Olivier Dall'oglio
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paoloSuper idée d'être allé interviewer Dall'Oglio !! (+)
D'ailleurs filipe, j'aimerais savoir 2-3 petits trucs :
- comment t'es venue l'idée ?
- comment tu l'as contacté ?
- comment as-tu réalisé l'interview ?
~o) -
C'est lui qui nous a contacté B-)
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Tu peux nous en dire plus steuplé ?
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Rhoo ! Mais enfin, mais non, je raconte évidemment des conneries !
Bon la vraie version :
Dall'Oglio était dans la préselection des joueurs appelés pour intégrer la mythique équipe des chevelus du Racing, avant d'en être finalement écarté avec quelques autres joueurs (ne revenons pas sur cet épisode douloureux :( ).
D'où les recherches sur le net et la découverte du skyblog donné en lien au début.
D'où aussi l'idée de l'interview. Il suffisait juste de le contacter par mail, et... voilà quoi... -
holicool a écrit : Si on m'avait dit un jour que je lirai un article parlant de mon ancien dentiste ! :))
Idem, il m'en a arraché un paquet des dents le Malka !
Bravo pour l'article. -
Excellente interview, merci [login=filipe] !
Marrant de voir les interconnexiions entre les personalités du foot.
La "Madame cigogne" c'était Jacqueline ?
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samh a écrit : La "Madame cigogne" c'était Jacqueline ?
Je me pose également la question. Si quelques anciens passent par là... :) -
C'est un des buts qui m'a fait le plus hurler à la Meinau, celui de Stephan Keshi!
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Strasbourg-Rennes 1992 vu par Olivier Dall'Oglio
Suite de notre série, vingt ans après, sur le match de barrage Racing-Rennes (4-1) du 13 mai 1992. Titulaire ce soir-là sur le côté droit de la défense strasbourgeoise, Olivier Dall'Oglio (photo), aujourd'hui responsable de la formation à Dijon, nous raconte à son tour son match.
S'il y a bien une action plus que toute autre qui a fait de ce Strasbourg-Rennes du 13 mai 1992 un match de légende, c'est ce but venu d'ailleurs de Stephen Keshi. Une frappe de mule imparable des 30 mètres, alors que le score était d'un but partout et que, virtuellement, c'est le Stade Rennais qui poursuivait sa route en D1. Titulaire sur le côté droit de la défense strasbourgeoise, Olivier Dall'Oglio était au première loge. Ce but magistral, il l'a vu mieux que quiconque. Et en a gardé une sacrée anecdote. « J'étais à côté de lui dans le rond central, je me dis : ''Mais qu'est-ce qu'il fait ?'' Je lui ai crié : ''Non, ne la frappe pas de là !'' Mais il était parti, on ne pouvait plus l'arrêter. Il a eu la lumière au bon moment. Le match, après, était différent, raconte celui qui jouait son dernier match avec le Racing ce soir-là. Ça a été un coup de marteau pour le Stade Rennais. Aujourd'hui encore, je revois ce but au ralenti dans ma tête. Je me vois avec ma réaction. Il vaut mieux que je garde les images dans ma tête, sinon je serais peut-être déçu. Pour que des matchs restent dans les mémoires, il faut des buts d'anthologie. Mais je ne pensais pas, franchement, que vingt ans après on allait continuer à en parler comme ça. Le Racing, c'est quand même un club qui a été champion de France, qui a vécu des choses extra. Je suis un peu surpris. »
Pour lui, comme pour beaucoup d'autres strasbourgeois ce soir-là, ce barrage contre Rennes restera l'un des plus beaux souvenirs de sa carrière. « J'ai connu deux montées en D1 dans ma carrière, une autre avec Rennes (en 1994), mais ce n'est pas comparable, estime le natif d'Alès, aujourd'hui responsable de la formation à Dijon. On était monté directement. Avec ce barrage, il y avait une intensité différente, c'était un peu plus ''dramatique''. Puis il y avait un engouement strasbourgeois énorme, toute une région derrière nous. Voir ce stade archiplein, ça nous a transcendé. » Lui le premier qui, comme il le dit, « jouait sa saison sur ce match ». Ecarté du groupe pro par Gilbert Gress en début de saison, il n'était réapparu que lors du dernier match de championnat contre Epinal le 18 avril (jusque-là, il n'avait joué que 108 minutes dans la saison !), avant d'enchaîner, titulaire, les cinq matchs de barrages, dont les deux contre Rennes. « Je sortais d'une saison vraiment difficile. J'avais eu quelques problèmes avec Gress dès le début de saison et il m'avait écarté. C'était très difficile pour moi. Je donnais tout à l'entraînement, j'étais frustré de ne pas jouer. Je suis accrocheur, j'ai voulu lui montrer jusqu'au bout ce que je valais. Et là, je finis en apothéose. J'entends ensuite Gress dire aux journalistes qu'il s'était trompé, c'était ma revanche. Ça m'a servi pour la suite de ma carrière. »
Des douze strasbourgeois à avoir foulé la pelouse de la Meinau ce 13 mai au soir contre Rennes, Olivier Dall'Oglio a surtout la particularité d'être le seul à avoir rejoint, plus tard dans sa carrière, le club breton. C'était un an plus tard, après une saison en demi-teinte du côté de Perpignan en D2. Forcément, à Rennes, ce match a été sujet de discussion. « On en a bien discuté avec quelques collègues rennais. J'ai même regardé un bout du match avec Michel Sorin (titulaire à la Meinau) et François Denis, mais ils ont vite arrêté. On en a souvent parlé entre nous, mais j'ai vu que c'était pas facile pour le club. » S'il n'a plus revu le match depuis « la K7 doit être au fond d'un carton » , le souvenir est toujours aussi intact. Et, si jamais il venait à l'oublier, il y a toujours sa femme pour lui rappeler. « Il y a encore un ou deux mois, elle m'a dit : ''Tu te souviens les gens qui nous arrêtaient dans la rue ou au feu rouge pour qu'on descende la vitre'' C'est avec elle que j'en parle le plus. Ça l'a bien marqué, surtout la reconnaissance qu'avaient les gens derrière. Après le match, on a enchaîné dix jours de fête où on sortait tous les jours. Il y avait une osmose complète avec le public. On a été superbement bien accueilli par les Alsaciens partout où on est passé. Je crois qu'on n'a pas payé grand-chose... »
LAFA -
katzo68 a écrit, le 2012-05-10 13:34:27 :
« Je sortais d'une saison vraiment difficile. J'avais eu quelques problèmes avec Gress dès le début de saison et il m'avait écarté. C'était très difficile pour moi. Je donnais tout à l'entraînement, j'étais frustré de ne pas jouer. Je suis accrocheur, j'ai voulu lui montrer jusqu'au bout ce que je valais. Et là, je finis en apothéose. J'entends ensuite Gress dire aux journalistes qu'il s'était trompé, c'était ma revanche. Ça m'a servi pour la suite de ma carrière. »
Y a pas comme un problème là ?
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Qu'il s'était trompé en le laissant de côté, I suppose.
Bonne interview d'un joueur vintage au nom inoubliable (+) -
Nan mais j'ai bien saisi le sens de la phrase.
D'où mon étonnement.
Monsieur Gilbert Gress qui admet en public s'être trompé...
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Olivier Dall'oglio il nous a vendu du reves celui la !!
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Promotion interne à Dijon
Le nouvel entraîneur de Dijon est dijonnais. En effet, les clés de l'équipe seront confiées à Olivier Dall Oglio qui était l'adjoint de Patrice Carteron. Ancien défenseur central d'Alès, de Strasbourg, Perpignan et Rennes, il possède son DEPF. Il est né en 1964. - G. D.
lequipe.fr -
Ce message est une brève publiée par katzo68.
L'ancien strasbourgeois Olivier Dall'Oglio est le nouvel entraîneur de Dijon (L2).
Source: L'Equipe -
thespecialone a écrit, le 2012-06-01 14:56:41 : Ancien défenseur central d'Alès, de Strasbourg, Perpignan et Rennes
Il a quand même fait le plus gros de sa carrière comme arrière latéral. :-B -
Je me souviens avoir vu jouer Dall'Oglio au Racing. C'est un bon gars et je suis content pour lui.
Je lui souhaite toute la réussite du monde dans sa carrière d'entraineur. -
Un très bon choix, meilleur que l'illusion Brouard.
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Extrait de l'interview de Pierre Ménes sur lequipe.fr :
On peut parler d'une rumeur qui insinue que vous serviriez d'intermédiaire entre les joueurs et les clubs sur certains transferts...
Dans toute ma carrière, je ne suis intervenu qu'une seule fois dans un transfert. J'ai recommandé Olivier Dall'Oglio, qui était alors au chômage, au Stade Rennais. Cette rumeur, elle revient sur tous les journalistes qui couvrent la rubrique « Transferts », qui sont donc en contact avec les agents. Tu ne peux rien faire à ça.
lequipe.fr -
DFCO : l’entraîneur Olivier Dall’Oglio en garde à vue
Coup de tonnerre au DFCO ! L’entraîneur du club Olivier Dall’Oglio a été placé en garde à vue ce mardi matin dans le cadre d’une enquête ouverte pour suspicion de « corruption active et passive dans le cadre de manifestations sportives ». Une affaire de matches truqués donc qui implique également, selon nos confrères du Point, Nîmes, Angers et Caen, villes où des interpellations d’entraîneurs, de présidents ainsi que d’intermédiaires se sont également déroulées aux aurores aujourd’hui. Les auditions sont en cours.
S’agissant du DFCO, c’est le match Dijon-Nîmes du 25 avril 2014 (remporté pourtant 5 à 1 par les hommes de Dall’Oglio) qui apparaît suspect aux yeux des enquêteurs.
Que risque le DFCO ?
Si la corruption est avérée, Dijon pourrait se voir soit rétrogradé en ligue 2 soit écoper de sanctions de points, ce qui mettrait à mal tous les efforts de l’équipe cette saison. En Italie, une affaire similaire avait secoué le calcio : plusieurs clubs du championnat dont La Juventus de Turin avaient été contraints de descendre d’une division.
Ni le service communication du DFCO, ni Olivier Delcourt, le président du club, n’ont répondu à nos sollicitations, pour le moment.
source: http://www.gazetteinfo.fr/2014/11/18/dfco-lentraineur-olivier-dalloglio/ -
On verra si en France ils ont autant de corones qu'en Italie.
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Les championnats de foot ont tous été suspendus en Italie ?
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Ben Dijon, ils y sont déjà en Ligue 2
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uso45 a écrit, le 18/11/2014 11:26 : On verra si en France ils ont autant de corones qu'en Italie.
La réponse est non, Le Graët et Thiriez ne sont pas connus pour en avoir :D -
Heureusement que les clubs allemands, et en particulier le plus grand, sont réputés pour être dirigés par des gens honnêtes et intègres :D
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