- Note
- 3.0 / 5 (2 notes)
- Date
- Catégorie
- Après-match
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- Auteur(s)
- Par rachmaninov
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Le Racing s'est logiquement imposé face à Tours après s'être fait peur en 1ère période. Les hommes de Laurey s'emparent de la 2ème place de L2.
La rencontre débute sur une pelouse dans un état douteux, notamment devant les bancs de touche. Pas l'idéal pour développer un jeu chatoyant, mais comme dirait l'autre, les deux équipes jouent sur le même terrain ! C'est Tours qui s'illustre en premier en ouvrant le score sur la première occasion du match par Cillard (8ème). 0-1. Mais les bleus et blancs ne se laissent pas abattre et égalisent dans la foulée grâce au revenant Isan Sacko, bien servi par Blayac après un joli travail de Bahoken (11ème) : 1-1.
Jusque là, c'est le Racing qui a dominé les débats. On se dit que l'entame de match ratée n'est plus qu'un mauvaise souvenir, et que maintenant, c'est promis, ça va barder. Effectivement, le Racing est tout près de doubler la mise par Blayac à deux reprises ! Tours ploie, sans rompre, notamment grâce à l'ancien Strasbourgeois Denis Bouanga, seul tourangeau à surnager.
Mais le Racing se met tout seul dans le pétrin en perdant un ballon dangereux bêtement dans ses 30 m (merci Aholou). Tours ne se fait pas prier et punit le Racing grâce au ventripotent Bergougnoux (26ème). Les 22 acteurs regagnent les vestiaires sur le même score, malgré des occasions alsaciennes en fin de période.
Au retour des vestiaires, le Racing se rassure tout de suite en égalisant sur une jolie reprise de volée de Vincent Nogueira (48ème) 2-2. Tours ne va jamais se remettre de ce but. Le Racing reprend les commandes du match et ne les lachera plus cette fois-ci. Logiquement, Bahoken trouve le chemin des filets à l'heure de jeu et donne enfin l'avantage au Racing (62ème) 3-2. Laurey choisit alors de faire entrer du sang neuf avec Mayoro N'Doye, Baptiste Guillaume et Vincent Gragnic qui viennent suppléer Ihsan Sacko, Vincent Nogueira et Jérémy Blayac. Coaching gagnant car Gragnic dépose un amour de ballon dans les pieds de Guillaume qui n'a plus qu'à poser la gonfle dans le but vide (88ème). 4-2.
Le Racing profite de ce match en retard pour monter sur le podium de L2 en s'emparant de la 2ème place. Son jeu offensif est redoutable, mais ses errements défensifs ne doivent pas être répétés contre des adversaires plus huppés sous peine de déconvenues.
Jusque là, c'est le Racing qui a dominé les débats. On se dit que l'entame de match ratée n'est plus qu'un mauvaise souvenir, et que maintenant, c'est promis, ça va barder. Effectivement, le Racing est tout près de doubler la mise par Blayac à deux reprises ! Tours ploie, sans rompre, notamment grâce à l'ancien Strasbourgeois Denis Bouanga, seul tourangeau à surnager.
Mais le Racing se met tout seul dans le pétrin en perdant un ballon dangereux bêtement dans ses 30 m (merci Aholou). Tours ne se fait pas prier et punit le Racing grâce au ventripotent Bergougnoux (26ème). Les 22 acteurs regagnent les vestiaires sur le même score, malgré des occasions alsaciennes en fin de période.
Au retour des vestiaires, le Racing se rassure tout de suite en égalisant sur une jolie reprise de volée de Vincent Nogueira (48ème) 2-2. Tours ne va jamais se remettre de ce but. Le Racing reprend les commandes du match et ne les lachera plus cette fois-ci. Logiquement, Bahoken trouve le chemin des filets à l'heure de jeu et donne enfin l'avantage au Racing (62ème) 3-2. Laurey choisit alors de faire entrer du sang neuf avec Mayoro N'Doye, Baptiste Guillaume et Vincent Gragnic qui viennent suppléer Ihsan Sacko, Vincent Nogueira et Jérémy Blayac. Coaching gagnant car Gragnic dépose un amour de ballon dans les pieds de Guillaume qui n'a plus qu'à poser la gonfle dans le but vide (88ème). 4-2.
Le Racing profite de ce match en retard pour monter sur le podium de L2 en s'emparant de la 2ème place. Son jeu offensif est redoutable, mais ses errements défensifs ne doivent pas être répétés contre des adversaires plus huppés sous peine de déconvenues.
