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- Par pipo
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Le destin frappe à notre porte. Quatre journées nous séparent de l'apothéose ou de l'apocalypse d'une saison fort mouvementée. L'objectif est clair: ramener le Racing là ou il doit être, dans le Panthéon du football Français.
Pour atteindre cet Elysée, et s'éloigner du souffle pestilentiel de nos poursuivants, une seule et unique solution : décorner la Licorne !
La victoire en chantant !
La lutte épique engagée contre les forces obscures de la L2 entre dans sa phase décisive !
Avant d'affronter deux adversaires (cuistres) directs et un club en lutte pour le maintien, c'est sur le dos de la Licorne amiénoise que passe la route vers une aube radieuse !
Un échec à domicile face à cette équipe de milieux de tableau augurerait bien mal de la suite...
Mais trêves d'angoisses, haut les coeurs !
Vendredi, c'est des Picards que nous gèlerons les ardeurs !
Le 8 mai restera-t-il le jour de la victoire ?
Banals Picards ?
Vu des cimes du championnat, avec la morgue légitime qui caractérise un candidat à la montée, l'équipe du stade de la Licorne passe sans doute pour un triste manège de poney...
Qu'on se rappelle simplement de la finale de la coupe en 2001, ou de la fin de championnat 2006-2007 (qui avait vu l'entraineur picard nous gratifier d'une déplorable saillie verbale de mauvais perdant) et on se rend compte que le Racing se donne d'ailleurs un malin plaisir à laisser les Picards au bord de l'exploit, ramenant leur doux rêves à leurs dures réalités provinciales.
Gardons nous cependant de tout triomphalisme prématuré: cette équipe nous pose problème à chaque confrontation.
Même si cette saison le SC Amiens n'est pas l'épouvantail à Cigogne de Battelli qui nous avait valu moult sueurs froides il y a deux ans, les hommes de Thierry Laurey, après une entame de saison catastrophique, ont enchainés plusieurs résultats intéressants (victoire à Ajaccio, match nul contre Tours/Angers/Lens) qui devrait leur assurer un maintient tranquille.
Leur force, si l'on excepte leur jeune talent offensif Roy Contout, réside principalement dans leur défense regroupée et leur tactique Maginiesque, qui fait que leurs confrontations face aux "cadors" du championnat se soldent fréquemment par des matchs nuls (comme au match allez me direz vous...) dans les deux sens du terme...
Doté d'une ligne de défense athlétique (Viator/Brillaut) et d'un milieu de terrain largement à niveau (Contout /Kadir), l'équipe amiénoise montre heureusement une certaine carence à l'avant, ou les ersatz de Traoré et de Giresse peinent à faire oublier leurs glorieux homonymes (Kandia si tu nous lis :p ).
L'équipe Amiénoise devrait être la suivante:
NDLR : Nous remarquons également le manque flagrant d'humour de Thierry Laurey, qui ne devrait pas prendre le risque de titulariser Aurélien Boche un 8 mai
NDLR2 : Nous remarquons également l'humour décapant des recruteurs amiénois nous offrant une équipe potentiellement inspiratrice de jeux de mots foireux que je laisserai à aldebert et à strohteam
Des beaux bleus ?
Malheureusement, vous le savez, ce Vendredi nous serons amputés de quatre titulaires indiscutables (Marcos, Bezzaz, Othon et notre bien aimé Wilfrid Gohel).
En outre, nous n'avons ni les structures, ni le budget, ni le public, ni l'équipe pour vaincre ce premier cavalier de l'Apocalypse que constitue Amiens.
Seule une procession de flagellants au Mont Saint Odile et une intervention divine peuvent nous sauver du désastre annoncé par notre Cassandre Troyen.
Qu'importe, le groupe kamikaze monté pour cette opération sans espoir sera surement le suivant:
Ce groupe taillé pour la 6-8ème place de L2 saura t'il à nouveau se transcender et affoler le mur, que dis je, la forteresse amiénoise ?
On l'espère !
Les clefs du paradis
Cette rencontre risque de tourner à l'opposition de style : entre une équipe amiénoise sans pression mais jouant regroupée et un Racing (théoriquement) obsédé par la victoire, les spectateurs de la Meinau risquent de voir augmenter leur proportion de cheveux blancs...
Le résultat du match dépendra donc énormément de l'inspiration des Gargorov, Fanchone et autres Traoré, bref de notre capacité offensive.
Si la réussite nous sourit, que Kandia fait l'impasse sur ses traditionnels contrôles foireux, que Mimil cesse de pédaler dans le yaourt et que Fanchon(e) joue à son réel niveau (au lieu de chanter, de rire et de boire comme nous, feignasse va), il devrait être aisé d'affoler l'équipe d'Amiens.
Par contre, si le Racing s'amuse à vendanger ses occasions de début de match, attendons-nous à un bon vieux zéro zéro des familles et à un match aussi plat que les plaines Picardes...
Vous flippez ? Moi aussi...
Mais comme on se plaisait à dire au grand siècle : "On ne relève pas Picardie"...
Alors, écrasons les !
La victoire en chantant !
La lutte épique engagée contre les forces obscures de la L2 entre dans sa phase décisive !
Avant d'affronter deux adversaires (cuistres) directs et un club en lutte pour le maintien, c'est sur le dos de la Licorne amiénoise que passe la route vers une aube radieuse !
Un échec à domicile face à cette équipe de milieux de tableau augurerait bien mal de la suite...
Mais trêves d'angoisses, haut les coeurs !
Vendredi, c'est des Picards que nous gèlerons les ardeurs !
Le 8 mai restera-t-il le jour de la victoire ?
Banals Picards ?
Vu des cimes du championnat, avec la morgue légitime qui caractérise un candidat à la montée, l'équipe du stade de la Licorne passe sans doute pour un triste manège de poney...
Qu'on se rappelle simplement de la finale de la coupe en 2001, ou de la fin de championnat 2006-2007 (qui avait vu l'entraineur picard nous gratifier d'une déplorable saillie verbale de mauvais perdant) et on se rend compte que le Racing se donne d'ailleurs un malin plaisir à laisser les Picards au bord de l'exploit, ramenant leur doux rêves à leurs dures réalités provinciales.
Gardons nous cependant de tout triomphalisme prématuré: cette équipe nous pose problème à chaque confrontation.
Même si cette saison le SC Amiens n'est pas l'épouvantail à Cigogne de Battelli qui nous avait valu moult sueurs froides il y a deux ans, les hommes de Thierry Laurey, après une entame de saison catastrophique, ont enchainés plusieurs résultats intéressants (victoire à Ajaccio, match nul contre Tours/Angers/Lens) qui devrait leur assurer un maintient tranquille.
Leur force, si l'on excepte leur jeune talent offensif Roy Contout, réside principalement dans leur défense regroupée et leur tactique Maginiesque, qui fait que leurs confrontations face aux "cadors" du championnat se soldent fréquemment par des matchs nuls (comme au match allez me direz vous...) dans les deux sens du terme...
Doté d'une ligne de défense athlétique (Viator/Brillaut) et d'un milieu de terrain largement à niveau (Contout /Kadir), l'équipe amiénoise montre heureusement une certaine carence à l'avant, ou les ersatz de Traoré et de Giresse peinent à faire oublier leurs glorieux homonymes (Kandia si tu nous lis :p ).
L'équipe Amiénoise devrait être la suivante:
NDLR : Nous remarquons également le manque flagrant d'humour de Thierry Laurey, qui ne devrait pas prendre le risque de titulariser Aurélien Boche un 8 mai
NDLR2 : Nous remarquons également l'humour décapant des recruteurs amiénois nous offrant une équipe potentiellement inspiratrice de jeux de mots foireux que je laisserai à aldebert et à strohteam
Des beaux bleus ?
Malheureusement, vous le savez, ce Vendredi nous serons amputés de quatre titulaires indiscutables (Marcos, Bezzaz, Othon et notre bien aimé Wilfrid Gohel).
En outre, nous n'avons ni les structures, ni le budget, ni le public, ni l'équipe pour vaincre ce premier cavalier de l'Apocalypse que constitue Amiens.
Seule une procession de flagellants au Mont Saint Odile et une intervention divine peuvent nous sauver du désastre annoncé par notre Cassandre Troyen.
Qu'importe, le groupe kamikaze monté pour cette opération sans espoir sera surement le suivant:
Ce groupe taillé pour la 6-8ème place de L2 saura t'il à nouveau se transcender et affoler le mur, que dis je, la forteresse amiénoise ?
On l'espère !
Les clefs du paradis
Cette rencontre risque de tourner à l'opposition de style : entre une équipe amiénoise sans pression mais jouant regroupée et un Racing (théoriquement) obsédé par la victoire, les spectateurs de la Meinau risquent de voir augmenter leur proportion de cheveux blancs...
Le résultat du match dépendra donc énormément de l'inspiration des Gargorov, Fanchone et autres Traoré, bref de notre capacité offensive.
Si la réussite nous sourit, que Kandia fait l'impasse sur ses traditionnels contrôles foireux, que Mimil cesse de pédaler dans le yaourt et que Fanchon(e) joue à son réel niveau (au lieu de chanter, de rire et de boire comme nous, feignasse va), il devrait être aisé d'affoler l'équipe d'Amiens.
Par contre, si le Racing s'amuse à vendanger ses occasions de début de match, attendons-nous à un bon vieux zéro zéro des familles et à un match aussi plat que les plaines Picardes...
Vous flippez ? Moi aussi...
Mais comme on se plaisait à dire au grand siècle : "On ne relève pas Picardie"...
Alors, écrasons les !
