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- Après-match
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- Par bluefever67
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En infériorité numérique puis rapidement menée 2-0, la réserve du Racing a fait preuve de caractère pour arracher un match nul et préserver son invincibilité sur la pelouse d'Oberlauterbach.
C'est sous le beau soleil d'Oberlauterbach que la réserve du Racing aspirait à étendre son invincibilité en championnat et à rester dans le haut du tableau de la Division d'Honneur. Les promus de l'USO ne l'entendaient pas de cette oreille, eux qui cherchent avant tout à se maintenir et qui restent sur un excellent nul décroché sur la pelouse du Soleil Bischheim (2-2) et qui ont également accroché le grand favori de la division, le FR Haguenau, sur sa pelouse lors de la première journée. Il était donc écrit que le Racing n'aurait pas la partie facile dans l'antre des Oranges, eux qui sont reconnus pour être d'inlassables combattants.
Sous la direction d'un trio arbitral venu d'Outre-Rhin, le Racing se présentait lui dans une configuration en 4-2-3-1, avec notamment la première apparition sous le maillot bleu de Stanislas Oliveira. Par contre, on déplorera l'absence de Stéphane Noro, préférant se consacrer à une séance physique.
La compo :
Le match commence sur un bon rythme et l'on sent directement que l'on va assister à un bon match de foot avec de l'engagement. Le Racing a le monopole du ballon et l'USO défend déjà courageusement à la faveur de très nombreux tacles engagés. On remarquera très vite la précision chirurgicale des ouvertures du néo-strasbourgeois Oliveira, qui récoltera le premier carton jaune du match pour avoir joué un coup-franc sans avoir eu l'approbation de l'arbitre. Quelques minutes plus tard, coup de tonnerre, pour un excès d'engagement, Oliveira récolte un second carton jaune et quitte déjà ses nouveaux partenaires après seulement 30 minutes de jeu. Le second coup de massue viendra dans la foulée. Sur un des premiers corners, Olivier Muller, l'idole de toute la nation orange vient smasher le cuir au fond des buts de Ball après un cafouillage et un très beau premier arrêt réflexe du portier strasbourgeois. Vexés, les Strasbourgeois, portés par un virevoltant Saidou Sow, auront quasiment dans la foulée l'occasion d'égaliser par Robin Binder dont le lob viendra mourir à quelques centimètres de Buttner, le gardien local, après une belle ouverture de Gaëtan Weissbeck. Puis c'est au tour de Saidou Sow de voir son tir repoussé sur la ligne après avoir dribblé le gardien des Oranges. L'USO qui a pris confiance après l'ouverture du score s'en va une nouvelle fois taquiner l'arrière-garde strasbourgeoise, très peu souveraine durant une majeure partie de l'après-midi. Un nouveau corner s'en suit et c'est à nouveau la tour de contrôle Muller qui vient tromper Ball pour la seconde fois, sous le regard hagard des Strasbourgeois. Omar Hassidou viendra secouer le cocotier mais voit son tir repoussé par le gardien local, mais c'est encore Oberlauterbach qui loupera la balle du 3-0 après que son avant-centre ait malencontreusement touché la balle de la main, alors qu'il se présentait seul face au gardien strasbourgeois. C'est sur ce score de 2-0 que l'arbitre renvoie les 21 acteurs aux vestiaires.
La seconde mi-temps démarre tambour battant, les Strasbourgeois étant désireux de préserver leur invincibilité et de montrer un meilleur visage que celui affiché en première période, eux qui furent bousculés par l'envie et l'abnégation locale. Après un loupé d'Hassidou, alors qu'il était en position favorable et que le numéro 7 des Oranges se joue de Falk pour être finalement contré au dernier moment par un retour strasbourgeois, c'est Saidou Sow, très en vue durant la partie, qui d'un sang froid glacial, vient enfin tromper le cerbère local, après moults feintes pour le mettre à terre et tranquillement glisser la balle au fond des filets. Les Oranges ne se laissent pas faire, eux qui sont très disciplinés et recroquevillés même à 11 contre 10 et c'est par l'intermédiaire de l'infernal Muller qu'ils auraient pu creuser à nouveau l'écart, mais c'est sans compter sur un excellent retour de Schwoob. A 20 minutes du terme, Gaëtan Weissbeck, d'une frappe excentrée, trouvera le poteau de Buttner. Les Racingmen commencent à s'impatienter et laissent des espaces aux locaux, dans lesquels s'engouffre bien évidemment Muller, qui, après avoir éliminé Ball, croit délivrer son peuple, mais c'était sans compter sur le retour de Schwoob qui viendra sauver la baraque d'un retour salvateur sur sa ligne. Le temps passe et les organismes oranges commencent à faiblir sérieusement, Saidou Sow en profite. Après une interception aux 20 mètres, il résiste à la charge du défenseur pour égaliser d'une frappe croisée. S'en suit une échauffourée dans le but dans lequel quelques amabilités seront échangées. Les dernières minutes seront quelque peu tendues mais sans gravité exacerbée. L'arbitre siffle la fin du match : les locaux sont lessivés mais heureux du nul et les Racingmen, pas mécontents d'être revenus au score et de prolonger leur invincibilité.
Au rayon des individualités, on retiendra bien évidemment la prestation de Saidou Sow, qui au-delà de son doublé, n'aura eu que très peu de déchets dans son jeu. Mais aussi le jeune Weissbeck qui a tenu la baraque au milieu, une fois Oliveira sorti. Ce dernier dont on aura tout de même aperçu quelques belles promesses. Pour le reste, il faudra attendre.
A contrario, on notera la prestation décevante de Yann Bénédick, sorti à la 55e et qui avait l'air assez marqué. Sébastien Noé et Ludovic Falk n'ont, quant à eux, pas été rassurants dans leurs interventions, surtout pour le premier nommé. Pour finir, malgré 2 frappes cadrées, Robin Binder aura brillé par son inconstance.
Sous la direction d'un trio arbitral venu d'Outre-Rhin, le Racing se présentait lui dans une configuration en 4-2-3-1, avec notamment la première apparition sous le maillot bleu de Stanislas Oliveira. Par contre, on déplorera l'absence de Stéphane Noro, préférant se consacrer à une séance physique.
La compo :
Le match commence sur un bon rythme et l'on sent directement que l'on va assister à un bon match de foot avec de l'engagement. Le Racing a le monopole du ballon et l'USO défend déjà courageusement à la faveur de très nombreux tacles engagés. On remarquera très vite la précision chirurgicale des ouvertures du néo-strasbourgeois Oliveira, qui récoltera le premier carton jaune du match pour avoir joué un coup-franc sans avoir eu l'approbation de l'arbitre. Quelques minutes plus tard, coup de tonnerre, pour un excès d'engagement, Oliveira récolte un second carton jaune et quitte déjà ses nouveaux partenaires après seulement 30 minutes de jeu. Le second coup de massue viendra dans la foulée. Sur un des premiers corners, Olivier Muller, l'idole de toute la nation orange vient smasher le cuir au fond des buts de Ball après un cafouillage et un très beau premier arrêt réflexe du portier strasbourgeois. Vexés, les Strasbourgeois, portés par un virevoltant Saidou Sow, auront quasiment dans la foulée l'occasion d'égaliser par Robin Binder dont le lob viendra mourir à quelques centimètres de Buttner, le gardien local, après une belle ouverture de Gaëtan Weissbeck. Puis c'est au tour de Saidou Sow de voir son tir repoussé sur la ligne après avoir dribblé le gardien des Oranges. L'USO qui a pris confiance après l'ouverture du score s'en va une nouvelle fois taquiner l'arrière-garde strasbourgeoise, très peu souveraine durant une majeure partie de l'après-midi. Un nouveau corner s'en suit et c'est à nouveau la tour de contrôle Muller qui vient tromper Ball pour la seconde fois, sous le regard hagard des Strasbourgeois. Omar Hassidou viendra secouer le cocotier mais voit son tir repoussé par le gardien local, mais c'est encore Oberlauterbach qui loupera la balle du 3-0 après que son avant-centre ait malencontreusement touché la balle de la main, alors qu'il se présentait seul face au gardien strasbourgeois. C'est sur ce score de 2-0 que l'arbitre renvoie les 21 acteurs aux vestiaires.
La seconde mi-temps démarre tambour battant, les Strasbourgeois étant désireux de préserver leur invincibilité et de montrer un meilleur visage que celui affiché en première période, eux qui furent bousculés par l'envie et l'abnégation locale. Après un loupé d'Hassidou, alors qu'il était en position favorable et que le numéro 7 des Oranges se joue de Falk pour être finalement contré au dernier moment par un retour strasbourgeois, c'est Saidou Sow, très en vue durant la partie, qui d'un sang froid glacial, vient enfin tromper le cerbère local, après moults feintes pour le mettre à terre et tranquillement glisser la balle au fond des filets. Les Oranges ne se laissent pas faire, eux qui sont très disciplinés et recroquevillés même à 11 contre 10 et c'est par l'intermédiaire de l'infernal Muller qu'ils auraient pu creuser à nouveau l'écart, mais c'est sans compter sur un excellent retour de Schwoob. A 20 minutes du terme, Gaëtan Weissbeck, d'une frappe excentrée, trouvera le poteau de Buttner. Les Racingmen commencent à s'impatienter et laissent des espaces aux locaux, dans lesquels s'engouffre bien évidemment Muller, qui, après avoir éliminé Ball, croit délivrer son peuple, mais c'était sans compter sur le retour de Schwoob qui viendra sauver la baraque d'un retour salvateur sur sa ligne. Le temps passe et les organismes oranges commencent à faiblir sérieusement, Saidou Sow en profite. Après une interception aux 20 mètres, il résiste à la charge du défenseur pour égaliser d'une frappe croisée. S'en suit une échauffourée dans le but dans lequel quelques amabilités seront échangées. Les dernières minutes seront quelque peu tendues mais sans gravité exacerbée. L'arbitre siffle la fin du match : les locaux sont lessivés mais heureux du nul et les Racingmen, pas mécontents d'être revenus au score et de prolonger leur invincibilité.
Au rayon des individualités, on retiendra bien évidemment la prestation de Saidou Sow, qui au-delà de son doublé, n'aura eu que très peu de déchets dans son jeu. Mais aussi le jeune Weissbeck qui a tenu la baraque au milieu, une fois Oliveira sorti. Ce dernier dont on aura tout de même aperçu quelques belles promesses. Pour le reste, il faudra attendre.
A contrario, on notera la prestation décevante de Yann Bénédick, sorti à la 55e et qui avait l'air assez marqué. Sébastien Noé et Ludovic Falk n'ont, quant à eux, pas été rassurants dans leurs interventions, surtout pour le premier nommé. Pour finir, malgré 2 frappes cadrées, Robin Binder aura brillé par son inconstance.
