage dans les tribunes que sur le terrain. Et pourtant on voit des buts. Trop de buts d'ailleurs...
Oh bien sûr, on annonce toujours officiellement près de 11 000 personnes, mais les chiffres sont aussi crédibles que le Racing question stabilité, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'y a pas foule au stade, ni dans le Kop d'ailleurs.
Cette fois, pas de messages lapidaires à l'adresse des dirigeants ou des joueurs, ni de grève. « Je ne vous jette pas la pierre, Pierre », mais on était à deux doigts de vraiment s'agacer. La crise semble se calmer au moins dans les coulisses, et peut-être sur le terrain avec une première victoire ?
Dans le Kop on applaudit, on chante, on espère, comme les nombreux Sedanais qui se feront entendre de temps en temps. On s'amusera quelques minutes lorsqu'un ancien capo UB90 enterrant sa vie de garçon vient reprendre « joyeusement » quelques chants au micro, mais les moments de détente ne dureront pas.
En effet sur le gazon, on est plutôt maudits et les Sangliers ouvrent le score dans une Meinau dépitée mais pas encore totalement abattue et les sifflets seront discrets à la mi-temps.
La suite lui donnera raison puisqu'à l'heure de jeu Ledy égalise. Allez, on y croit à nouveau !
Mais il est dit que ce début de saison sera amer et Sedan reprend l'avantage d'une belle frappe cinq minutes plus tard...
Cette fois l'aigreur commence à se manifester, les sifflets sont plus nourris et le Kop est perturbé quelques instants le temps de calmer les ardeurs d'un Strasbourgeois monté jusqu'au perchoir des ultras pour faire cesser les chants.
La parenthèse refermée dans le calme, les UB90 essaient de relancer la machine pendant que les supporters sedanais se font de plus en plus entendre. On en appelle à la solidarité, à la foi mais seuls les irréductibles ont encore la force d'y croire.
Et pourtant, lors d'un dernier rush désespéré, Gueye égalise dans les arrêts de jeu avant d'exploser de joie. Le Kop exulte, trop content d'arracher le point du match nul. Un malheureux point volé dans le temps additionnel à domicile pour ne pas s'enfoncer encore plus dans la crise et ne pas figurer à la dernière place du championnat de Ligue 2. Misère...
Allez Racing, tes supporters sont las... Toujours là ?
Oh bien sûr, on annonce toujours officiellement près de 11 000 personnes, mais les chiffres sont aussi crédibles que le Racing question stabilité, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'y a pas foule au stade, ni dans le Kop d'ailleurs.
Cette fois, pas de messages lapidaires à l'adresse des dirigeants ou des joueurs, ni de grève. « Je ne vous jette pas la pierre, Pierre », mais on était à deux doigts de vraiment s'agacer. La crise semble se calmer au moins dans les coulisses, et peut-être sur le terrain avec une première victoire ?
Dans le Kop on applaudit, on chante, on espère, comme les nombreux Sedanais qui se feront entendre de temps en temps. On s'amusera quelques minutes lorsqu'un ancien capo UB90 enterrant sa vie de garçon vient reprendre « joyeusement » quelques chants au micro, mais les moments de détente ne dureront pas.
En effet sur le gazon, on est plutôt maudits et les Sangliers ouvrent le score dans une Meinau dépitée mais pas encore totalement abattue et les sifflets seront discrets à la mi-temps.
La suite lui donnera raison puisqu'à l'heure de jeu Ledy égalise. Allez, on y croit à nouveau !
Mais il est dit que ce début de saison sera amer et Sedan reprend l'avantage d'une belle frappe cinq minutes plus tard...
Cette fois l'aigreur commence à se manifester, les sifflets sont plus nourris et le Kop est perturbé quelques instants le temps de calmer les ardeurs d'un Strasbourgeois monté jusqu'au perchoir des ultras pour faire cesser les chants.
La parenthèse refermée dans le calme, les UB90 essaient de relancer la machine pendant que les supporters sedanais se font de plus en plus entendre. On en appelle à la solidarité, à la foi mais seuls les irréductibles ont encore la force d'y croire.
Et pourtant, lors d'un dernier rush désespéré, Gueye égalise dans les arrêts de jeu avant d'exploser de joie. Le Kop exulte, trop content d'arracher le point du match nul. Un malheureux point volé dans le temps additionnel à domicile pour ne pas s'enfoncer encore plus dans la crise et ne pas figurer à la dernière place du championnat de Ligue 2. Misère...
Allez Racing, tes supporters sont las... Toujours là ?
