Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Dépôt de bilan ?

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Flux RSS 1208 messages · 114.472 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par dudu

  • Je sais pas ou vous avez pêché qu'un racing en dépot de bilan aurait un " cout moindre ".
    C'est surtout un budget moindre, donc total liquidation de tout le personnel inutile pour un club de CFA. Recruteurs etc.. ne servent à rien à ce niveau là donc bye le centre de formation ( même s'il y en a toujours qui croient qu'un joueur avec un minimum de niveau serait heureux d'aller faire ses premières armes " pro" dans un club amateur de CFA.
    Je sais pas mais moi si on me propose un choix entre Lyon, Sochaux ou Auxerres, je choisis clairement pas le racing.

    Aprés reste la billetterie, le départ vers un stade moins cher, l'entretien des structures d'entrainement ( disproportionnées pour un club de CFA ) etc..

    Donc vous pouvez toujours rêvé d'une descente en gamme, mais là à mon avis c'est la mort totale et définitive du racing.

    Si vous avez un doute.. ou est Mulhouse ?

    On ne se remet pas d'une chute pareille. Aucune chance de recruter des joueurs potables par la suite, déjà en L1 ils avaient du mal alors imaginons en CFA.

    Bon cela dit, en CFA peut être que Belvito serait à son niveau :)) :))
  • Ce message est une brève publiée par strohteam.
    Les commissaires aux comptes du Racing pourraient ouvrir prochainement une procédure d'alerte.
    Source: L'Equipe
  • il-vecchio a écrit, le 2011-04-11 07:06:06 :
    Ah oui? Et qui?

    Réponse mercredi soir dans "Qui veut perdre 20 millions pour commencer?" présentée par Jean-Pierre Faucul.


    Nous le saurons en temps voulu si Hilali n'est pas trop gourmand. :|s
  • Alors que son équipe est plus que jamais en course pour l'accession en Ligue 2, le président Jafar Hilali a une nouvelle fois mis le feu aux poudres hier dans « L'Equipe ». Il se dit prêt à entraîner le club dans sa chute, jusqu'en Division d'Honneur s'il le faut.

    C'est plus fort que lui. Invité par Alain Fontanel — l'adjoint aux finances de la Ville de Strasbourg en charge d'une médiation entre les belligérants — à observer une paix des braves durant les négociations, le président Jafar Hilali a rompu hier la loi du silence que s'imposaient les autres protagonistes du dossier Racing, éminemment sensible sur le plan politique.

    Dans une interview du patron du RCS — comme il se qualifie lui-même — au quotidien sportif « L'Equipe », l'association support, qui gère le centre de formation et à laquelle il réclame 3,188 millions d'euros (1), et la génération 1979 championne de France, qu'il accuse de lui scier la branche, en prennent pour leur grade.

    Alors que depuis trois semaines, Alain Fontanel s'efforce de trouver une sortie honorable à une crise sans précédent, Hilali aurait voulu pourrir l'atmosphère qu'il ne s'y serait pas pris autrement. Ce que le président de l'association, Patrick Spielmann, interloqué, dénonce : « Si on est animé par une envie sincère d'un dénouement heureux, on ne jette pas ainsi de l'huile sur le feu. » Sauf à être au bout du bout financièrement parlant.

    Dans son édition du 18 mars, « L'Alsace » révélait une trésorerie négative de 1,077 million d'euros pour le dernier trimestre de la saison (avril — mai — juin). Un chiffre confirmé ces dernières heures par une source digne de confiance qui établit le manque d'argent frais « entre 1,1 et 1,2 million » d'ici au 30 juin. À peu de chose près donc, le montant disponible sur le compte courant de l'association, qui devra toutefois régler 324 000 euros d'impôts sur la vente des bâtiments du centre de formation à la Ville. « Même le reliquat (Ndlr : les 888 000 euros que réclame Hilali depuis le 11 mars) ne suffirait pas à assurer la trésorerie des pros », met en lumière un administrateur de l'asso. « Une fois de plus, Hilali essaie de tirer la couverture à lui, en se faisant passer pour une victime. C'est raté. Nous avons admis le principe d'assumer les salaires de quatre employés du centre pour 2010-2011 (Ndlr : une charge de 287 000 euros). Mais moins pour aider Hilali que pour protéger les salariés en question. Jean-Marc Kuentz, le directeur, est en fin de contrat. Si nous payons les salaires, nous serons décideurs de son avenir et des autres (2). Je vois mal le centre se passer de quelqu'un d'aussi compétent qui a fait du très bon travail. »
    Hilali exploite la faille

    Pour la SASP (société anonyme sportive professionnelle), l'étau se resserre un peu plus chaque jour. Et la tonitruante sortie médiatique de Jafar Hilali n'incite guère ses interlocuteurs à lui tendre la main. Même Alain Fontanel, pourtant pas le moins diplomate, semblait hier à la fois circonspect et las. « Je n'ai pas de réaction officielle. Simplement qu'il faut tout faire pour éviter la mort du club, mais ne pas faire n'importe quoi. » Les protagonistes alsaciens et lui « passent beaucoup de temps à la recherche de solutions. » Sans être jusqu'ici parvenus à en dégager une qui agrée toutes les parties et qui semble de plus en plus utopique.

    Ardent partisan d'un accord amiable, Patrick Spielmann n'en stigmatise pas moins « les contre-vérités et provocations » du propriétaire londonien. « La moitié de l'effectif pro est issue du centre de formation », rappelle-t-il, « La réaction des salariés du RCS, de son encadrement, de mon environnement aussi me prouve que personne n'est dupe. Je sais bien que les employés souffrent, mais d'un autre côté, la situation est extrêmement compliquée et notre seule préoccupation, c'est la pérennité du club pro et de l'association. »

    Jafar Hilali n'a que trop bien compris que ses interlocuteurs ne lâcheront jamais une corde, sur laquelle il tire frénétiquement. La Ville et son maire Roland Ries, présent dans les vestiaires après la victoire contre Beauvais le 19 mars, le lui ont montré très — trop ? — ostensiblement. Depuis, il exploite la faille à l'extrême. Au point de se permettre d'égratigner ceux qui ont écrit les plus belles pages de l'histoire plus que centenaire du RCS, quand sa présidence en écrit les plus noires.

    (1) Au titre d'une refacturation de salaires d'employés du centre que la section pro a pris en charge de 2004 à 2010.

    (2) Le coach de la réserve François Keller est lui aussi en fin de bail.

    L'Alsace
  • En tant que juriste d'affaires, je peux vous dire qu'une procédure d'alerte lancée par le commissaire au compte n'est pas de bonne augure. Le commissaire aux comptes étant le client de l'entreprise, il n'utilisera la procédure d'alerte que contraint et forcé pour ne pas engager sa propre responsabilité. En général, la situation est critique dans ces cas de figure, mais pas toujours. Bref, c'est tout de même assez inquiétant. #-o
  • lastostub a écrit, le 2011-04-14 11:51:42 :
    Le commissaire aux comptes étant le client de l'entreprise...
    Oh putain! Maintenant je comprends pourquoi le Racing est en faillite. Il est obligé de payer ce client.
  • En tant que juriste d'affaires, que penses-tu du dépôt de bilan de GUEUGNON et de l'application du règlement de la FFF par rapport à cette situation juridique ?
  • triangle a écrit, le 2011-04-14 12:05:04 :
    En tant que juriste d'affaires, que penses-tu du dépôt de bilan de GUEUGNON et de l'application du règlement de la FFF par rapport à cette situation juridique ?


    eh bien le dépôt de bilan, il n'y a rien à en dire malheureusement pour ce club (après je n'ai pas le dossier en main). Quant au règlement de la FFF, il ne me paraît pas équitable, mais si c'est le règlement... je ne suis pas publicistes, je ne sais pas quel est le statut de la FFF et je n'ai pas le temps de me pencher sur la question. Les avocats des clubs floués n'ont qu'à s'en charger s'il y a quelque chose à faire lol

    Oui le commissaire aux comptes est payé par l'entreprise qui l'emploie, et pas au SMIC... Mais il est nécessaire pour que les comptes des entreprises soient un minimum honnêtes
  • il-vecchio a écrit, le 2011-04-14 12:02:30 :
    lastostub a écrit, le 2011-04-14 11:51:42 :
    Le commissaire aux comptes étant le client de l'entreprise...
    Oh putain! Maintenant je comprends pourquoi le Racing est en faillite. Il est obligé de payer ce client.


    oui j'ai fait une petite inversion, comme quoi il est toujours bon de se relire ! :-B
  • procédure d'alerte ? Wos esh dess ????

    Plus sèrieusement, c'est quoi exactement ?
  • Je n'ai pas pour habitude de dévoiler le contenu des MP, mais pour celui-ci je ferai exception, car il s'agit d'un c/c.
    Ayant posé la même question voici ce qui m'a été répondu:


    C'est la première étape vers le tribunal de commerce.

    Lorsque le commissaire aux comptes d'une société anonyme relève, à l'occasion de l'exercice de sa mission, des faits de nature à compromettre la continuité de l'exploitation, il en informe le président du conseil d'administration ou du directoire dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat.
    A défaut de réponse sous quinze jours ou si celle-ci ne permet pas d'être assuré de la continuité de l'exploitation, le commissaire aux comptes invite par écrit le président du conseil d'administration ou le directoire à faire délibérer le conseil d'administration ou le conseil de surveillance sur les faits relevés. Le commissaire aux comptes est convoqué à cette séance. La délibération du conseil d'administration ou du conseil de surveillance est communiquée au comité d'entreprise. Le commissaire aux comptes en informe le président du tribunal de commerce.
    En cas d'inobservation de ces dispositions ou s'il constate qu'en dépit des décisions prises la continuité de l'exploitation demeure compromise, le commissaire aux comptes établit un rapport spécial qui est présenté à la prochaine assemblée générale des actionnaires. Ce rapport est communiqué au comité d'entreprise.
    Si, à l'issue de la réunion de l'assemblée générale, le commissaire aux comptes constate que les décisions prises ne permettent pas d'assurer la continuité de l'exploitation, il informe de ses démarches le président du tribunal de commerce et lui en communique les résultats.



    En clair, 's fangt à z' stenkà!
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    Jafar Hilali et Christophe Cornelie envisageraient de vendre le matériel de la filiale Racing espace verts pour soulager la trésorerie du club.
    Source: L'Alsace
  • Ceci est une brève rêvée par il-vecchio.
    Les UB90 ainsi que les KCB section non-hilalesque envisageraient de vendre Jafar Hilali et Christophe Cornélie afin de soulager l'ambiance parmi les salariés.
    Source: Meteor
  • tu devrais proposer tes services à Hilali ... ou alors à Chilavert :))
  • Mes clients, je les choisis!

    Monsieur, je ne vous salue pas!
  • Je serais quand même cruieux de voir, si dépôt de bilan il y a eu, qui créera un racing club de foot et sera président.
    Cela permettra de savoir quel est l'abruti qui jouait les marionettiste dans l'ombre.
  • C'est à dire ?

    Je rappelle que si on a toujours notre guignol à la tête du club, c'est parce qu'il a refusé de vendre le club quand il le pouvait. Personne ne joue derrière son dos, il est assez abruti pour tout saborder tout seul.
  • Concretement, en cas de dépot de bilan, personne n'est gagnant , nan ? Kafar ne récupère pas ses billes pour autant, oder ???

    En tout cas le coup de vendre les tondeuses, ça pique un peu quand même.

    Après je me souviens qu'il y a quelques saisons sous Ginette, le Racing avait un stand au marché aux puces d'Holtzheim, c'était pas beaucoup plus glorifiant ! b-(
  • hammerfitz a écrit, le 2011-04-15 14:01:09 :
    Je serais quand même cruieux de voir, si dépôt de bilan il y a eu, qui créera un racing club de foot et sera président.
    Cela permettra de savoir quel est l'abruti qui jouait les marionettiste dans l'ombre.

    Tu peux développer ta Derniere phrase ?
  • hammerfitz, tu connais le suédois Personne ? :))
  • « Un risque de disparition »

    L'adjoint au maire, Alain Fontanel, est plongé dans l'inextricable dossier Racing depuis de longs mois. Alors que la section professionnelle, soit la SASP présidée par Jafar Hilali, et l'association en charge de la section amateur et du centre de formation sont en guerre ouverte, l'élu tire la sonnette d'alarme. Selon lui, le scénario catastrophe pour le club plus que centenaire n'est pas à exclure.


    Alors que le Racing est toujours lancé dans l'opération remontée, en dépit du coup d'arrêt subi samedi soir aux dépens de Créteil (1-1) à la Meinau, les coulisses du club strasbourgeois restent extrêmement agitées. Alain Fontanel évoque une situation qui ne cesse de l'inquiéter.

    – Vous avez mené une étude détaillée de la situation actuelle du Racing. Quelles sont vos conclusions ?

    – La réalité est malheureusement aussi paradoxale que simple. Alors que le club est aux portes de la L 2, il risque de disparaître. Il est confronté à deux problèmes. Le premier a trait à la convention qui lie la SASP et l'association. Elle a été dénoncée. L'équipe pro ne sera pas autorisée à jouer la saison prochaine si une nouvelle convention n'est pas signée avant le 1 er mai. Ce type de conflit n'est pas nouveau, il a déjà existé à Strasbourg avec Patrick Proisy et l'omnisport ou, plus récemment, à Nîmes.

    La Meinau fermerait tout simplement ses portes

    Le deuxième problème est d'ordre financier. La SASP est structurellement déficitaire. Alors que ses recettes sont comparables à celles d'un club amateur, ses dépenses sont encore celles d'un club de première moitié de Ligue 2. Il y a un risque réel de dépôt de bilan avant même la fin de saison. Dans ce cas le club serait relégué en CFA2 sous réserve toutefois de trouver un repreneur. Mais qui investirait au 5 e échelon national ?

    Faute de repreneur, le Racing serait déchu de tous ses droits sportifs et pourrait, au mieux, recommencer en DH. Même la marque Racing Club de Strasbourg tomberait dans le domaine public et n'importe qui pourrait s'en emparer.

    Dans les deux cas, le centre de formation disparaîtrait lui aussi. Il ne serait plus agréé par l'État, les collectivités ne pourraient plus le financer.

    Le stade de la Meinau, quant à lui, fermerait tout simplement ses portes. Difficile d'imaginer plus désespérant.

    – Vous brossez un tableau très alarmiste. Avez-vous présenté des solutions aux entités actuellement en conflit ?

    – J'ai consulté tous les acteurs concernés. J'ai parlé à la DNCG (*), à la Ligue d'Alsace, aux anciens présidents du club, à tous les actionnaires, aux dirigeants de l'association et aux représentants de la génération 1979, qui ont fait beaucoup pour le club et continuent de le soutenir avec force. Tous souhaitent éviter l'irréparable et nous demandent d'aider à une solution. Un dépôt de bilan n'en sera jamais une, il peut juste être une conséquence. Il faut tout faire pour l'éviter mais ne pas faire n'importe quoi, il y a des règles à respecter.

    « Chacun doit assumer ses responsabilités, les dirigeants en tout premier »

    Le club ne pourra pas être sauvé à n'importe quel prix. Chacun doit assumer ses responsabilités, les dirigeants en tout premier.

    Celles de la ville sont de tenter de rapprocher les acteurs pour trouver une solution acceptable par tous. En juillet 2010, l'intervention du maire a permis une remontée in extremis du club en National après sa relégation en CFA par la DNCG.

    Le Racing a été le 21 e et dernier club qualifié en National. Sans cette intervention, et bien sûr sans les joueurs et l'entraîneur, nous ne pourrions pas aujourd'hui espérer remonter en L2. Mais de nouveaux dangers sont devant nous et le chemin sera long.

    – Au-delà de tous ces éléments juridiques, comment percevez-vous le comportement des gens aux affaires au Racing?

    – C'est un dossier complexe avec beaucoup de passions. L'instabilité du club est récurrente avec sept présidents pour les seules deux dernières années. Mais ceux qui rêvent de le devenir sont bien plus nombreux encore. Il faut être prudent et modeste face à ce dossier. L'histoire nous y invite.

    L'aventure Mac Cormack a été choisie, elle a mal tourné avec cinq ans de présidence de Patrick Proisy. Nous ne pouvons plus comme par le passé choisir l'actionnaire/président du club.

    « Faire le choix responsable du club, pas celui du président »

    L'actuel président est là et bien là. Il a investi 7M€ dans le Racing dont 2,5M pour éviter la relégation. Il partira quand il décidera de vendre ou en cas de dépôt de bilan, avec toutes ses conséquences. Pour nous, aider le Racing c'est faire le choix responsable du club, pas celui d'un président.

    – Jafar Hilali ne manque pas d'exprimer son hostilité à l'égard des responsables du centre. Quel est votre sentiment à son sujet ?

    – Son mode de gestion laisse plus que circonspect. Il semble préférer les conflits permanents au dialogue constructif. Le message que je lui adresse, c'est : « Halte au feu ! »

    Le club n'est pas loin de la L 2 mais il est aussi au bord du précipice. Il est plus que temps que l'on nous propose un véritable projet sportif dans lequel le centre de formation aura nécessairement une place importante, comme dans tous les grands clubs.

    « Difficile de renoncer à un tel patrimoine »

    Le lien avec les supporters doit aussi être renoué. La seule perspective ne peut pas être de vendre les meilleurs joueurs de la saison pour équilibrer les budgets.

    – Pourquoi vous impliquez-vous tant dans un dossier, qui, dans le fond, concerne une entreprise privée ?

    – Le Racing, c'est des salariés et des familles, des jeunes en formation mais aussi le socle du foot et du sport pro à Strasbourg, comme le rappelle souvent Serge Oehler. Il n'y a pas si longtemps, « l'OM de l'Est » rassemblait 30 000 supporters à la Meinau et apportait de grands joueurs à l'équipe de France. Le club porte le nom de la ville et contribue à son rayonnement.

    Centenaire, il est fortement enraciné dans notre région et son histoire tourmentée. Le club a successivement évolué dans les championnats d'Allemagne et de France, il a même joué une saison à Périgueux après l'évacuation de la ville. Difficile de renoncer à un tel patrimoine.

    DNA
  • Ce message est une brève publiée par paul.
    Dans un mail adressé en réponse à un courrier de l'association support, Jafar Hilali se déclare pour la première fois « prêt au dépôt de bilan ».
    Source: L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par strohteam.
    Alain Fontanel (chargé du dossier RCS à la municipalité) : « Il y a un risque réel de dépôt de bilan avant même la fin de saison. [...] Le club ne pourra pas être sauvé à n'importe quel prix. Chacun doit assumer ses responsabilités. »
    Source: DNA
  • Changement notable d'attitude de la part d'Hilali qui balayait encore il y a quelques semaines l'idée d'un dépôt de bilan.

    Côté Fontanel, on prépare les esprits tout en commençant à ouvrir le parapluie. C'est de bonne guerre.
  • de toute façon, on a la place du con (4ème) et on ne montera pas.. maintenant un dépot de bilan c'est grave... très grave... une partie du patrimoine Alsacien va disparaitre... Merci à Ginette..
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