Michel Platini
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conanVu sur le site de l'équipe:
"Michel Platini, actuel conseiller du président Blatter à Zurich, n'exclut pas de se porter candidat à la présidence de l'instance dirigeante du football mondial « dans quelques années », a-t-il déclaré mardi dans le quotidien belge «Le Soir».
A la question « Verra-t-on un jour Platini présider aux destinées du football mondial ? », le triple ballon d'Or répond : « Oui pour autant qu'on me le demande. Mais dans quelques années, pas avant. D'ailleurs, je n'ai rien prévu à ce sujet. Ça reste dans l'absolu. Depuis que j'ai arrêté le foot, tout s'est enchaîné si vite sans que je m'y attende ». Michel Platini est candidat pour faire son entrée officielle à la FIFA, alors qu'il n'est pour l'heure que conseiller « officieux ». « Il faut d'abord que je sois élu », prévient d'ailleurs le joueur aux 41 sélection en équipe de France.
Dans le même entretien, Michel Platini indique qu'il n'assistera pas à Belgique-France en raison du souvenir du Heysel, où la Juventus avait disputé la finale de la C1, en 1985 contre Liverpool (1-0), le jour du drame du même nom. « Le stade a bien changé, vous savez. Mais je vous l'avoue, je serais physiquement et psychologiquement incapable d'y revenir un jour » dit-il."
Voilà j'avais envie d'ouvrir un topic sur Michel qui est surement le plus grand joueur français de tous les temps et qui est le type qui m'a fait aimé le foot...
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Ouais, 3 ballons d'or, ça fait quand même rêver...
e même si j'ai un petit faible pour les grigris de Zidane
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Ce qui est assez extraordinaire avec Platini, c'est que c'est peut être l'un des derniers joueurs de très haut niveau qui n'était pas un athlètes. Il était chetif, un peu bedonnant et ne ressemblait pas à grand chose. Techniquement il était fort mais c'était pas non plus Maradonna ou un joueur lambda brésilien. Ce qui était génial, c'est qu'il était capable de transformer n'importe quel ballon de merde en passe géniale et véritable offrande.
En plus de celà, c'était un de ces buteurs! 41 buts en Edf je crois, record en cours et loin d'être battu. Trois fois d'affilée meilleur buteur du Calcio, alors que le jeu là bas ne se prétait pas trop à son style, et pas des buts de merde en plus... Evidement on se souvient des coups francs de Platini mais j'ai vu recement encore des vidéos de ses buts, y'en a des incroyables (des reprises de volée, des frappes de 35m, des têtes en desequilibre arrière...)
Et puis je sais pas, je l'ai toujours trouvé sympa Platini. Pour moi c'est et ca restera à jamais le plus grand. (+)
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Platini, çà façon de jouer était terrible, une vision du jeu hallucinante, et quels coups francs !!!
Il a aussi une carrière très bien remplie. Entre AS Nancy L, AS Saint Etienne et Juventus Turin, que demander de plus à cet homme. Pour plus de précisions, voilà çà fiche .
Par contre l'homme, je l'aime moins. Il ne me cesse d'avoir les images de l'ancien joueur jaloux d'un Zidane et d'un Deschamp car eux ont eu une coupe du monde et pas lui, il débitait un nombre pharaonique pour les détruire afin d'avoir encore de la place dans le coeurs des fans pour ne pas être submergé par les champions du monde... Il n'arrêtais pas de répéter que lui jouait contre Maradona, Cruif et Cie ...
Mais bon je garde avant tout le joueur dans mon esprit qui par une passe magique sortie tout droit de la planète amogalon (c'est dans partie izmolu de notre galaxie :)))pouvait permettre à un match de changer ...
P.S. pour Boogie: c'est un Lorrain le Platoche
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conan a écrit : En plus de celà, c'était un de ces buteurs! 41 buts en Edf je crois, record en cours et loin d'être battu.
Voilà un tableau des meilleurs buteurs de l'ED France. Tableau buteurs
C'est effectivement Platoche qui à le record en équipe de France, mais il n'est pas loi n d'être égalé ... Regardes bien, Platini a mis 41 buts en 8 ans (de 1976 à 1984) suit ensuite Papin (PAP1) et FONTAINE avec 30 buts marqués en 8 et 7 années. C'est là qu'arrive notre buteur officiel maison, j'ai nommé TREZEGUET, et c'est là que les choses changent !!! Regardez bien, TREZEGUET à donc marqué 28 buts à l'identique de DJORKAEFF. Ce dernier les à aussi marqué en 8 ans mais TREZEGUET les à mis en l'espace de seulement 4ans !!! Donc comme tout les autres joueurs, lui pourrail avoir mis 58 buts en 8ans!
Donc Platini n'est pas intouchable au nombre de buts marqué en ED France ... Et Henry peut en faire de même!
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Mouais je n'ai pas tant l'impression que celà qu'il était jaloux de la réussite des Deschamps et Zidane et Cie...Au contraire moi j'ai plutot l'impression qu'il était tout fier qu'ils aient reussit là ou les autres avaient échoués!
Pour les buteurs, c'est vrai que Trezeguet et Henry ont la capacité encore de le rattraper et le doubler s'ils continuent à ce rythme. N'empêche que eux c'est des attaquants purs que que Platini était numéro 10... On notera les 22 buts de Zizou alors qu'il n'a pas la réputation d'être très efficace devant un but!
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boogie a écrit : Ouais, 3 ballons d'or, ça fait quand même rêver... e même si j'ai un petit faible pour les grigris de Zidane
A noter qu'à l'époque seuls les joueurs européens pouvaient avoir le ballon d'or, ce qui excluait des joueurs comme Maradona de la "compétition".
Zidane n'est pas loin d'avoir trois ballons d'or. Je pense notamment au ballon d'or de Figo, "volé" à Zidane... -
RENCONTRE Michel Platini, le pèlerin
En visite à Bischheim pour l'inauguration d'un terrain synthétique, l'ancien n°10 de l'équipe de France a pu mesurer son énorme cote de popularité.
Il a toujours préféré s'exprimer avec les pieds. Mais l'éblouissante reconversion réussie par Michel Platini le contraint bel et bien, de temps en temps, à le faire avec la bouche. Dans la banlieue strasbourgeoise, le vice-président de la FFF, le membre exécutif de la FIFA et de l'UEFA, le conseiller de Sepp Blatter (liste non exhaustive), a montré que son art du contrôle se double d'une savoureuse maîtrise du verbe, quinze ans après avoir fait pleurer une génération de gamins en annonçant sa retraite sportive. Oui, « il aurait mieux valu pour ses terrains, que le bataillon de Joinville soit pourvu, en 1975, de surface synthétique pour y accueillir les tacles d'Albert Gemmrich, ce qui occasionnait quantité de trous ». Oui, il aurait « préféré venir plus tôt pour inaugurer un stade en Alsace, par exemple en 1998, à Strasbourg ». Non, il n'oubliera jamais d'où il vient et qu'avant de ravir les tiffosi de la Juventus, « c'est à Joeuf que l'histoire a commencé ».
Partisan de la démocratie du foot
La fin des discours tenus pour l'inauguration du terrain synthétique de Bischheim a correspondu pour lui au début d'un long match : celui qui l'a opposé aux flots ininterrompus des chasseurs d'autographes ou du sourire partagé sur une photo. Et, au milieu des footballeurs en herbe, qui ont eu pour seul rapport avec Platini les paroles nostalgiques de leur papa, on a pu l'apparenter à une réincarnation de Mick Jagger entouré de ses fans. Mais, contrairement au foot, le rock n'a pas de gouvernement. Et au sein des instances dirigeantes, Platini entend bien user de son charisme et de son aura pour rappeler certaines vérités premières. En cette période d'incertitude, elles ne font pas de mal à être entendues. « Il est clair que la Fédération entre dans une phase de transition avec l'annonce de Claude Simonet de ne pas briguer un nouveau mandat », constate l'ancien stratège. « Mais il n'y a pas de risque d'implosion entre amateur et pro selon moi. Il y a des départs, il y a des arrivées, un phénomène naturel. Et je peux vous dire que dans d'autres pays, cela se passe généralement moins bien ». Et à l'échelle internationale ? « Les échéances sont plus lointaines », poursuit Platini. « 2006 pour l'UEFA, 2007 pour la FIFA. Johanson ne briguera pas non plus un nouveau mandat. Mais Blatter n'a jamais annoncé qu'il s'arrêtait. Les gens de pouvoir ont bien souvent du mal à le rendre ». Brossant ce tableau finalement rassurant du sommet de la hiérarchie dirigeante, il ne se contente néanmoins pas d'envisager une gestion en père peinard « du plus beau des jeux ». « Tout a changé », relève-t-il, sans nostalgie. « Mais dans le monde d'aujourd'hui, le sport doit continuer à représenter certaines valeurs. Le système économique a évolué. Pas toujours dans le bon sens. Et il a des effets sur le foot. Strasbourg ne peut pas garder ses meilleurs joueurs. Si j'avais évolué aujourd'hui, ce n'est pas à 23 mais à 17 ans que je serai parti de Nancy. Je ne trouve pas ça très démocratique ». Et, dans son activité, on aura compris que la démocratie incarne ces valeurs qu'il défend. De la part d'un joueur qui aura un temps régné sur le football mondial sans en être le plus technique, le plus puissant ou le plus rapide, on n'en attend pas moins.
source : l'alsace -
Michel Platini : « Des choses qui ne me plaisent pas »
De passage en Alsace pour inaugurer lundi le nouveau terrain synthétique de Bischheim, pour accompagner hier le président de la LAFA Gilbert Schneider au tournoi des « étoilés » sur les terrains du centre de formation du Racing, Michel Platini s'est arrêté pour nous livrer le fond de sa pensée sur l'évolution du football, les raisons de son implication dans les instances internationales, sa foi en l'avenir.
Avec lui sur un terrain, le football paraissait tellement simple. A l'écouter aujourd'hui, il ne serait pas plus compliqué si... Si le jeu continuait à passer avant le business, si les valeurs véhiculées par le ballon n'étaient pas dévoyées, si les efforts pour « réguler le système » débouchaient sur des actes.
Bronzé, décontracté dans son polo noir, Michel Platini véhiculé par Albert Gemmrich est venu au centre de formation du Racing à la Kibitzenau où s'est déroulé le tournoi annuel des restaurants « étoilés » de France. Avant de repartir pour Zurich, où l'attend dès aujourd'hui son travail en commission à la FIFA, le triple « Ballon d'or » s'est confié sans chichis.
- Votre passage à Strasbourg s'inscrit-il dans le cadre d'une campagne électorale ?
- Non pourquoi ?
- Parce que vous êtes vice-président de la Fédération et que la succession du président Claude Simonet sera ouverte en février prochain...
- (il sourit) Non, non, c'est un hasard. Si je suis venu, c'est que le président de la Ligue d'Alsace, M. Schneider, me l'a demandé et que j'avais un trou dans mon emploi du temps avant de me rendre à Zurich. Quant à postuler la présidence de la FFF, c'est non. J'ai passé ma vie dans le football pro. Je ne connais pas assez bien les Ligues, le football amateur pour occuper la fonction. Je connais mieux les instances internationales. D'ailleurs, s'il y a des choses à changer, et il y en a, c'est là que ça se joue.
« Le football d'élite est dérégulé »
- Lorgnez-vous toujours vers la présidence de l'UEFA ?
- Si je me suis impliqué dans les instances internationales, c'est un concours de circonstances. C'est parce que Sepp Blatter m'a demandé de l'aider à devenir président de la FIFA. Il a gagné. Il m'a demandé ensuite de devenir son conseiller, je le suis devenu. Mais, pour avoir une légitimité, il faut être élu. J'ai été élu à l'UEFA. Maintenant, avant de viser un poste plus important, il faut voir si un tel job peut me plaire. Si je m'aperçois qu'on ne peut faire avancer les choses, je m'arrête. Je ne suis pas carriériste.
- Quand vous parlez de faire avancer les choses, à quoi pensez-vous ?
- Le football d'élite est aujourd'hui complètement dérégulé. Et ça ne me plaît pas forcément. Alors il faut essayer de le réguler à nouveau.
« Le parapluie des politiques »
- Plus concrètement ?
- Il y a toujours eu les nantis et les autres. Mais j'ai l'impression que les membres du deuxième peloton ne peuvent plus rattraper le premier. Et je ne pense pas que c'est une question de jeu. Il faut aujourd'hui un dialogue plus convaincant avec les instances européennes. Le football véhicule d'autres valeurs que cet ultra-libéralisme qui permet à de grands clubs européens de creuser des déficits incroyables et de s'en foutre. Parce qu'ils ont sur eux le parapluie des politiques qui les couvrent.
- Beau combat...
- Attention, je suis un partisan des grands clubs. Quand un club a de l'argent, je ne suis pas contre le fait qu'il paie immensément ses joueurs... Quand il n'en a pas, c'est moins bien.
« Une aberration »
- Un autre exemple de dérégulation ?
- Ben... tenez ! L'arrêt Bosman est une bonne loi... sauf pour les jeunes joueurs. Aujourd'hui, un jeune talent français de dix-sept ans peut partir à l'étranger sans avoir joué le moindre match en pro. On ne peut permettre à un gamin formé à Strasbourg ou dans tout autre club français de signer en Angleterre ou en Italie sans qu'il ait rendu à son club formateur un peu de ce que ce dernier lui a apporté. Je suis contre ce laxisme. C'est une aberration. Voilà un combat que je veux mener et que je mènerai.
- Et celui que l'UEFA mène contre le fameux G14, qui regroupe les quatorze clubs en principe les plus riches d'Europe ?
- Les quatorze clubs les plus endettés peut-être (il rit)... Que quatorze clubs se regroupent en association ne me gène pas. Ils n'ont aucune légitimité. Le G14 n'a pas l'importance que lui accordent les médias. Maintenant, on peut toujours discuter avec lui... Mais c'est quand même curieux. Au sein même de l'UEFA existe le Forum regroupant 250 clubs européens. Il est consulté. Il propose. Et savez-vous qui en est le président ? Karl-Heinz Rummenigge, le président du Bayern qui est l'un des leaders du G14... Cela dit, nous avons créé au niveau des clubs, la licence UEFA (NDLR : elle oblige les clubs à respecter un certain nombre de règles communes). C'est le début de quelque chose.
« Contre l'introduction
des clubs en Bourse »
- Revenons en France. Les clubs de l'Hexagone se portent-ils bien selon vous ?
- Oui, pas mal. Bon, les clubs français sont en colère contre les clubs étrangers qui ont des avantages (fiscaux notamment) qu'ils n'ont pas. Il faut bien sûr que tout le monde soit logé à la même enseigne. Mais je leur dis, moi, aux clubs français : « Battons-nous, non pas pour obtenir les avantages des autres, mais pour qu'ils soient obligés d'adopter notre réglementation à nous. Je l'avais proposé à Patrick Proisy. Mais il a préféré livrer combat pour l'entrée des clubs en bourse. Moi je suis contre. D'ailleurs tous les clubs étrangers côtés en bourse se sont cassés la gu..., sauf un (NDLR : Manchester). Monaco a joué la finale de la Ligue des champions sans être en bourse, c'est très bien ça.
- Et l'équipe de France ?
- C'est la fin d'une génération et on ne sort pas tous les ans un Zidane. On va souffrir un peu. On va subir ce contre-coup-là. Mais d'autres l'ont subi avant nous. Les Allemands, tiens...
« Pas envie de me
mêler au débat »
- A propos, la décision de « Zizou » d'arrêter sa carrière internationale vous inspire quoi ?
- Rien. J'ai été confronté à ce problème et j'ai fait mon choix en mon âme et conscience (NDLR : il a mis fin à sa carrière en équipe de France en même temps qu'il terminait sa carrière tout court à la Juventus). « Zizou » et les autres ont choisi, ils ont fait ce qu'ils ont voulu faire. Je n'ai pas envie de me mêler à ce débat.
- Et le choix de Raymond Domenech comme sélectionneur ? Vous étiez partisan déclaré de Jean Tigana...
- Je ne suis pas le président de la FFF. Domenech, c'est son choix. Point.
source : DNA -
C'est marrant comme Platini reste pour moi, un joueur qui après toutes ces années, est un modèle de ce qu'un footballeur doit être... et devenir...
Ce gars, comme le rappelait Conan, est loin d'avoir eu un physique impressionnant mais quelle aisance technique et surtout quelle vision du jeu.
Platini c'est le type qui te balance une ouverture incroyable, milimétrée pour le bon joueur au bon moment. Platini, c'est l'euro 84, mon premier grand souvenir de compétition officielle des bleus...
Platini c'est des pions majestueux pour l'équipe de France ou pour le Calcio... ah l'époque ils ont halluciné les tifosi en voyant le joueur qu'ils avaient recruté... avec Boniek ça déménageait !!!!
En plus, dans toute ces déclarations concernant le football moderne, il se rapproche de ma façon de penser... bref vive lui... Il est pas fan des dérives du foot moderne qui tend à ne plus respecter individus, paroles, ou (petits) clubs... Je ne pense pas qu'avec lui à la tête de l'UEFA on aurait joué la finale de coupe des confédérations après le décès de M.V. Foé, d'ailleurs on ne jouerait pas la coupe des confédérations tout court...
C'est vrai que Platini c'est LE joueur qui fait aimer le foot... (et Inzaghi son opposé absolu :)) ) -
teuh a écrit : Je ne pense pas qu'avec lui à la tête de l'UEFA on aurait joué la finale de coupe des confédérations après le décès de M.V. Foé, d'ailleurs on ne jouerait pas la coupe des confédérations tout court...
tu voulais sans doute parler de la FIFA :-B -
teuh a écrit : Je ne pense pas qu'avec lui à la tête de l'UEFA on aurait joué la finale de coupe des confédérations après le décès de M.V. Foé, d'ailleurs on ne jouerait pas la coupe des confédérations tout court...
Pavé dans la mare (et Dieu sait que j'idolatre Platini): Ca ne l'a pas dérangé plus que celà de jouer la finale du Heysel. -
conan a écrit : teuh a écrit : Je ne pense pas qu'avec lui à la tête de l'UEFA on aurait joué la finale de coupe des confédérations après le décès de M.V. Foé, d'ailleurs on ne jouerait pas la coupe des confédérations tout court...
Pavé dans la mare (et Dieu sait que j'idolatre Platini): Ca ne l'a pas dérangé plus que celà de jouer la finale du Heysel.
Rooo la mauvaise foi... Les situations n'étaient pas les mêmes... Pour le Heysel, le match se déroulait quelques minutes après les "incidents" et le match a aussi été joué pour éviter les émeutes à la sortie du stade.... Mais c'est vrai que je n'avais pas trop apprécié les démonstrations de joie de Platini après son pénalty. Un peu plus de réserve aurait était de bon aloi comme disait l'autre...
Pour Foé, la finale a eu lieu plusieurs jours après la mort du joueur, et la décision a été prise à froid, et non à chaud. C'est ce qu'il y a de plus condamnable... :( -
boogie a écrit : Je ne pense pas qu'avec lui à Mais c'est vrai que je n'avais pas trop apprécié les démonstrations de joie de Platini après son pénalty. Un peu plus de réserve aurait était de bon aloi comme disait l'autre...
C'est ce a quoi je faisais allusion en fait... -
Tu lui reprochais d'avoir "joué la finale", non pas d'avoir exprimé sa joie de buteur de manière déplacée... :)
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Oué enfin bon, ce que je veux dire, c'est qu'il y a quand même une méga zone d'ombre à ce niveau...
Mais ca n'enléve rien a l'admiration béate que je lui voue, simplement y'a un truc qui me bloque par rapport à celà... -
pensez-vous que les joueurs se rendaient bien compte a l'epoque de ce qu'il se passait reellement ?
je parle du drame du heysel... -
samh a écrit : pensez-vous que les joueurs se rendaient bien compte a l'epoque de ce qu'il se passait reellement ?
je parle du drame du heysel...
Ben il suffisait de jeter un petit coup d'oeil dans les tribunes durant l'échauffement... D'après les déclarations de Platini, ils étaient tout à fait conscient de ce qui s'y était passé...
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boogie a écrit : samh a écrit : pensez-vous que les joueurs se rendaient bien compte a l'epoque de ce qu'il se passait reellement ?
je parle du drame du heysel...
Ben il suffisait de jeter un petit coup d'oeil dans les tribunes durant l'échauffement... D'après les déclarations de Platini, ils étaient tout à fait conscient de ce qui s'y était passé...
ben dans ce cas
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En fait, ils étaient au courant qu'il y avait des incidents extrêments graves mais ignoraient qu'il y avait eu des victimes (bien qu'ils devaient s'en douter après tout).
Les joueurs de la Juve et de Liverpool sont même intervenus personnellement pour tenter de les calmer.
La décision de jouer le match (absolument honteuse) a été prise du fait de la peur de voir des incidents plus graves se produire, ce qui est totalement hallucinant. Certains joueurs ne voulaient pas, mais les autorités de l'UEFA les ont poussé et conviancu.
Ce qui s'est passé, c'est un phénomène psychologique assez étrange, à savoir qu'au coup d'envois de la rencontre, le football à repris le dessus, les 22 joueurs étaient concentrés sur la rencontre qui fut d'un assez bon niveau. C'était presque un match de foot normal! Thierry et Jean Mimi, qui commentaient la rencontre, se sont même surpris honteusement à s'enflammer sur certaines actions... Bref c'était vraiment suréaliste comme atmosphère.
Sur le terrain c'était pareil, et Platini explique fort bien ce phénomène: Ils ont joué comme si rien n'était si ce n'est que régulièrement, ils avaient un flash ou ils se disaient "mais qu'est ce qu'on fout là". Je pense que des experts en phychologie pourraient mieux expliquer que moi ce phénomene.
Quand a sa joie de buteur lors du péno (pour l'anecdote complétement bidon tandis que deux pénos flagrants n'ont pas été sifflés pour les Reds), elle fut quand même assez pudique et retenue. Ca relevait plus de la satisfaction du devoir accomplit et il n'a pas fait trois fois le tour du terrain en faisant tournoyer son maillot.
Bref je pense que c'est l'une de ces situations ou l'esprit humain est poussé à l'extrême et réagit de façon qui peut parraitre étrange, voire choquante. J'avoue en vouloir pas mal aux autorités d'avoir décidé de jouer cette finale. En tous cas, je pense que tous ceux présents au Heysel ce soir là n'en sont pas ressortis indemnes psychologiquement... -
Pour les plus anciens (et les autres) le coup franc en Vidéo marqué lors du match au Parc face aux Pays-Bas le 18 novembre 1981, désormais célèbre !
Pour le coup franc c'est par ici ! -
Oh merde! J'en ai les larmes aux yeux...
Pour mettre ce but dans le contexte, c'était le match décisif de la poule qualificative pour le Mondial Espagnol. La France devait absolument battre et donc éliminer les Pays Bas, finaliste des deux coupes du monde précédente...
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lenain2jard1 a écrit : Pour les plus anciens (et les autres) le coup franc en Vidéo marqué lors du match au Parc face aux Pays-Bas le 18 novembre 1981, désormais célèbre !
Pour le coup franc c'est par ici !
Au risque de me repeter (cf stamm hier), ce but est sans doute le plus important de l'histoire du football français... :-B -
Allez, un autre but de Platoche, ô combien important aussi !!
c'est par ici !!
Face a l'italie en 86 (+) -
lenain2jard1 a écrit : Allez, un autre but de Platoche, ô combien important aussi !!
c'est par ici !!
Face a l'italie en 86 (+)
Regardez ça les enfants... Fernandez, Rocheteau (en une touche de balle), Platini, balle piquée, but...
Le match le plus abouti et le plus rondement mené de cette génération, en 8ème de finale de la CM86 face aux champions du monde en titre.
lenain2jard1, tes choix sont des choix de roi!
Je vois bien le but du 3-2 de France-Portugal 1984 à venir
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