Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2009-2010] Châteauroux - RCS | Avant-match

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Flux RSS 707 messages · 49.629 lectures · Premier message par cohade1 · Dernier message par cvertas

  • Quand je vois notre parcours à l'extérieur, j'ai vraiment du mal à comprendre l'optimisme de certains :O
  • Comme je l'ai déjà dit il y a tout de même des raisons d'espérer.
    Tout d'abord Châteauroux n'a jamais su répondre présent à domicile lors d'un duel de bas de tableau.
    Ensuite cette formation a montré son incapacité à renverser une situation sur son terrain lorsque l'adversaire ouvre la marque,ce qui est le signe d'une faiblesse au niveau mental également.
    Pour continuer cette équipe ne semble pas pouvoir compter sur un vrai soutien populaire comme le montre sa moyenne de spectateurs.
    Puis au niveau du jeu ce n'est pas le barça non plus et sur un plan personnel j'ai vu sa rencontre face à Arles et le score était on ne peut plus trompeur,cette formation ayant montré de grosses lacunes avant de débloquer la situation sur pénalty.
    Enfin pour finir les superstitieux noteront que Châteauroux est une destination qui porte bonheur au Racing en général,ce dernier restant sur un bilan de 3 victoires et 1 nul lors de ses 4 derniers déplacements en ce lieu.
    Alors il est évident que le Racing de Janin réalise une triste saison avec un bilan médiocre à l'extérieur,mais en face l'équipe de JPP n'est pas non plus un foudre de guerre et son parcour à domicile a également montré certaines limites.
  • Deux bouées pour quatre


    Dans la charrette des relégués vers le National, deux places sont encore à pourvoir, aux côtés de Bastia. En dehors du Racing, Châteauroux, Guingamp et Vannes joueront leur avenir lors de l'ultime journée, vendredi soir (20h30). Tour d'horizon des forces et des faiblesses en présence.
    Il y a deux manières de voir les choses. La vision optimiste, qui ne répond à aucune logique cartésienne, voudrait que le Racing aille gaillardement s'imposer à Châteauroux et sauve ainsi, avec ou sans panache, sa place en Ligue 2. Le football étant tout sauf une science exacte, ce scénario hautement improbable n'est donc pas totalement à exclure.
    Las, la version pessimiste a plus la cote, en ces temps troubles. Les hommes de Pascal Janin, qui restent sur quatre revers de rang hors de la Meinau - sept buts encaissés, pas le moindre inscrit - et un bilan global indigent - huit nuls, dix défaites, aucun succès - ont du mouron à se faire, à l'heure de préparer leur déplacement dans le Berry.
    Mais le point du nul arraché vendredi dernier dans les arrêts de jeu contre Le Havre (1-1) autorise peut-être un autre scénario, que les Bleus doivent aujourd'hui considérer comme leur planche de salut. Car si Vannes perd à Metz ou si Guingamp ne bat pas Ajaccio au même moment, le Racing peut se contenter de partager les points à Gaston-Petit.
    A l'heure du dénouement, un détour pas les autres clubs concernés par cette indécise lutte s'impose. Quoi qu'il en soit, vendredi aux alentours de 22h30, deux des quatre "cancres" seront inconsolables.

    La Berrichonne n'a
    pas le choix


    CHATEAUROUX (18e, 41 pts, différence de buts -5)
    L'ENJEU. - Un seul cas de figure permettrait à Châteauroux de se maintenir, et ce quels que soient les autres résultats : une victoire contre le Racing.
    LES RAISONS D'Y CROIRE. - Les Castelroussins connaissent les enjeux d'une ultime journée, quand tout se joue à quitte ou double. L'an dernier à pareille époque, la troupe de Dominique Bijotat avait acquis son maintien en battant à Gaston-Petit une équipe ajaccienne en partie démobilisée (2-1).
    Même si le contexte n'est pas le même, Châteauroux n'est pas marqué au fer rouge par trois cruelles désillusions consécutives dans le sprint final, comme Strasbourg...
    Sous la coupe de Jean-Pierre Papin, arrivé au relais de Bijotat durant la trêve hivernale, la "Berri" est une équipe à vocation offensive : avec 48 buts inscrits - dont 23 grâce aux duettistes Titi Buengo et Kévin Constant -, elle émarge au cinquième rang du classement des meilleures attaques. En outre, elle reste sur deux jolis cartons en son antre : Le Havre (3-1) et Arles (3-0) ont été passés à la moulinette.
    Dernier entraîneur à avoir connu le succès à Strasbourg - la montée en 2007 -, Papin assurait à l'époque être « né sous une bonne étoile. » Même si celle-ci a pâli lors de son passage à Lens, « JPP » n'en reste pas moins un gagneur capable de galvaniser ses troupes. Sur un match, sa "gnac" peut s'avérer salutaire.
    POURQUOI ILS PEUVENT CRAQUER. - Pire défense de Ligue 2 - 53 buts encaissés -, Châteauroux reste sur une défaite contrariante à Ajaccio (1-0), synonyme de maintien pour les Corses. Dans l'affaire, « JPP » a aussi perdu l'une de ses deux gâchettes offensives, Kévin Constant écopant d'un avertissement qui le privera du baisser de rideau. Les défenseurs Lamine Koné et Romain Brégerie seront aussi suspendus vendredi soir.
    Globalement, la jeunesse de l'effectif et le manque d'expérience font craindre le pire aux fidèles de Gaston-Petit - 5 000 spectateurs de moyenne, le double attendu vendredi -, eux qui ont assisté cette saison à quelques volées de bois vert.
    Clermont (1-3), Tours (0-3) et Dijon (1-3) s'en sont ainsi donné à coeur joie, contribuant à faire de Châteauroux la plus mauvaise équipe à domicile, avec seulement vingt points engrangés, contre trente-quatre pour le Racing à la Meinau.

    L'En Avant prêt à bondir


    GUINGAMP (19e, 40 pts, différence de buts -6)
    L'ENJEU. - Comme Châteauroux, l'En Avant doit impérativement gagner contre Ajaccio pour s'en sortir. Sauf que le club du président Le Graët est dépendant des autres résultats : soit Vannes perd à Metz, soit Vannes prend au moins un point à Saint-Symphorien et le match Châteauroux-Racing se termine sur un score de parité.
    LES RAISONS D'Y CROIRE. - Contrairement aux apparences, Guingamp est quasiment dans la situation la plus confortable du quatuor. Non seulement les Costarmoricains évolueront à Roudourou, mais en plus ils sont les seuls à être opposés à une formation qui n'a plus rien à gagner ni à perdre.
    Si une victoire contre les Corses n'est pas un élément suffisant pour se maintenir, les autres conditions à réunir ne sont pas utopiques. La solidarité bretonne sera ainsi mise à mal, puisque tout Guingamp compte sur une défaite de Vannes à Metz...
    POURQUOI ILS PEUVENT CRAQUER. - La moue sur les visages guingampais, dans les couloirs de Roudourou, l'autre mardi après la victoire contre le Racing (2-0), soulignait le désoeuvrement ambiant. Tous les autres résultats de la soirée étaient néfastes au plan de sauvetage, et l'En Avant restait dans une position de relégable en puissance.
    Cette impression s'est confirmée vendredi à Clermont, où les hommes de Victor Zvunka ont cette fois mordu la poussière, après avoir pourtant ouvert le score (3-1). En outre, le défenseur Bakary Koné et le récupérateur François Bellugou ont vu rouge et manqueront le dernier combat.

    Les Vannetais
    s'y voyaient déjà


    VANNES (16e, 43 pts, différence de buts -10)
    L'ENJEU. - Sur la pelouse de Metz, le Vannes OC devra au moins aller chercher un point pour s'en sortir, en raison d'une différence de buts très défavorable par rapport aux autres. Dans le cas contraire, il faudra s'en remettre à un sort incertain : Guingamp ne devra pas battre Ajaccio.
    LES RAISONS D'Y CROIRE. - Les hommes de Stéphane Le Mignan ont su accélérer la cadence ces dernières semaines. Ils ont pris dix points sur les douze derniers mis en jeu, avant la dernière journée. Le réveil de Ghislain Gimbert, qui a retrouvé le chemin des filets après une longue période de disette, apporte aussi une touche d'espoir. L'idée de retrouver le National, division dont ils s'étaient extirpés voilà deux saisons, peut enfin susciter un sursaut d'orgueil et permettre de soulever une montagne.
    POURQUOI ILS PEUVENT CRAQUER. - Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu'à vendredi dernier. A la Rabine, contre Laval, Vannes a inexplicablement trébuché. Sammaritano avait pourtant rapidement ouvert le score, mais les Bretons ont flanché en vingt minutes, montre en main (2-3).
    Alors que le maintien ne semblait être plus qu'une formalité, l'horizon s'est grandement assombri. Voilà donc les Bretons contraints d'aller "gratter" au moins un point à Saint-Symphorien, alors que les Messins jetteront toutes leurs forces dans la bataille pour ravir à Arles la dernière clé qui ouvre les portes de la Ligue 1. Vannes a-t-il la carrure pour venir jouer les rabat-joie ?

    DNA
  • Vendredi 14, chapitre final


    Le public de la Meinau avait réclamé à son équipe de se mettre à l'abri avant le dernier déplacement à Châteauroux. C'est raté. Le spectre d'une première relégation historique n'a pas été écarté.
    Après une journée et demie de repos, les Strasbourgeois reprennent l'entraînement ce matin. À l'horizon, leur duel au couteau à Châteauroux vendredi (20 h 30) lors de la 38 e et dernière journée de Ligue 2.

    Jean-Claude Plessis a assisté hier soir à la remise des Trophées UNFP à Paris. Si un Oscar du club le plus tourmenté de la saison avait été décerné, le 6 e président du Racing depuis le 5 juin 2009 l'aurait assurément reçu, au nom des dirigeants successifs qui ont conduit le club bas-rhinois au bord de l'abîme.

    Dans cinq jours, ce vendredi 14 mai, le RCS jouera pour ne pas tomber en National, deux ans après avoir chuté en Ligue 2 et moins d'une année après avoir échoué lors de la dernière journée pour la remontée en L 1 (défaite 2-1 à Montpellier le 29 mai 2009). Un immense gâchis qui, quoi qu'il arrive, aura des répercussions. Une 3 e saison en Ligue 2 contraindra les nouveaux propriétaires — qui ont annoncé leur intention de rester quel que soit le verdict — à une réduction sensible de la voilure. Et que dire d'une relégation en National qui provoquerait un séisme à tous les échelons du club et particulièrement dans le secteur administratif ? Les salariés ne sont pas dupes. « En cas de relégation en National, personne ne peut se sentir à l'abri », disait l'un d'eux voici quelques jours.

    En cette semaine capitale qui, pour les joueurs, s'ouvrira ce matin par la reprise de l'entraînement, l'union sacrée devrait être décrétée. En attendant le verdict du terrain, les décisions, sportives, financières et administratives, sont remises à plus tard. L'avenir de Pascal Janin, sous contrat jusqu'en 2011 et que son nouveau président avait confirmé quelque temps après son arrivée (« L'Alsace » du 3 avril), s'écrit plus que jamais en pointillés.

    Janin, fusible idéal

    L'entraîneur moustachu fait figure de fusible idéal. Il ne le sait que trop bien, lui qui a déjà miraculeusement échappé au limogeage cet hiver à plusieurs reprises, alors que son départ était officialisé presque tous les jours et son remplacement par Jean-Pierre Papin, pratiquement acté. Un Papin que Janin retrouvera dans le camp d'en face ce vendredi au stade Gaston-Petit, par un de ces clins d'oeil du destin qui dépassent l'entendement humain. « Je vous assure que le sujet n'a jamais été évoqué », dément Plessis. « Nous n'en avons jamais parlé. Ce n'est pas le moment. »

    Évidemment pas avant un dernier match vital. De retour ce midi en Alsace, le président réfléchit à l'organisation d'un déplacement en bus pour le personnel vendredi dans l'Indre, histoire de montrer une unité qu'on sait ne pas exister entre toutes les composantes du club. Il se dit prêt à faire un geste envers les supporters pour les aider à financer leur voyage. « Ce déplacement à Châteauroux se présente comme un remake de la saison passée et ça ne me plaît pas du tout », râle le « prési ». « Mais j'y crois quand même. Il faut s'accrocher. L'histoire ne peut pas se renouveler. »

    Elle ne se renouvellera de toute façon pas, l'enjeu n'étant pas le même. Entre la perspective de retrouver l'élite et celle de descendre pour la première fois au 3 e échelon national en 77 ans de professionnalisme, il y a plus qu'une nuance. « Dans le vestiaire, tout le monde en est conscient », témoigne le défenseur Arnaud Maire. « Ce qui nous arrive, nous ne le devons qu'à nous-mêmes. Lorsque tu n'es pas capable de battre tes concurrents directs (Istres, Bastia et Guingamp), tu te mets forcément en danger. Pareil quand tu ne gagnes pas un match à l'extérieur. À Châteauroux, nous savons que ce sera un combat et nous avons envie de le livrer avec nos armes du moment. Nous savons aussi la responsabilité qui est la nôtre : il y a tout un club à faire vivre. » À faire survivre, plutôt, en ce vendredi 14 qui n'est pas sans rappeler une grande saga du film d'épouvante et qui risque de plonger le Racing dans les griffes d'une longue nuit.

    Stéphane Godin


    L'appel aux guerriers

    Jean-Claude Plessis n'en démord pas : les joueurs ont désormais l'avenir de tout un club entre leurs pieds. Et il en appelle une nouvelle fois à leur sens des responsabilités. « Je sais que certains n'ont pas toujours été sérieux cette saison et que ça ne se serait sans doute pas passé comme ça si j'étais arrivé plus tôt. Pendant des semaines, il a manqué un patron au club. Mais aujourd'hui, j'ai besoin que les gars aillent au combat, que tous se comportent comme Arnaud Maire et Milovan Sikimic, qui sont irréprochables dans leur attitude. Si quelques-uns ne se sentent pas suffisamment concernés, c'est aux anciens de l'équipe de mettre de l'ordre dans la maison. »

    Gargorov prêt à dépanner. Blessé à la cuisse droite contre Metz le 5 avril, le Bulgare Emil Gargorov devrait retoucher le ballon en ce début de semaine. Le petit meneur de jeu est évidemment à court physiquement, mais se dit disposé à rendre service si Pascal Janin fait appel à lui à Châteauroux. « Je sais que je suis juste et que je ne pourrai pas tenir plus de 20 à 25 minutes, mais si je peux aider, je suis prêt à le faire. »

    Châteauroux : des absences à foison. Si le RCS déplore la blessure de plusieurs pièces maîtresses (Nicolas Fauvergue, Stéphane Pichot, Albert Baning et Yassine Bezzaz surtout), la Berrichonne de Châteauroux doit faire face à une cascade d'absences. Son fer de lance et 2 e buteur Kévin Constant (10 buts, 8 passes décisives) est suspendu pour une accumulation de cartons jaunes, tout comme les défenseurs Lamine Koné et Romain Brégerie. L'ancien gardien du Racing Vincent Fernandez, blessé au tendon d'Achille depuis près de trois mois, les milieux Romain Grange (4 buts, 5 passes), qui n'a plus joué depuis la trêve hivernale pour une rupture des ligaments croisés, et Ahmed Kashi (cuisse) sont forfait. Depuis son arrivée, Jean-Pierre Papin a aussi écarté du groupe Nasser Ouadah, Sofyane Cherfa, Marc Giraudon et Steven Monrose.

    La Berri au vert mercredi. Comme avant la réception du Havre et de l'AC Arles-Avignon (victoires 3-1 et 3-0, 35 e et 36 e journées), JPP et ses hommes partiront au vert dès mercredi soir à Valençay, célèbre pour son château, à 40 km au nord de Châteauroux. L'ex-coach du RCS, homme de la remontée en 2006-2007, a déjà fait savoir à la presse locale qu'il ne s'exprimerait pas en dehors du point presse de veille de match jeudi

    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    Les Castelroussins Vincent Fernandez (tendon d'Achille), Romain Grange (ligaments croisés) et Ahmed Kashi (cuisse) sont forfaits pour le match face au Racing.
    Source: L'Alsace
  • Si on ajoute à ça la suspension de Constant et quelques autres absences, Chateauroux n'est pas non plus épargné par les blessures. Si on arrive à les faire douter en ne prenant pas de buts dans les 50 premières minutes, il y aura de sacrées occasions de prendre le large en contre.
  • Disposons nous de joueurs ayant les capacités de distiller des ballons potables à nos attaquants, pour ce faire?
  • Surtout qu'OTHON est éteint en ce moment.
  • On a déjà une gâchette de plus à notre actif et même si elle n'a jamais été prolifique sous le maillot strabourgeois, le lutin bulgare peut s'avérer être décisif pour son dernier match. Par contre, l'absence de Baning elle est vraiment préjudiciable tant il était au four et au moulin ces derniers temps sur le terrain contrairement à la pathétique danseuse brésilienne.
    Il faut absolument trouver une solution à la récupération sinon on risque de prendre l'eau putain. Dopons Rodrigo !
  • On a le retour de Bah et je souhaite vraiment que Janin remette Lacour en milieu de terrain,depuis qu il est arrière droit il se fait ridiculiser.
  • Pour une fois d'accord avec Gabede sur le fait que Lacour serait plus utile au milieu... Et si Rodrigo allait à droite ? Ca pourrait pas être pire...
  • Le match sera retransmis en direct sur Ligue 2 Multicanaux et dans le multiplex de Ma Chaîne Sport.

    Source.
  • Comment gagner sans être capable de marquer

    Vous avez 4 jours, 90 minutes plus les arrêts de jeu.
  • Gagner sur tapis vert. :o)

    (Plessis est bien placé à la ligue, on fait falsifier une ou deux licences et le tour est joué. :D )
  • Citation:
    Le match du siècle ! C'est surement comme cela qu'on peut qualifier le match de vendredi à Châteauroux. Il faut que nous soyons nombreux sur place pour soutenir le Racing. Plus que jamais. Aussi, le Kop Ciel et Blanc offre le déplacement à 50 supporters strasbourgeois.


    Plus d'infos sur Cieletblanc.com ;)
  • guigues a écrit, le 2010-05-10 11:41:06 :
    Comment gagner sans être capable de marquer

    Vous avez 4 jours, 90 minutes plus les arrêts de jeu.


    arf... Je propose une piste qui pourrait marcher dans le contexte de ce match même si elle est très très moche : On travaille les plongeons suivis de simulations scandaleuses en décortiquant le jeu d'acteur de maitre Christiano Ronaldo. Comme Stras n'a pas eu un seul petit péno cette année et qui tout les grand argentiers du foot préfèreraient voir Stras et son stade encore dans le coup ces prochaines années, ça peut passer.
  • Strasbourg a eu deux pénaltys cette saison : Rodrigo et De Carvalho... :-w
  • Trois avec celui de Fauvergue contre Biesheim. Tous ratés.
  • Ce message est une brève publiée par deadwing.
    Le KCB offre le déplacement face à Chateauroux à 50 personnes (membres du KCB prioritaire).
    Source: KCB
  • Très bonne initiative! A souligner une honte que le club ne fasse aucun effort!!
  • On le sait quand s'il reste de la place aux non-membres ?
  • niko67 a écrit, le 2010-05-10 12:44:06 :
    Très bonne initiative! A souligner une honte que le club ne fasse aucun effort!!


    C'est le club qui l'offre au KCB, pas le KCB avec ses fonds propres ...
  • redaction a écrit, le 2010-05-10 12:42:47 :
    Ce message est une brève publiée par deadwing.
    Le KCB offre le déplacement face à Chateauroux à 50 personnes (membres du KCB prioritaire).
    Source: KCB

    Je ne suis pas inscrit sur le forum du KCB.
    Un membre du KCB peut-il me réserver 4 places ? Merci beaucoup d'avance.
  • racing67400 a écrit, le 2010-05-10 12:48:26 :
    On le sait quand s'il reste de la place aux non-membres ?


    Demain à midi, c'est inscrit dans l'article. ;)
  • racing67400 a écrit, le 2010-05-10 12:48:26 :
    On le sait quand s'il reste de la place aux non-membres ?



    Membres du Kop Ciel et Blanc

    Les membres du Kop Ciel et Blanc sont prioritaires pour ce déplacement. Ils peuvent s'inscrire jusqu'à demain midi.

    Non membres du Kop Ciel et Blanc

    Les non membres du Kop Ciel et Blanc peuvent d'ores et déjà s'inscrire. Ils seront placés sur liste d'attente et le décompte des places restantes sera effectué demain à midi. Les premiers inscrits seront les premiers servis.
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