Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

SC Freiburg

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Flux RSS 65 messages · 9.852 lectures · Premier message par kev6736 · Dernier message par kitl

  • Diagne de Metz à Fribourg

    http://www.francefootball.fr/Medias/Photos/201201/644x416/diagne-...

    Le FC Metz a officialisé le transfert de Fallou Diagne au SC Fribourg. Chez la lanterne rouge de la Bundesliga, le défenseur sénégalais de 22 ans retrouvera Papiss Cissé, son compatriote et ancien coéquipier en Lorraine.

    FF
  • Butscher, de Fribourg à Francfort

    http://www.francefootball.fr/Medias/Photos/201201/644x416/butsche...

    Aligné à huit reprises cette saison en Bundesliga, le défenseur central allemand du SC Fribourg, Heiko Butscher ouvre un nouveau chapitre de sa carrière en Deuxième Division. Âgé de 31 ans, l'ancien capitaine du SCF a signé à l'Eintracht Francfort jusqu'en juin 2013, club qui espère retrouver l'élite en fin de saison, puisqu'il pointe actuellement à la troisième place de D2.

    FF
  • Bon bein Cissé est parti à Newcastle si je me trompe pas, Bundesliga 2 en vue...

    Edit : Si un modo pouvait déplacer ce message dans le bon topic, sorry. :'>
  • katzo68 a écrit, le 2012-01-06 20:20:38 :
    Diagne de Metz à Fribourg

    Le FC Metz a officialisé le transfert de Fallou Diagne au SC Fribourg. Chez la lanterne rouge de la Bundesliga, le défenseur sénégalais de 22 ans retrouvera Papiss Cissé, son compatriote et ancien coéquipier en Lorraine.

    FF

    eh ben non !


    L'attaquant de Fribourg, Papiss Cissé s'est engagé pour cinq ans et demi avec Newcastle. Le montant du transfert est évalué à 12 millions d'euros. L'international sénégalais s'est dit «conscient de l'importance que revêt le fait de porter le maillot floqué du N.9» et «honoré de rejoindre un si grand club». Il rejoint en attaque, chez les Magpies, son compatriote Demba Ba, avec qui il va disputer la Coupe d'Afrique des Nations.


    l'equipe.fr
  • Jonathan de bonne foi

    http://www.dna.fr/fr/images/AB3BA174-92E2-4ACF-8B63-2D324795EC40/...

    Il aura 22 ans le 22 juin. Professionnel depuis février 2011 au SC Fribourg, Jonathan Schmid est en passe de gagner sa place de titulaire en Bundesliga après un parcours très atypique, où il a toujours eu foi en lui. Ce samedi, au Mage Solar Stadion, l'attaquant strasbourgeois rêve de croiser la route de Franck Ribéry et du Bayern Munich.

    Tout gamin déjà, ses pieds n'arrêtaient pas de caresser un ballon. Même assis sur son banc d'école au Neuhof, Jonathan Schmid ne pouvait dessiner que des ronds avec ses mains, insensibles à toute autre forme géométrique.

    « Je ne pensais qu'au foot. Je n'aimais l'école que parce qu'il y avait des récréations et qu'on organisait des matches. En fait, dès que je le pouvais, je jouais. Et puis, j'avais toujours mon ballon avec moi. »

    « Je dormais avec mon ballon. Une heure sans lui, j'étais malade »
    Il le souffle, c'était plus qu'un copain, « comme un ami », qu'il ne quittait même pas le soir venu quand les lumières de sa chambre s'étourdissaient pour sommeiller. « Je dormais avec mon ballon. Une heure sans lui, j'étais malade », rigole-t-il.

    Les murs des HLM de la rue Marschallof se souviennent de ses frappes de balle, du pied droit bien sûr, du pied gauche bientôt. « Je jouais partout, sur toutes les surfaces, sous la fenêtre de ma chambre, sur du béton ou de l'herbe, contre tous les adversaires possibles. »

    Il rejoindra vite le Racing, le quittera quelques années plus tard. « Jean-Marc Kuentz nous avait reçus, ma maman - Myriam - et moi. On ne me conservait pas car j'étais fainéant. J'avais eu un petit sourire nerveux. »

    Et puis comme son équipe venait de gagner le titre régional de sa catégorie d'âge, il avait revêtu un drôle de tee-shirt. « Viré, mais Champion. »

    Là où d'autres auraient baissé la tête, remisé leurs rêves pour une autre vie, lui avait juste estimé que le club strasbourgeois ne serait « pas celui où je percerai ».

    Pour lui, le foot, c'est une question de foi, celle que lui a transmise son père, de mental aussi. « Je fais le signe de croix et j'embrasse mon pendentif avant le début de chaque rencontre. J'avais 16 ans, j'ai dit à mon père - Tony - de ne pas s'inquiéter pour moi et qu'un jour notre nom serait écrit en grand sur un maillot de foot. Et lui m'avait dit de foncer, d'y croire, dit-il avant de rigoler. Je pense même qu'il m'avait dit que le seul moyen de gagner ma vie serait d'utiliser mes pieds. Il a fini par avoir raison. »

    Il gagne un surnom, le “Ribéry de Fribourg”
    Il avait rejoint le SC Schiltigheim, avait glissé ensuite quelques hectomètres plus loin au CS Mars Bischheim.

    C'est là-bas qu'on l'avait vraiment découvert en septembre 2007, il débutait en Division d'Honneur. Premier match, premier but. Il avait à peine 17 ans. « C'était contre Haguenau. »

    Et puis, il prendra la route d'Offenbourg seulement six mois plus tard. « L'entraîneur m'a dit que je ne resterai pas longtemps avec lui car je serai vite repéré. »

    Ce sera le SC Fribourg que son club avait affronté en Coupe chez les jeunes.

    Ensuite, il y aura des périodes de doute, Jonathan Schmid gagnera un surnom aussi, le « Ribéry de Fribourg », après une saison où il était devenu champion national et vainqueur de la Coupe d'Allemagne des U 19.

    Et que ses deux pieds faisaient des ravages à force d'envoyer le ballon faire frissonner les filets du but adverse. « Même quand je ne jouais pas, j'essayais de ne pas trop douter. »

    Et puis, en février 2011, il signe son premier contrat professionnel « de trois saisons et demie, comme une récompense ».

    Il ne jouera qu'une rencontre de Bundesliga cette saison-là, mais il est fier comme un coq quand il revient chaque soir à Strasbourg, Strasbourg-Neuhof bien sûr.

    « Je sais d'où je viens et j'aime mon quartier. Mes parents, même sans beaucoup d'argent, m'ont rendu heureux. Ils se débrouillaient toujours pour que mon petit frère Anthony, qui joue au Racing, et mes deux soeurs ne manquent de rien», soupire Jonathan Schmid.

    « Aujourd'hui, j'espère juste servir d'exemple aux gamins du Neuhof. Tout peut aller très vite dans la vie, dans un sens comme dans un autre. Il faut rester humble. »

    Il décrit avec humour qu'il est obligé de garder la tête sur les épaules « sinon je prendrais une baffe de mon père », mais qu'il va permettre à tous ses proches de « faire moins attention aux prix dans les magasins » et de vite offrir un voyage à ses parents « où ils veulent ».

    « Le lendemain seulement, j'ai réalisé que j'avais marqué en Bundesliga »

    Sa vie, ce n'est pas métro-boulot-dodo, mais plutôt papa-maman-ballon puisqu'il n'a jamais quitté le domicile familial, en plein coeur du Neuhof et de sa cité. « Je ne sais pas cuisiner comme maman et, en plus, elle fait mon lit », rigole-t-il en parlant avec douceur de Myriam, femme de ménage au quotidien pour faire vivre sa famille.

    Alors, tous les jours depuis bientôt quatre ans, il fait 170 kilomètres aller-retour en voiture « quand un pote peut m'en prêter une » ou en train pour aller s'entraîner. « C'est un bonheur de rentrer à la maison le soir. »

    Mais depuis un peu plus de deux mois, alors que l'hiver allait arriver et que Jonathan Schmid avait encore tant de pages blanches à noircir, un événement était survenu.

    « Christian Streich, celui qui m'avait repéré et fait venir, était promu à la tête de l'équipe première. »

    Depuis, il a disputé neuf rencontres de Bundesliga, marqué son premier but il y a une dizaine de jours face à Brême (2-2).

    « Juste après avoir marqué, j'ai dansé comme un fou. C'est la première fois que ça m'arrivait. Avant, je revenais me placer tranquillement. Le lendemain seulement, j'ai réalisé que j'avais marqué en Bundesliga. »

    En Autriche, le pays de son père, on parle même de lui.

    « Dans un journal, il y avait ma tête au-dessus du maillot national avec un gros point d'interrogation. Ma vie change, on me reconnaît même de plus en plus souvent dans la rue. »

    Dans quelques jours, c'est Franck Ribéry qui sera en face de lui. « En 2006, je le regardais à la télé, il était en poster dans ma chambre. C'est fou ce qui m'arrive. »

    Il défiera une de ses idoles balle au pied et plus seulement avec une manette de console de jeux dans les mains. Et il semble ne pas en revenir.

    « J'espère qu'il me donnera son maillot », souffle Jonathan Schmid.

    Lui, il portera « avec fierté » le maillot de Fribourg, celui qui l'a fait connaître, celui qu'il veut sauver de la relégation désormais.

    Et puis, dessus, son nom est inscrit en grandes lettres - SCHMID - avec un numéro bien à lui : le 17.

    « C'est la date de naissance de ma maman. Quand je suis parti à Offenbourg, elle m'avait dit que ça me porterait bonheur. Elle avait raison. »

    Samedi, il ira peut-être plus vite que d'habitude puisque toute sa famille soufflera dans son dos depuis les tribunes. « Les Schmid viendront de partout, même d'Autriche. »

    Le jeune homme est heureux, puisque le ballon n'est jamais loin de ses pieds. Et qu'il est toujours là même quand il ferme ses yeux. Comme dans sa chambre d'enfant...

    DNA
  • Un bon gars apparemment. En tout cas il a l'air d'avoir la tête sur les épaules.
  • Bühler à Fribourg

    Après Chentouf, Domo et Ndzomo, Fribourg a engagé un quatrième joueur du Stade Nyonnais : Manuel Bühler (28 ans).
    John Dragani aime s'appuyer sur des hommes qu'il connaît. L'ancien technicien de Nyon a encore frappé en grand coup en ajoutant Bühler à son contingent. Talentueux, en dépit d'une condition physique parfois précaire, ce milieu offensif était l'un des joueurs les plus créatifs de Challenge League. En 1e Ligue Promotion, avec des attaquants de la trempe de Karim Chentouf et Bruno Valente, les assists risquent de pleuvoir.

    Sans être dans la tête de l'entraîneur fribourgeois, on pourrait revoir son 4-4-2 losange à l'honneur. Et la panique dans les défenses adverses.

    Eurosport
  • Manuel Bühler était à l'essai au Racing il y a trois saisons sous l'ère Gress !
  • Y a quiproquo là...c'est pas le même Freiburg O:).
  • Oups =;
  • Ezequiel (Betis) cédé à Fribourg

    Auteur de seulement quatre matches de Liga avec le Betis la saison dernière, Ezequiel tente sa chance en Allemagne. Recalé par Mönchengladbach, le joueur de 21 ans est finalement prêté pour une saison (avec option d'achat) à Fribourg. Le milieu de terrain avait terminé la saison dernière à Sabadell.

    L'Equipe.fr
  • Après 10 journées et une cet après-midi contre Hambourg (0-3). Fribourg est 17ème à 5 points du premier non-relégable. Le maintien va être difficile si y'a pas de réaction.
  • Une équipe jeune, qui perd bon nombre de cadres et recrute d'autres jeunes.
    Une Coupe d'Europe dévoreuse d'énergie.
    Toujours pas de victoire en championnat.
    La conviction que l'équipe joue bien, que cela finira par tourner, qu'il ne faut pas s'affoler etc...


    Cela ne vous rappelle rien ? :-s
  • Défaite 3/0 à domicile "grâce" à 3 énormes boulettes de leur gardien Baumann. Même Ali Ahamada en rigole...
  • 0-1 contre un petit, tout petit Dortmund. Un match soporifique, très inquiétant pour les Badois dans l'optique du maintien...

    But à la trajectoire involontaire signé Sebastian Kehl, ancien du club...
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