[Coupe de France 2010-2011] Reipertswiller - RCS | Avant-match
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rcs67200mediasoc a écrit, le 2010-10-19 21:50:24 : On sera juste à côté du village de Philippe Richert. Peut-être que Jafar et Chacky Kientz seront là O:)
m'étonnerait que le richert les aime :)) -
:-B -
Le bon, la brute et le truand...
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Bon, je pense qu'on va pouvoir refaire tourner l'équipe pour que les cadres se reposent. Comme ça ils seront plus performant au prochain match O:) :
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Se reposer de quoi ?
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2e traquenard en coupe de France
! vivement 
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Mathlouthi, Pichot et Outrebon forfait à Reipertswiller.
Ali Mathlouthi, sorti à la mi-temps avant-hier après s'être de nouveau ressenti de son ischiojambier gauche douloureux, Stéphane Pichot, forfait face à Alfortville pour une lésion au même muscle, et Julien Outrebon, victime durant le match d'une petite entorse à sa cheville droite déjà récemment blessée, observeront un repos de quelques jours et ne joueront pas samedi en Coupe de France à Reipertswiller. En revanche, Tristan Mbongo, absent depuis trois semaines pour une déchirure à l'ischio droit, et Farez Brahmia, opéré du genou à l'intersaison et qui n'a plus joué depuis la fin de saison passée, devraient être présents au stade de la Forêt.
L'Alsace -
Je pense qu'on sera tous d'accord sur le fait que Brahmia doit recommencer doucement donc sur le banc O:)
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Ce message est une brève publiée par katzo68.
Ali-Azouz Mathlouthi, Stéphane Pichot (ischiojambiers) et Julien Outrebon (entorse à la cheville), sont forfaits pour la rencontre face à Reipertswiller.
Source: L'Alsace -
rcs67200 a écrit, le 2010-10-19 23:44:28 : mediasoc a écrit, le 2010-10-19 21:50:24 : On sera juste à côté du village de Philippe Richert. Peut-être que Jafar et Chacky Kientz seront là O:)
m'étonnerait que le richert les aime :))
Puisqu'on parle de lui, c'est effectivement un supporter de Reip, au moins pour la photo.
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Tout jeune élu conseil général dans le canton de la Petite-Pierre en 1982. Depuis, ce genre de photos on doit les trouver par paquets de 12.
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cohade1 a écrit, le 2010-10-25 08:26:29 : Je pense qu'on sera tous d'accord sur le fait que Brahmia doit recommencer doucement donc sur le banc O:)
Tout à fait d'accord avec toi, une bonne demie-heure serait déjà bien, ne surtout pas prendre trop de risque, on tient à lui, il faut qu'il reprenne en douceur, mais j'ai hâte de retrouver sa hargne sur les terrains
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Muhr est sorti de terre
Depuis à peine deux saisons, Arnaud Muhr, 26 ans, est devenu le gardien de but titulaire de l'US Reipertswiller. Et il est impatient d'affronter le RC Strasbourg.
Longtemps, on a cru que le géant de Reipertswiller était promis à une carrière de réserviste. Doublure de Stéphane Fischbach, puis de Gilles Meyer, l'homme discret qu'est toujours Arnaud Muhr n'avait jamais craqué jusqu'au 15 décembre 2007.
Ce jour-là, il y avait eu ce Reipertswiller - Créteil au 8e tour de la Coupe de France, et une promesse, celle « d'entrer sur la pelouse » pour une éventuelle séance de tirs au but.
« Au tour précédent, Gilles Meyer était blessé. Je l'avais remplacé et nous nous étions qualifiés de cette manière à Obermodern. J'avais stoppé deux tirs et un autre avait filé au-dessus de ma cage. »
Il avait laissé filer des larmes de détresse face à Créteil
Donc, ce fameux jour, l'improbable s'était produit. Longtemps menés au score, les "Forestiers" avaient égalisé grâce à un coup de tête rageur de Singer. La prolongation n'avait rien donné.
Dans les dernières minutes de la partie, Arnaud Muhr était parti s'échauffer, parti se familiariser avec ce ballon qu'il rêvait de détourner lors de la séance de tirs au but. Mais, quand Michel Seiler avait appelé Gilles Meyer pour le remplacer, ce dernier, pas au fait de la promesse donnée à sa doublure, avait refusé de céder sa place.
Là, le géant avait craqué. A l'entrée des vestiaires, il avait laissé filer des larmes de détresse et, quand Mickaël Wahl avait raté sa tentative, il s'était réfugié sous la douche, pour ne plus être seul à pleurer.
« Sur le coup, j'étais très déçu. Gilles Meyer était venu s'excuser auprès de moi. Aujourd'hui, je n'en veux à personne. Il ne faut pas réécrire le passé », dit tranquillement Arnaud Muhr, du haut de ses 198 centimètres.
Les jours ont passé, la cicatrice s'est effacée avec le temps. Et puis, le gamin de Woerth, qui avait commencé le football dans son village avant de faire ses classes à Goersdorf et Preuschdorf, sait par où il est passé.
« A 16 ans, j'étais surclassé et je jouais avec la réserve d'Hégeney en Promotion de la Pyramide B. On formait une bonne bande de copains. »
Il partira ensuite à Froeschwiller, en D3 départementale, où il connaîtra deux montées et... Albert Stoeckel, l'entraîneur des gardiens de but du FR Haguenau. « Il entraînait Christophe, mon cousin, et il m'a proposé de le rejoindre. J'ai beaucoup appris. »
Et puis, ce sera Reipertswiller, sa forêt, son stade et... son président. « Eric Riffel nous donne tout. Nous sommes sa passion », sourit Arnaud Muhr.
Il sera longtemps dans l'ombre (quatre saisons), sans que cela le gêne - « Je n'aime pas m'exposer, me mettre en avant » -, mais saura profiter des conseils de Philippe Rosenfelder, le coach de l'équipe réserve.
Arrivera l'été 2009 et l'assurance de devenir numéro un sur le papier. « Avec Eric Becker comme entraîneur, on s'éclate. Quand il a un truc à te dire, pour te féliciter ou pour te réprimander, il te le dit en face. » Et Arnaud Muhr ne décevra pas, tout en soufflant avoir connu des « hauts et des bas » en toute humilité.
« C'est comme si mon jour était enfin venu »
La semaine passée, quand il a appris que le Racing rendrait visite à son club, il s'est peut-être permis un saut de cabri, juste comme ça. « J'étais heureux. C'est comme si mon jour était enfin venu. Jouer contre le Racing, c'est toujours le rêve de tout footballeur amateur alsacien. »
Samedi, il promet que ses mains ne trembleront pas. « On va tenter de venger Ohlungen. » Un détail, si Arnaud Muhr aime autant pétrir les ballons, c'est que sa deuxième passion, qui l'oblige à se lever tous les matins à 2 h, est tout aussi manuelle. « Je suis boulanger. J'aime faire de bons pains et de bons croissants pour les clients », dit cet employé-modèle.
D'ailleurs, la boulangerie Éliane, située à Bouxwiller, devrait avoir encore un peu plus de succès cette semaine. On y achète tout ce qu'on cherche dans une boulangerie et même... « les billets du match face au Racing ».
DNA -
Des infos billetterie ? Vaut mieux réserver ou non ?
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Mickaël Wahl : « Pas encore un dinosaure »
Après avoir fait du parquet, reconstruit un dressing et multiplié les travaux chez ses proches, le troisième jour, Mickaël Wahl (US Reipertswiller) s'accorda un peu de repos. Mais ne négligea pas de remplir son carnet de bord.
« Je me suis fait chambrer ! Les coéquipiers m'ont dit qu'on allait connaître toute ma semaine, mais ça ne me dérange pas. Je n'ai honte de rien, c'est ma vie, il faut me prendre comme je suis. Ma mère m'a appelé aussi, pour me dire qu'elle était fière de moi, et Léo Singer aussi. Je suis vraiment touché. Des gens m'envoient des messages pour me parler de l'amoureux de ma fille, Oui-Oui.
C'est vraiment sympa de faire ça, car je renoue aussi le contact avec d'anciens amis que je n'ai pas revus depuis longtemps. Ils m'appellent pour avoir des places. C'est un peu fou, parce qu'on a déjà vendu plus de 600 billets, et moi-même j'en ai pris une vingtaine.
Le club vit de la Coupe de France et de ses recettes, il ne faut pas se le cacher. Aujourd'hui, je me suis un peu calmé, je n'ai pas vadrouillé à droite, à gauche. J'ai un second entretien vendredi, à Marckolsheim, ça me rassure un peu, parce que j'étais vraiment mal ces derniers temps. J'ai été élevé avec une mentalité de travailleur, donc rester sans rien faire, j'en ai parfois presque honte.
Hier soir, à l'entraînement, on n'a jamais été aussi nombreux. J'ai mis les protège-tibias, et fait attention de ne pas me blesser. Je n'ai jamais vu tous les joueurs aussi concentrés. Tout le monde se demande qui sera dans le groupe du côté du Racing.
Marco Rosenfelder ne jouera pas puisqu'il est suspendu. Le plus dur sera pour notre coach Eric, qui devra faire ses choix.
Aujourd'hui, je me suis souvenu aussi que Jacky Canosi, l'adjoint de Laurent Fournier, était mon entraîneur lorsque j'ai joué le quart de finale de Gambardella. Chacun fait son chemin...
Jouer contre le Racing me fait quand même remonter beaucoup de souvenirs, je me remémore mon parcours. Au fur et à mesure, la pression monte quand même. Il ne faut pas que je me rate, mais honnêtement, on y croit. Il faudra tenir et jouer les contres à fond.
J'espère prendre place au milieu, avec le petit jeune, Sofiane Tergou, avec qui je prends vraiment du plaisir à jouer. Il me rappelle l'époque où je jouais avec Joël Heit, c'était alors moi le petit jeune. Je ne suis pas encore un vieux dinosaure, mais j'ai pris de l'expérience. A partir de vendredi, je me mets à l'eau, et je mange des fruits. »
DNA -
Ce message est une brève publiée par katzo68.
Tristan M'Bongo (ischiojambier droit) est incertain pour le match à Reipertswiller.
Source: L'Alsace -
Traquenard sylvestre
Direction les Vosges du Nord ce week-end pour se frotter à l'US Reipertswiller. Un adversaire plus coriace qu'on pourrait le croire.
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20 Minutes -
mediasoc a écrit, le 2010-10-27 12:44:37 : Des infos billetterie ? Vaut mieux réserver ou non ?
J'ai été guidé vers l'entreprise du président Riffel, apparemment pas de souci pour des billets sur place. -
Toujours pas de groupe?
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Balade forestière
Après avoir éliminé avec quelques difficultés l'AS Ohlungen au tour précédent, le Racing se rend cette fois dans les Vosges du Nord s'attaquer à l'un des bastions du football régional, l'US Reipertswiller.
L'US Reipertswiller et la Coupe de France, c'est une vieille histoire, une histoire d'amour depuis plus de 20 ans. Et dès qu'un club professionnel met un pied sur ce morceau de terre très alsacienne, il est du genre tremblotant. Le cadre est bucolique, la sono à l'avenant, les saucisses merveilleuses, la tribune pimpante, les joueurs piquants.
« Respectons-les avant et après. Pendant, je ne jure de rien »
En 1989, Créteil (L 2) avait vacillé, passant aux tirs au but (0-0, 3-5), alors que Beauvais (L 2), longtemps mené au score, n'avait marqué le but de son succès que dans le temps additionnel en 1998 (1-2). En 2007, Créteil, descendu en National, était revenu faire un tour au stade de la Forêt. La promenade s'était éternisée - on se perd vite en forêt - et les joueurs de Thierry Goudet avaient fait un détour par les tirs au but (1-1, 2-4) pour passer. A chaque fois, l'USR de l'éternel président Riffel avait échoué aux portes d'un 32e de finale historique.
Et puis, on ne va pas oublier que le Nancy (L 2) de l'irascible Laszlo Bolöni avait failli, lui aussi, se faire éjecter de la compétition par les joyeux "Forestiers" fin 2001 dès le 7e tour (0-1). Dans le temps additionnel, Steve Schroeter avait failli égaliser sur un magistral coup de tête, mais le ballon avait été repoussé sur la ligne de but par un défenseur lorrain (Cédric Lecluse).
D'ailleurs, le "forestier", 37 ans d'âge dont pas mal de maison rouge (13), qui était des campagnes de 1998, de 2007 et de 2001 donc, sera encore là. « Et oui !, soupire d'aise le bonhomme. Je tiens encore sur mes jambes. C'est une fierté d'affronter le Racing en match officiel. Il reste le club de tous les Alsaciens, son porte-drapeau. »
Du haut de son expérience, il dit qu'il va parler (avec Serge Zwiebel et Mickaël Wahl) à ses jeunes coéquipiers. « C'est une fête pour le club, mais, pour nous, ce match doit ressembler à n'importe quelle autre rencontre. On a un petit coup à jouer, alors jouons-le à fond, sans pression. Laissons le Racing dans sa position de favori. Respectons ses joueurs avant et après le match. Pendant, je ne jure de rien », rigole Steve Schroeter.
On vous l'a dit, "Reip", comme on dit là-bas, fait trembler les pros. Allez demander à Jacky Duguépéroux ce qu'il en pense. Lui n'a pas perdu de match là-bas, mais il y était en stage avec ses joueurs quand il avait été "remercié" de son poste d'entraîneur du Racing en janvier 1998 par Patrick Proisy et ses potes américains. C'était seulement quelques mois après avoir remporté la Coupe de la Ligue, puis éliminé les Glasgow Rangers et Liverpool avant de faire trembler l'Inter Milan en Coupe d'Europe.
Bien sûr, Laurent Fournier n'a pas à se gâcher l'existence avec ces questions-là, mais le bonhomme est plutôt prudent.
« Je suis content de l'état d'esprit qui règne actuellement, dit l'entraîneur du Racing. Il y a de la concurrence, les mecs sont plus performants. La Coupe permet de travailler dans la continuité. Je m'attends au même genre de match qu'à Ohlungen. Il va falloir être sérieux. Je prépare déjà le match face à Créteil et je ne vais pas à Reipertswiller pour faire tourner. C'est très solide derrière et je ne la prends pas à la légère. »
Il vaut mieux, les balades dans la forêt peuvent parfois se révéler indigestes.
DNA -
Pfff, quand je pense que le racing a peur de reip......le monde tourne vraiment à l'envers
Ok c'est la coupe avec sont lot de surprise, mais faut arrêter.
On est tombé bien bas, très bas, et dire que le racing voulais remonter en L2 ~o)
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