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- 5.0 / 5 (3 notes)
- Date
- Catégorie
- Après-match
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- Auteur(s)
- Par jean-bon
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A défaut de prendre le large, le Racing a au moins eu le mérite de ne pas perdre de terrain sur les prétendants au podium, avec son match nul à Marseille Consolat.
Tout d'abord, je voudrais remercier la troupe à Jacky qui a pensé à moi, pour la rédaction de mon premier compte rendu de match, en limitant les actions et le spectacle.
Du coup, mon post-it a largement suffi à prendre les notes nécessaires, contrairement aux membres du Borrussiastub ou du Redstub qui eux, ont du avoir un sacré travail après leur match de folie de jeudi soir.
Loin de ces problèmes, et le regard fixé sur mon écran, je suis prêt à subir un nouveau match de National entre les deux ténors du championnat, la meilleure attaque contre la meilleure défense, il devrait y avoir un peu de spectacle...
Je constate que le début de match du Racing est dans la continuité du match de Châteauroux: aucun pressing, marquage élastique et duels quasiment tous perdus. Il n'y a bien qu'Ernest Seka pour faire le ménage derrière et Stéphane Bahoken devant. Les initiatives et les combinaisons sont à mettre à l'actif de Consolat et fort logiquement, à la 8e minute, suite à un coup-franc dévié par la tête de Kanté, premier sauvetage d'Oukidja, impérial sur sa ligne hier soir.
On a connu des Marseillais tricheurs et truqueurs, jouant la montre et montrant leur talent de comédien sur les contacts, mais hier soir, ils ont compris que ce ne serait pas nécessaire et qu'ils étaient capables de tuer le match en première mi-temps tant l'opposition était faible, indigne d'un statut de leader.
A la réception d’innombrables chandelles pourtant, quelques opportunités d'inquiéter les locaux et leur superbe maillot, se font voir.
Jérémy Blayac (plus que l'ombre de lui même) réussit à dévier une balle pour Bahoken devant le but, mais celui-ci, fidèle à lui même est toujours aussi maladroit.
15e minute, bonne combinaison marseillaise avortée par un retour énorme de Seka, le seul à garder le tête hors de l'eau durant cette mi-temps avec Oukidja, à nouveau mis à contribution deux minutes plus tard suite à une incompréhensible passivité des milieux de terrain, surement trop occupés à compter les spectateurs pour valider leur record d'affluence du stade La Martine plein comme un morceau de coquille d’œuf...
22e minute, nouvelle alerte dans la surface d'une équipe strasbourgeoise toujours aussi passive mais le retour de Marester annihile encore une fois l'action sudiste.
La fin de la mi-temps s'emballe un peu avec un bon centre de Liénard dans la surface mais que Bouanga ne peut reprendre et sur le contre, gros cafouillage devant le but du Racing se concluant par un dégagement de Grimm directement sur Seka qui oblige Oukidja à un nouvel arrêt de grande classe, sauvant in-extremis son équipe en extirpant la balle d'un pied marseillais sur sa ligne.
La pause est sifflée au bon moment pour nos troupes, totalement asphyxiées, ce que Seka fait remarquer à ses joueurs en les réunissant en cercle avant de rejoindre le vestiaire.
Le GS Consolat peut regretter son manque de réalisme, ils ont eu les occasions et la mainmise sur le jeu. Mais on sait que faire le jeu est mauvais pour le résultat final, il suffit de demander aux fans de Dortmund ce qu'ils en pensent.
La 2e mi-temps commence et on imagine la gueulante de Jacky Duguépéroux dans les vestiaires vu le marquage et le pressing strasbourgeois enfin plus efficaces.
51e, bonne action construite pour le Racing avec un bon centre de Bahoken pour Liénard qui s'applique à éviter le but.
Les Marseillais sont désormais inoffensifs, l'équipe de Strasbourg est bien en place, on espère un exploit personnel ou un coup de pied arrêté pour forcer la décision, comme d'habitude de notre côté. Mais hier soir, les corners et coup-francs sont bien trop mal tirés pour être dangereux .
Il n'y a bien qu'une percée de Denis Bouanga balle au pied à la 74e, mais sa frappe directement sur le gardien ne présente qu'un danger mineur pour les locaux.
La fin de match est sifflée avec la sortie sur civière de Massiré Kanté, qui forcera Jacky Duguépéroux à faire un changement en faisant entrer Tuiloma.
Le seul changement d'ailleurs du coach alsacien qui se demande toujours pourquoi il y a autant de lignes sur une feuille de match vu que le foot ne se joue qu'à 11.
Au moins cela fera du monde disponible pour aider l'équipe réserve à se maintenir.
A noter le bon match de l'arbitre, surement le seul au niveau de l'affiche proposé hier soir.
Du coup, mon post-it a largement suffi à prendre les notes nécessaires, contrairement aux membres du Borrussiastub ou du Redstub qui eux, ont du avoir un sacré travail après leur match de folie de jeudi soir.
Loin de ces problèmes, et le regard fixé sur mon écran, je suis prêt à subir un nouveau match de National entre les deux ténors du championnat, la meilleure attaque contre la meilleure défense, il devrait y avoir un peu de spectacle...
Je constate que le début de match du Racing est dans la continuité du match de Châteauroux: aucun pressing, marquage élastique et duels quasiment tous perdus. Il n'y a bien qu'Ernest Seka pour faire le ménage derrière et Stéphane Bahoken devant. Les initiatives et les combinaisons sont à mettre à l'actif de Consolat et fort logiquement, à la 8e minute, suite à un coup-franc dévié par la tête de Kanté, premier sauvetage d'Oukidja, impérial sur sa ligne hier soir.
On a connu des Marseillais tricheurs et truqueurs, jouant la montre et montrant leur talent de comédien sur les contacts, mais hier soir, ils ont compris que ce ne serait pas nécessaire et qu'ils étaient capables de tuer le match en première mi-temps tant l'opposition était faible, indigne d'un statut de leader.
A la réception d’innombrables chandelles pourtant, quelques opportunités d'inquiéter les locaux et leur superbe maillot, se font voir.
Jérémy Blayac (plus que l'ombre de lui même) réussit à dévier une balle pour Bahoken devant le but, mais celui-ci, fidèle à lui même est toujours aussi maladroit.
15e minute, bonne combinaison marseillaise avortée par un retour énorme de Seka, le seul à garder le tête hors de l'eau durant cette mi-temps avec Oukidja, à nouveau mis à contribution deux minutes plus tard suite à une incompréhensible passivité des milieux de terrain, surement trop occupés à compter les spectateurs pour valider leur record d'affluence du stade La Martine plein comme un morceau de coquille d’œuf...
22e minute, nouvelle alerte dans la surface d'une équipe strasbourgeoise toujours aussi passive mais le retour de Marester annihile encore une fois l'action sudiste.
La fin de la mi-temps s'emballe un peu avec un bon centre de Liénard dans la surface mais que Bouanga ne peut reprendre et sur le contre, gros cafouillage devant le but du Racing se concluant par un dégagement de Grimm directement sur Seka qui oblige Oukidja à un nouvel arrêt de grande classe, sauvant in-extremis son équipe en extirpant la balle d'un pied marseillais sur sa ligne.
La pause est sifflée au bon moment pour nos troupes, totalement asphyxiées, ce que Seka fait remarquer à ses joueurs en les réunissant en cercle avant de rejoindre le vestiaire.
Le GS Consolat peut regretter son manque de réalisme, ils ont eu les occasions et la mainmise sur le jeu. Mais on sait que faire le jeu est mauvais pour le résultat final, il suffit de demander aux fans de Dortmund ce qu'ils en pensent.
La 2e mi-temps commence et on imagine la gueulante de Jacky Duguépéroux dans les vestiaires vu le marquage et le pressing strasbourgeois enfin plus efficaces.
51e, bonne action construite pour le Racing avec un bon centre de Bahoken pour Liénard qui s'applique à éviter le but.
Les Marseillais sont désormais inoffensifs, l'équipe de Strasbourg est bien en place, on espère un exploit personnel ou un coup de pied arrêté pour forcer la décision, comme d'habitude de notre côté. Mais hier soir, les corners et coup-francs sont bien trop mal tirés pour être dangereux .
Il n'y a bien qu'une percée de Denis Bouanga balle au pied à la 74e, mais sa frappe directement sur le gardien ne présente qu'un danger mineur pour les locaux.
La fin de match est sifflée avec la sortie sur civière de Massiré Kanté, qui forcera Jacky Duguépéroux à faire un changement en faisant entrer Tuiloma.
Le seul changement d'ailleurs du coach alsacien qui se demande toujours pourquoi il y a autant de lignes sur une feuille de match vu que le foot ne se joue qu'à 11.
Au moins cela fera du monde disponible pour aider l'équipe réserve à se maintenir.
A noter le bon match de l'arbitre, surement le seul au niveau de l'affiche proposé hier soir.
