[2014-2015] Paris FC 1-1 RCS | Après-Match
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duduPetit rectificatif sur l'intervention de kalaoui, ce n'est pas deux buts que le Racing a pris depuis le début du championnat mais 3.
En effet, avec les deux penalty, il y aussi le but pris a Colomiers et qui faisait suite a un coup franc, donc encore sur phase arrétée...
Concernant Bahoken, il ne faut pas le juger trop tôt et il doit encore trouver ses marques mais il est imposant devant et pése vraiment sur les défenses.
Il ne lui manque qu'un but pour le libérer complétement. -
Quel but magnifique de sa part !
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dudu a écrit, le 23/08/2014 19:33 : Petit rectificatif sur l'intervention de kalaoui, ce n'est pas deux buts que le Racing a pris depuis le début du championnat mais 3.
non 2 buts ,un pénaltie hier et un a Colomiers !! -
Tu as raison, le penalty contre Epinal a été arrété, mea culpa !
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Un pénalty ou un coup-franc ne sont ils pas la conséquence d'une erreur dans une phase de jeu?
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Je dirais plutôt une faute mais ça reste une phase arrêtée ou la défense (l'équipe) se place en conséquence, marquage, mur, placement, etc...hormis le pénalty ou la "loterie" fait partie intégrante du tir.
Bref, t'as compris. -
Pour le moment tout roule.
Le Racing a la chance du cocu.(penoche raté d'Epinal à la 88eme,but égalisateur à Charléty à la 90eme)
Pourvu que cela continue -
Non on a pas de chance de cocu comme tu dis, le but a la 90 ème hier ? Un match ça se joue jusqu'à la fin et je sais pas si t'étais au match mais c'était mérité, et le penalty arrêté ? Fallait le tirer mieux parce que si c'était un tir …. C'est pas de la chance c'est tous.
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On peu pas en dire autant d Epinal ! Mais ma chance fini par tournée !!
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cooc a écrit, le 23/08/2014 21:52 : Non on a pas de chance de cocu comme tu dis, le but a la 90 ème hier ? Un match ça se joue jusqu'à la fin et je sais pas si t'étais au match mais c'était mérité, et le penalty arrêté ? Fallait le tirer mieux parce que si c'était un tir …. C'est pas de la chance c'est tous.
Non, c'est juste le cul bordé de nouilles :) La chance des champions, mais la saison est encore très longue !! -
Pour moi, c'est ce qu'on appelle avoir de la réussite, et une équipe qui veut aller loin doit en avoir...
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que 600 spectateurs d'apres les DNA !!!!!! qui croire ?? 600 ou 1150 ??
en tout cas bravo aux 300 strasbourgeois qui ont fait le déplacement -
Pour moi ce n'est pas de la chance
Nous aurions aussi pu et du bénéficier d'un penalty sur MARQUES sur la dernière action
Et l'an dernier ce n'était pas de la malchance non plus -
Racing : les feux aux Verts
Invaincu après trois journées de National, le RCSA, qui a arraché le nul à l'ultime seconde avant-hier au Paris FC (1-1), se pose en dauphin de SR Colmar qu'il ira défier le 6 septembre au Stadium. Mais avant de se frotter à des Verts qui l'ont battu deux fois en 2013-2014, il va devoir bien négocier la réception de Boulogne vendredi (20 h).
À quinze jours d'un alléchant derby au Stadium face à des SR Colmar qui virevoltent en tête après leur grand chelem des trois premières journées (le samedi 6 septembre à 18 h), le Racing est lui aussi toujours invaincu. À ses deux succès à Colomiers (3-1) et contre Épinal (1-0) s'est ajouté avant-hier un nul probant et mérité au Paris FC, même s'il ne l'a obtenu que dans le temps additionnel grâce un but magnifique de son capitaine Ernest Seka.
Pourtant, à l'heure de quitter le stade Charléty vendredi, la perspective d'un derby choc semblait encore lointaine et abstraite aux Strasbourgeois. Parce qu'avant leurs retrouvailles, les deux clubs alsaciens vont devoir aborder dès ce vendredi un virage pas si simple : à la Meinau contre Boulogne pour les Bleus et au Poiré-sur-Vie pour les Verts. « Passons d'abord Boulogne et nous verrons bien si le derby opposera les deux premiers, lâche un Abdelhak Belahmeur pragmatique. Notre début de saison est bon, mais nous n'avons joué que trois matches. Nous ferons le point après une dizaine de journées. Ceci dit, nous voulions préserver notre invincibilité à Paris et pour le capital confiance, cette égalisation sur la fin fait du bien. Elle n'est pas imméritée. On n'a pas réellement été mis en danger et on prend ce but sur penalty à un quart d'heure de la fin. Ensuite, on a poussé et Ernest met un but magnifique. »
Dans les dix dernières minutes, Ernest Seka a en effet troqué sa tunique de défenseur central - qu'il a d'ailleurs portée avec une certaine distinction - pour le costume d'avant-centre, puis, à la 92e, l'habit de lumière du sauveur. Et comme le dit Belahmeur, le Racing a donc réussi son entame, aux antipodes du désastreux exercice 2013-2014.
Ce douloureux passé récent explique sans nul doute la retenue des Bleus 2014-2015, pour beaucoup présents la saison dernière et, de fait, guère enclins à pavoiser. D'autant qu'avec un peu moins d'une réussite qu'il a su provoquer, le RCSA compterait ce matin trois points de moins. L'autre vendredi à la Meinau, son gardien Guillaume Gauclin en a préservé deux en stoppant à la 87e un penalty qui aurait permis à Épinal d'égaliser à 2 partout. Avant-hier à Paris, Seka est allé en chercher un sur un ciseau du droit qu'il va très vite ranger soigneusement dans sa dvdthèque.
Avec quatre unités au compteur, l'analyse des premiers pas strasbourgeois serait forcément différente. Mais même avec sept, un total encourageant pour un club repêché par la peau du dos il y a un gros mois, l'heure est à la mesure chez les Racingmen. Et pour cause ! Ils n'ont pas pu ne pas constater que leurs succès ont été acquis face aux deux équipes qui ferment la marche avec un zéro pointé.
À quelques secondes près, le choix tactique de Jacky Duguépéroux s'est donc révélé payant chez un Paris FC égal à lui-même, comme le décrit J.-P. Sabo. « Paris ne s'était pas découvert non plus lors de ses deux précédents matches, notamment à domicile contre le CA Bastia (0-0). Le coach nous avait demandé d'attendre un peu et d'essayer de prendre les Parisiens à revers dans leur dos. Ça n'a évidemment pas donné le même spectacle que les deux précédents, mais en face, ce n'était pas non plus la même équipe. Ce point va faire du bien au groupe. Sur la physionomie de la rencontre, c'est un bon point. »
« Nous étions à l'extérieur et avons suivi les consignes de ne pas nous livrer », confirme Seka. Le piège tendu par le Racing à son hôte a plutôt bien fonctionné, jusqu'à ce que Sabo ne déséquilibre dans la surface un Christian Kinkela ravi de se faire justice sur penalty à la 76e. Battus, les « Ciel et Blanc » seraient repartis de Paris avec la désagréable impression d'être tombés sans avoir vraiment lutté avec leurs armes. Mais avant qu'ils ne se morfondent en éternels regrets, le but d'anthologie de leur capitaine a rétabli sur le fil une parité logique. Une double bonne affaire en réalité, si l'on considère que ce point-bonus s'accompagne d'un surplus de confiance bienvenu pour un club désireux de chasser ses démons de l'an passé.
L'Alsace -
Merci à VISIOFOOT pour le but d'Ernest Seka. Dommage à un certain média de faire du buzz là-dessus sans citer le vrai producteur des images !
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Paris FC - RCS, vu des réseaux sociaux
Un stade vide, un match vide puis Seka, l'émotion, voire l'orgasme pour certains. Le récit du match par le #LiveRCS.
Cliquez ici pour lire la suite de cet article écrit par @mediasoc -
Paris FC - RCS, le compte rendu
Pour cette troisième journée de National, le Racing passait un véritable test face à un « cador » de ce championnat de National, le Paris FC avec son recrutement XXL (Poujol, Socrier, Kinkala, Keita…). Autant le dire tout de suite, ce match a été loin d’être très emballant enfin sauf peut-être jusqu’à cette 92e minute…
Cliquez ici pour lire la suite de cet article écrit par @calcio90 -
Chouette le papier de @calcio90.
La photo de l'arc en ciel.....tout un symbole.......après la pluie,le beau temps!
GÉNIAL -
Tu as raté une nouvelle occasion de te taire @mediasoc :D
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mediasoc a écrit, le 24/08/2014 13:00 : Merci à VISIOFOOT pour le but d'Ernest Seka. Dommage à un certain média de faire du buzz là-dessus sans citer le vrai producteur des images !
Tu es pas fatigué de toujours critiquer ? Regarde bien avant de dire des conneries : http://www.totalsportlive.com/alsace/22082014-paris-fc-strasbourg-le-resume-52110/ -
Vos guéguerres ne nous intéressent pas. Si vous avez des comptes à régler, c'est par MP.
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Juste un mot car je n'ai pas tort, l'article a été modifié après mon post. Ce n'est pas une guéguerre, juste une opinion librement écrite dans un forum.
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Et vidéo du STRAS-BOUR-GEOIS qui résonne encore à Charléty :
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1 nouvelle(s) photo(s) et/ou vidéo(s) sur racingstub.com :
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Le Racing retrouve ses bases
Avec seulement deux buts encaissés - sur coups de pied arrêtés - en trois journées, dont un sur penalty vendredi au Paris FC, Strasbourg affiche une solidité susceptible de lui épargner bien des désagréments. Un atout en National où, comme le dit le capitaine Ernest Seka, « tout le monde peut battre tout le monde. »
En ce début de saison 2014-2015, le Racing n'a toujours pas encaissé le moindre but sur action de jeu. Certes, son gardien Guillaume Gauclin, qui pourrait bien voir arriver très vite un concurrent (Ndlr : l'ex-portier de Mouscron Alexandre Oukidja, formé à Lille et testé de mardi à jeudi derniers, est sur les tablettes), s'est incliné deux fois. Mais les deux fois sur coups de pied arrêtés : un coup franc columérin il y a dix jours en Haute-Garonne et un penalty parisien vendredi au stade Charléty.
Jusqu'ici, le quatuor défensif du RCS reste immuable et tient la baraque. Trois « anciens » le composent - Pacho Donzelot, Milovan Sikimic et Jean-Philippe Sabo - et c'est naturellement un gain de temps dans la quête d'automatismes. Seul Ernest Seka, arrivé d'Amiens cet été, l'a intégré. Le nouveau capitaine des Bleus s'est vite imposé comme le patron de l'arrière-garde, ce qui ne l'a pas empêché de s'offrir quelque escapade il y a trois jours à Paris pour aller signer le but de l'égalisation à la dernière seconde (1-1).
« On a une bonne assise, souligne Sabo. Entre les quatre de derrière et les deux du milieu, on est solide, c'est vrai. Ernest et Milo apportent de l'impact physique et de la sécurité dans l'axe. Pacho joue bien son rôle dans le côté droit. À nous de continuer comme ça, en concédant très peu d'occasions pour prendre le moins de buts possibles. Mais cette solidité est un tout. L'adversaire craint notre attaque et ça joue aussi un rôle important dans notre maîtrise défensive. »
Dans l'axe, « Milo » Sikimic et celui qui lui a succédé au capitanat ont eu tôt fait de placer leur association sous le signe de la complémentarité. « Ça ne fait que trois matches. L'avenir dira si nous sommes costauds ou pas. Nous allons tout faire pour le rester, relativise Seka. Avec Milo, on travaille tous les jours depuis deux mois pour trouver nos repères. Mais la défense n'est pas l'affaire de quelques-uns. C'est celle de toute l'équipe et tout le monde fait sa part de boulot. »
Témoin privilégié depuis sa surface de réparation, Guillaume Gauclin apprécie d'être ainsi défendu par un blockhaus jusqu'ici à l'épreuve des balles : « Les quatre font du bon boulot. Mais le rendement de la charnière Seka - Sikimic est très fort. Tout le monde a constaté l'apport d'Ernest. Et le Milo de cette saison n'a plus rien à voir avec celui de l'an dernier, diminué par sa blessure au genou, puis son opération. Il ne va pas être simple de le déloger (sourire). Avec ces deux-là devant lui, un gardien ne peut que se sentir en confiance et protégé. »
Alors que Jacky Duguépéroux répétait jeudi lors de son point-presse de veille de match qu'il espérait encore l'arrivée « d'un milieu défensif capable de jouer dans l'axe gauche », le vieux « Milo » (34 ans dans deux mois), enfin débarrassé de ses pépins physiques, refleurit en cet été automnal et démontre qu'il faudra compter avec lui en 2014-2015. Voire en 2015-2016, puisqu'il lui reste deux ans de contrat.
À défaut d'afficher un réalisme offensif à se pâmer, malgré une ouverture en fanfare à Colomiers, les Bleus, qui ont inscrit cinq buts en trois rencontres, peuvent se reposer - s'appuyer, plutôt - sur un équilibre défensif certes encore perfectible, comme en attestent les deux penalties concédés en une semaine contre Épinal et à Paris, mais qui offre tout de même quelques garanties.
Devant Boulogne vendredi, puis à Colmar le samedi suivant, face aux attaques les plus prolifiques du National (7 buts, comme Chambly), le Racing tentera d'aller en chercher d'autres.
L'Alsace
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