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Le Racing se déplace vendredi à Créteil aux portes de Paris pour disputer, et dans l'idéal remporter, son deuxième match de la semaine. Présentation d'un adversaire toujours à la recherche de sa première victoire cette saison.
Un peu d'histoire
Si la création de l'US Créteil date de 1936 ce n'est que bien plus tard en 1985 que Laurent Cathala alors député-maire de la ville décidera de faire un club de « premier plan » de cette équipe habituée au niveau amateur. Les résultats ne se font pas attendre et le club atteint la Deuxième division dès 1988, niveau ou il ne se maintiendra que deux ans avant de passer de longues saisons en National.
C'est lors de la saison 1996-1997 que Créteil accomplira son principal fait d'arme en accédant aux ¼ de finale de la Coupe de France où, après avoir éliminé le Racing au tour précédent, ils échoueront aux tirs au but face à Guinguamp lors d'un match disputé au Parc des Princes. On notera la présence d'Alain Afflelou dans l'équipe dirigeante de l'époque...
C'est un club bien stabilisé en Deuxième division qui fusionne en 2002 avec les Lusitanos de Saint-Maur devenant ainsi l'Union Sportive Créteil-Lusitanos. Une décision prise par le président Armand Lopez malgré le refus des assemblées générales.
L'USCL entraîné la saison passée par Hubert Velud a terminé à la 8ème place après une belle première partie de saison. Les Strasbourgeois Eugène Ekobo et Leyti N'Diaye faisaient partie de cette équipe tout comme Mickaël Citony essayé mais pas conservé cet été en Alsace. Un classement final moyen qui n'en est pas moins le meilleur résultat jamais obtenu par l'équipe à ce niveau de la compétition !
On retiendra également que ce club malgré son éloignement de l'agitation médiatique n'en est pas moins un dévoreur d'entraîneur. Albert Rust en poste depuis le mois de mai est le 11ème coach de Créteil depuis 2000 (pour comparaison Jean-Pierre Papin est le 6ème entraîneur du Racing sur la même période).
Un début de saison difficile
L'effectif de Créteil a été fortement remanié avec de nombreux départs à l'intersaison à l'image de Laurent Leroy, Cyril Domoraud, Eugène Ekobo ou Mickaël Citony. Des joueurs comme Elzeard, Tabet ou Danjou font le chemin inverse et rejoignent le club.
Dans le même temps un recrutement à forte tonalité portugaise à été mené : malgré la fusion l'USCL reste le plus lusitanien des clubs français. Dolores (Pacos Ferreira), El Omari (Beira Mar) ainsi que l'ancien Strasbourgeois Nuno Mendes (Plymouth) ont signé. Enfin Nabil Baha, attaquant marocain natif de Remiremont et évoluant en Espagne du côté de Ferrol mais ayant longtemps évolué au Portugal (!) a posé ses valises à Duvauchelle.
Celui-ci est d'ailleurs incertain pour le match de demain tout comme David Terrier tandis que Sabri Tabet, Thomas Levaux et Lionel Bah sont annoncés forfait.
Un recrutement qui ne paye pas pour le moment puisque les hommes d'Albert Rust occupent la 18ème place du classement avec seulement 4 petits points récoltés en 7 rencontres : 4 nuls et 3 défaites. La dernière défaite en date remonte à vendredi dernier chez le leader Grenoble (3-1 après avoir mené). C'est donc une équipe sans grande ambitions et qui semble destinée à jouer le maintien qui sera opposée à un Racing toujours à la quête d'une indispensable victoire hors de ses bases. Pas une formalité certes mais pas une mission impossible non plus. Comme à Tours en somme...
Si la création de l'US Créteil date de 1936 ce n'est que bien plus tard en 1985 que Laurent Cathala alors député-maire de la ville décidera de faire un club de « premier plan » de cette équipe habituée au niveau amateur. Les résultats ne se font pas attendre et le club atteint la Deuxième division dès 1988, niveau ou il ne se maintiendra que deux ans avant de passer de longues saisons en National.
C'est lors de la saison 1996-1997 que Créteil accomplira son principal fait d'arme en accédant aux ¼ de finale de la Coupe de France où, après avoir éliminé le Racing au tour précédent, ils échoueront aux tirs au but face à Guinguamp lors d'un match disputé au Parc des Princes. On notera la présence d'Alain Afflelou dans l'équipe dirigeante de l'époque...
C'est un club bien stabilisé en Deuxième division qui fusionne en 2002 avec les Lusitanos de Saint-Maur devenant ainsi l'Union Sportive Créteil-Lusitanos. Une décision prise par le président Armand Lopez malgré le refus des assemblées générales.
L'USCL entraîné la saison passée par Hubert Velud a terminé à la 8ème place après une belle première partie de saison. Les Strasbourgeois Eugène Ekobo et Leyti N'Diaye faisaient partie de cette équipe tout comme Mickaël Citony essayé mais pas conservé cet été en Alsace. Un classement final moyen qui n'en est pas moins le meilleur résultat jamais obtenu par l'équipe à ce niveau de la compétition !
On retiendra également que ce club malgré son éloignement de l'agitation médiatique n'en est pas moins un dévoreur d'entraîneur. Albert Rust en poste depuis le mois de mai est le 11ème coach de Créteil depuis 2000 (pour comparaison Jean-Pierre Papin est le 6ème entraîneur du Racing sur la même période).
Un début de saison difficile
L'effectif de Créteil a été fortement remanié avec de nombreux départs à l'intersaison à l'image de Laurent Leroy, Cyril Domoraud, Eugène Ekobo ou Mickaël Citony. Des joueurs comme Elzeard, Tabet ou Danjou font le chemin inverse et rejoignent le club.
Dans le même temps un recrutement à forte tonalité portugaise à été mené : malgré la fusion l'USCL reste le plus lusitanien des clubs français. Dolores (Pacos Ferreira), El Omari (Beira Mar) ainsi que l'ancien Strasbourgeois Nuno Mendes (Plymouth) ont signé. Enfin Nabil Baha, attaquant marocain natif de Remiremont et évoluant en Espagne du côté de Ferrol mais ayant longtemps évolué au Portugal (!) a posé ses valises à Duvauchelle.
Celui-ci est d'ailleurs incertain pour le match de demain tout comme David Terrier tandis que Sabri Tabet, Thomas Levaux et Lionel Bah sont annoncés forfait.
Un recrutement qui ne paye pas pour le moment puisque les hommes d'Albert Rust occupent la 18ème place du classement avec seulement 4 petits points récoltés en 7 rencontres : 4 nuls et 3 défaites. La dernière défaite en date remonte à vendredi dernier chez le leader Grenoble (3-1 après avoir mené). C'est donc une équipe sans grande ambitions et qui semble destinée à jouer le maintien qui sera opposée à un Racing toujours à la quête d'une indispensable victoire hors de ses bases. Pas une formalité certes mais pas une mission impossible non plus. Comme à Tours en somme...
