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- Date
- Catégorie
- Après-match
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- Auteur(s)
- Par gatien67
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"Heyyy héé Heyy hé Heyy hé Heyyy hééé Heyyy (ceci est une interprétation scripturale des paroles de cette chanson. Bernard Pivot approuve surement) A tous mes loupés, mes ratés, mes vrais soleils Tous les chemins qui me sont passés à côté A tous mes bateaux manqués, mes mauvais sommeils A tous ceux que je n'ai pas été"
Le Poiré, Chambly, Boulogne et aujourd'hui Dunkerque.
Qui mieux que le Racing pourrait personnifier la chanson du bon vieux Goldman ?
21 Novembre 2014, 9000 personnes environ se pressent au Stade de la Meinau pour assister à ce match qui doit entamer la marche de Strasbourg vers le haut de tableau. Rien ne doit les arrêter. Le Racing à en marre de rater ses départs vers les beaux océans et les belles mers (Egée si tu m'entends), le Racing en a marre de mal dormir, il voudrait être en paix, être à l'heure pour la montée mais il sait que cela ne se fera pas sans l'efficacité offensive.
Les matelots sont disposés en 4-4-2 avec deux milieux, un à babord (Sabo) et l'autre à Tribord (Aguemon). Les deux matelots en charge de transpercer l'iceberg adverse sont Marques, de retour de Cayenne (pas la Porsche... Nicolas Dupont-Aignant likes that) et N'Diaye.
Le match est équilibré, les équipes s'observent et les nordistes ne semblent pas pressés de se découvrir.
C'est N'Diaye qui lance la première fusée de détresse offensive à la suite d'un bon pressing sur le défenseur central dunkerquois. Le rythme est sénatorial mais le match est globalement tenu par Strasbourg qui déclenche quelques hostilités. La plus grosse occasion est à mettre au crédit du duo Marques-N'Diaye, ce dernier manquant de peu d'ouvrir le score sur un centre et une tête qui passe au-dessus.
Le jeu penche clairement à Tribord et le matelot le plus actif est N'Diaye, il affale, balancine, choque les écoutes ou encore étarque. En bref, il est très actif au cours de cette première mi-temps. C'est sur une de ses passes que Sabo se fera (justement au vu des images) refuser un but pour hors-jeu. Dunkerque n'est pas très menaçant même si une combinaison bien sentie sur corner (rappelez-vous Robben en Ligue des Champions contre MU) aurait pu ouvrir une brèche.
La première et unique escale de cette rencontre se sifflera donc sur un score nul et vierge.
Le retour en mer est agité et le Racing semble déterminé à franchir l'Iceberg défensif que sont venus imposer les Dunkerquois. Les possibilités s’enchaînent sans qu'aucun corner ou centre ne soit vraiment dangereux. La rentrée du matelot Liénard à la place du matelot Aguemon signifie l'entrée d'un homme frais sur le bateau RCS. Le matelot assure le coup et offre une belle entrée sur le carré bleu (oui il est vert normalement mais c'est pour que ça passe dans le thème océanique), son apport sur les coups de pieds arrêtés est indéniable et il est plutôt percutant. Les coups francs fusent à côté des cages, et les centres ne trouvent pas preneur. Le capitaine Ernest aura beau secouer le cocotier après avoir marché sur l'eau, rien ne changera. Le Racing aurait pu marquer, aurait dû marquer évidemment et mettre KO l'équipe adverse.
Et bien sur, ce qui aurait pu arriver arriva, tout le stade l'avait senti ce coup franc adverse à la 90ème, "anodin", mais qui fait peur à tout le monde. Et la balle est au fond, Dunkerque a marqué mais l'arbitre a levé son drapeau. Ouf.
Au final, le Racing obtient un point dans un scénario plutôt semblable à celui du match contre Boulogne avec la dramaturgie du penalty en moins. Ce Dunkerque est solide et malgré son manque d'allant offensif et son style National s'en sort avec le point qu'il était venu chercher. Ce match ne fera avancer ni le bateau de l'efficacité, ni celui du risque offensif, ni le bateau Racing.
Espérons qu'ils sauront ne pas rater le prochain train direction Monczuk (celui de l'efficacité offensive) contre les sudistes violets.
Qui mieux que le Racing pourrait personnifier la chanson du bon vieux Goldman ?
21 Novembre 2014, 9000 personnes environ se pressent au Stade de la Meinau pour assister à ce match qui doit entamer la marche de Strasbourg vers le haut de tableau. Rien ne doit les arrêter. Le Racing à en marre de rater ses départs vers les beaux océans et les belles mers (Egée si tu m'entends), le Racing en a marre de mal dormir, il voudrait être en paix, être à l'heure pour la montée mais il sait que cela ne se fera pas sans l'efficacité offensive.
Les matelots sont disposés en 4-4-2 avec deux milieux, un à babord (Sabo) et l'autre à Tribord (Aguemon). Les deux matelots en charge de transpercer l'iceberg adverse sont Marques, de retour de Cayenne (pas la Porsche... Nicolas Dupont-Aignant likes that) et N'Diaye.
Le match est équilibré, les équipes s'observent et les nordistes ne semblent pas pressés de se découvrir.
C'est N'Diaye qui lance la première fusée de détresse offensive à la suite d'un bon pressing sur le défenseur central dunkerquois. Le rythme est sénatorial mais le match est globalement tenu par Strasbourg qui déclenche quelques hostilités. La plus grosse occasion est à mettre au crédit du duo Marques-N'Diaye, ce dernier manquant de peu d'ouvrir le score sur un centre et une tête qui passe au-dessus.
Le jeu penche clairement à Tribord et le matelot le plus actif est N'Diaye, il affale, balancine, choque les écoutes ou encore étarque. En bref, il est très actif au cours de cette première mi-temps. C'est sur une de ses passes que Sabo se fera (justement au vu des images) refuser un but pour hors-jeu. Dunkerque n'est pas très menaçant même si une combinaison bien sentie sur corner (rappelez-vous Robben en Ligue des Champions contre MU) aurait pu ouvrir une brèche.
La première et unique escale de cette rencontre se sifflera donc sur un score nul et vierge.
Le retour en mer est agité et le Racing semble déterminé à franchir l'Iceberg défensif que sont venus imposer les Dunkerquois. Les possibilités s’enchaînent sans qu'aucun corner ou centre ne soit vraiment dangereux. La rentrée du matelot Liénard à la place du matelot Aguemon signifie l'entrée d'un homme frais sur le bateau RCS. Le matelot assure le coup et offre une belle entrée sur le carré bleu (oui il est vert normalement mais c'est pour que ça passe dans le thème océanique), son apport sur les coups de pieds arrêtés est indéniable et il est plutôt percutant. Les coups francs fusent à côté des cages, et les centres ne trouvent pas preneur. Le capitaine Ernest aura beau secouer le cocotier après avoir marché sur l'eau, rien ne changera. Le Racing aurait pu marquer, aurait dû marquer évidemment et mettre KO l'équipe adverse.
Et bien sur, ce qui aurait pu arriver arriva, tout le stade l'avait senti ce coup franc adverse à la 90ème, "anodin", mais qui fait peur à tout le monde. Et la balle est au fond, Dunkerque a marqué mais l'arbitre a levé son drapeau. Ouf.
Au final, le Racing obtient un point dans un scénario plutôt semblable à celui du match contre Boulogne avec la dramaturgie du penalty en moins. Ce Dunkerque est solide et malgré son manque d'allant offensif et son style National s'en sort avec le point qu'il était venu chercher. Ce match ne fera avancer ni le bateau de l'efficacité, ni celui du risque offensif, ni le bateau Racing.
Espérons qu'ils sauront ne pas rater le prochain train direction Monczuk (celui de l'efficacité offensive) contre les sudistes violets.
