Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Bundesliga

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Flux RSS 2468 messages · 174.543 lectures · Premier message par marc · Dernier message par bomci

  • Hoffenheim, qui cherche à renforcer son secteur offensif en vue de la saison prochaine, a sondé l'attaquant de Saint-Etienne, Bafé Gomis, mais il s'est heurté au refus de l'international français, selon les informations de L'Equipe. Le club allemand s'intéresse désormais à l'international ivoirien de Lens, Aruna Dindane. Celui-ci pourrait être un recours à Vedad Ibisevic, victime d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou droit et out jusqu'à la fin de la saison.

    lequipe.fr
  • Un petit article très interessant qui fera plaisir à paolo en grand fan des clubs d'ex-RDA qu'il semble être :p

    LA NOUVELLE LOKOMOTIVE DE L'EST
    Toni Turek - vendredi 14 août 2009

    Premier champion d'Allemagne de l'histoire et club légendaire de la RDA, le Lokomotive Leipzig essaie de renaître de ses cendres...

    En 2009, le foot est mal en point en ex-RDA. Seul représentant "ossi" de l'élite, Cottbus a dû mobiliser toute son Energie pour finir in extremis barragiste en 1. Bundesliga (et finalement échouer face à Nuremberg). Unique club de l'Est de 2. BL., le Hansa Rostock a dû attendre la dernière journée pour assurer son maintien direct. En 3. BL., si l'Union Berlin a gagné sa remontée, d'autres clubs historiques de l'Est tels le Dynamo Dresde et le Carl-Zeiss Iéna n'ont pu que se maintenir, comme Erfurt et Aue.

    Leipzig, ville la plus peuplée de Saxe, est encore plus mal lotie: ses clubs principaux, le FC Sachsen et le 1. FC Lokomotive, jouent respectivement aux quatrième et cinquième échelons du foot allemand. Pas brillant, le Sachsen connaît de graves soucis sportifs et financiers. Seule lueur d'espoir à Leipzig: la vaillante Lokomotive qui, depuis 2004, passe différents niveaux pour retrouver le plus haut, qu'elle a connu par le passé.

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    À jamais le premier

    Car il fut un temps où la Lokomotive Leipzig régnait sur l'Allemagne. Créé en mai 1896 sous le nom de VfB Leipzig, le club saxon fait partie des clubs appelés à disputer le championnat d'Allemagne lors de sa création en 1902. Cette saison-là, le VfB domine la ligue locale de Leipzig: il se qualifie ainsi pour le championnat régional (Saxe, Saxe-Anhalt, Thuringe) qu'il remporte aussi. Admis à disputer l'ultime phase, nationale, il gagne ses trois rencontres à élimination directe et conquiert le premier titre de Meister (1). Au début du vingtième siècle, Leipzig est la place forte du foot germanique: de 1903 à 1914, les Bleu et Blanc du VfB se qualifient neuf fois pour la phase nationale, jouent cinq finales et obtiennent trois titres (1903, 1906, 1913) – records de l'époque.
    1914 sonne le glas de cette ère: la guerre décime l'équipe, et le club saxon échoue ensuite à retrouver son lustre d'antan. Seule une Coupe d'Allemagne (1936) vient étoffer le palmarès avant que le club ne soit dissous en 1946 par les Soviétiques, qui régissent alors ce qui deviendra la RDA.


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    victoire en Coupe de RDA 1976

    Une équipe de Coup(e)s

    Refondé peu après par des ex-joueurs du VfB, le club fait au fil des ans l'objet de fusions avec d'autres clubs de Leipzig, et change à ces occasions plusieurs fois de nom; c'est seulement en 1966 que le nom de Lokomotive est pris. Pendant la longue parenthèse est-allemande (1946-1991), Leipzig échoue à gagner le Championnat de RDA mais, dans les années 80, se qualifie régulièrement pour l'UEFA. Surtout, dès 1970, la Lokomotive se révèle être une équipe de coup(e)s. Au niveau national d'abord, où elle arrive à sept reprises en finale de la Coupe de RDA, et l'emporte quatre fois; au niveau international ensuite, où elle est demi-finaliste de la C3 en 1974 – avec un premier succès historique de l'Est sur l'Ouest, représenté alors par le Fortuna Düsseldorf – et finaliste de la C2 en 1987. Parmi ses "victimes" figurent les Girondins de Bordeaux, tombés face aux Est-Allemands en 1983 (en 1/32e de la C3) puis en 1987 (en demi-finale de la C2).

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    La Lokomotive déraille

    La réunification des deux Allemagne se traduit par la fusion de la Bundesliga de l'Ouest avec l'Oberliga de l'Est en 1991. Classé septième à l'Est, la Lokomotive Leipzig rate le bon wagon et doit se satisfaire d'une qualification (après barrages) pour la deuxième division réunifiée. Pour tirer un trait sur le passé – Lokomotive est jugé trop soviétisant – et aussi faire référence à la gloire de ses débuts, le club reprend alors son nom originel de VfB Leipzig: un nouveau départ, qui est suivi d'une remontée dans l'élite dès 1993.
    Hélas, avec seulement trois victoires en 34 matches, l'ex-Lokomotive finit lanterne rouge et descend en 1994. Les saisons suivantes, les multiples changements dans l'effectif n'apportent rien, la remontée reste inaccessible et la situation financière du VfB va de mal en pis. Nouvelle relégation en 1998, puis en 2000, et c'est terminus en 2004: le club, asphyxié par les dettes et perdu en quatrième division, s'arrête.

    Le TGV de l'accession

    Comme en 1946, la Lokomotive est vite remise sur les rails. Mais cette nouvelle version jaune et bleue doit repartir en onzième division. Constituée désormais de joueurs de clubs voisins qui sont fans de l'ex-VfB et motivés pour lui offrir une troisième jeunesse, l'équipe se résout à évoluer à l'échelon le plus bas du foot allemand et prend son départ à l'été 2004, sous la houlette de Rainer Lisiewicz - ex-joueur du Lok dans les années 70.
    Pour sa nouvelle première saison, la Lokomotive lancée à toute vitesse renverse tout sur son passage. Les scores à deux chiffres pleuvent (jusqu'à 20-0); le numéro 10 René Heusel inscrit 81 buts, et en devient l'une des "vedettes". Avec vingt-six victoires en autant de matches et un goal-average stratosphérique de +303, le ticket pour la dixième division est vite validé. Plus important, les fans répondent présent: le Bruno-Plache Stadion, enceinte historique du club, voit venir plus de 1.500 fans par rencontre, et un match de championnat organisé spécialement au Zentralstadion attire 12.000 spectateurs – du jamais vu en onzième division!


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    Rainer Lisiewicz et René Heusel

    Trois divisions d'un coup

    En 2005, pour accélérer la remontée, le président Steffen Kubald cherche un club intéressé par une fusion. Des pourparlers ont lieu avec diverses formations du coin - sans résultat jusqu'à ce que l'un d'entre eux se "sacrifie". Le SSV 52 Torgau y gagne une sécurité financière, mais c'est bien la Lokomotive qui réalise la meilleure affaire, en conservant son stade et son nom, et en sautant trois divisions d'un coup.
    Les saisons suivantes sont plus disputées, mais avec Lisiewicz en chef de train, l'équipe parvient toujours à obtenir sa place pour monter: leader en D7 en 2006, puis premier en D6 en 2007 et barragiste chanceux de D5 en 2008 (2). Avec la saison 2008/09, la Lokomotive Leipzig découvre l'Oberliga (3); elle y est troisième et meilleure promue alors que l'objectif initial était le maintien. Avec les déboires que connaît le FC Sachsen Leipzig, la reconquête de la suprématie locale par le club semble en bonne voie, et l'accès à la Regionalliga visé pour l'an prochain le rendrait plus visible grâce à l'exposition médiatique plus forte que celle des divisions amateurs. Une vie en rose pour les Jaune et Bleu.

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    Y a-t-il un pilote dans la Lokomotive?

    Mais ce futur idéal est devenu conditionnel - la faute à la crise. Les points de vue de Kubald et Lisiewicz sur le futur du club ne concordent plus, le pacte de confiance qui unit les deux hommes à l'origine de son redressement est rompu. Le point critique est atteint quand la direction informe les médias que le contrat de Lisiewicz n'est pas renouvelé, mais oublie de notifier le fait au principal intéressé par écrit avant le 1er mai, comme cela doit être le cas. Faute de quoi, le contrat est renouvelé pour un an par tacite reconduction. Après un revers 0-4 face au leader – ce qui sonne le glas des espoirs de montée – l'histoire est rendue publique, comme la plainte déposée par l'avocat de Lisiewicz contre le club. Sanction immédiate: Lisiewicz est débarqué, alors qu'il reste encore quatre journées. Choqués par ce départ brutal de leur coach charismatique, les joueurs, dont bon nombre sont en fin de contrat, ont menacé de quitter eux aussi l'équipe cet été.


    En 2008, le président Kubald avait donné deux ans pour obtenir le ticket vers la Regionalliga, histoire de ne pas brusquer les choses et d'éviter de renouveler les erreurs du passé. Ensuite, au vu des résultats, il a réévalué les objectifs: une place dans les dix premiers, puis la montée. C'est raté: trop impatient, il a confondu vitesse et précipitation. Pour les Jaune et Bleu, la nouvelle saison qui vient de commencer sera celle des derbies contre le rival local du FC Sachsen. La Regionalliga n'est pas pour demain – les retrouvailles avec Bordeaux non plus.


    Citation:
    (1) Pour l'anecdote, Leipzig a battu en finale un club de Prague.
    (2)
    2005/06 - Bezirksklasse : Leipzig mène la D7 avec 17 points de marge; 100 buts marqués et 24 encaissés en 30 matches (meilleure attaque et meilleure défense). Le buteur local Heusel finit meilleur buteur de la division avec 33 réalisations.
    2006/07 - Bezirksliga : Leipzig finit leader en D6 grâce à ses sept succès sur les sept derniers matches; 90 buts inscrits, 15 concédés (meilleure défense) en 30 matches. Ses 30 buts font de Heusel le deuxième meilleur buteur du groupe de D6.
    2007/08 - Landesliga: en 30 matches de D5, Leipzig inscrit 49 buts et en prend 20 (meilleure défense). Auteur de 8 buts, Heusel n'est plus que le deuxième meilleur buteur... du club.
    (3) Avec sa promotion à l'été 2008, la Lokomotive est passée de la D5 (Landesliga)... à la D5 (Oberliga, ex-D4) - la faute à la création de la nouvelle "3. Bundesliga", qui a décalé tous les niveaux inférieurs d'un rang.


    Source: Les Cahiers du Football
  • Magath allume Podolski

    Felix Magath ne portait déjà pas Lukas Podolski dans son coeur lorsque les deux se cotoyaient au Bayern Munich. Pour faire simple, il était reproché au jeune ex-espoir allemand ne pas assez penser à l'entraînement.

    L'actuel coach de Schalke 04 en a remis une couche vendredi. « Il a découvert les médias, la publicité, l'industrie du foot, et cela lui coûte du temps, cela coûte à son développement de sportif de haut niveau. En football, le talent ne suffit pas. Il ne pense pas assez à s'entraîner. Je ne comprends vraiment pas son attitude au regard de ses envies, de ses objectifs ». Podolski est actuellement en perdition, alors qu'il a pensé bon retourner dans son club formateur de Cologne. Crédité d'1 but en 14 matches de Bundesliga, il est aussi décisif que son coéquipier Fabrice Ehret.

    La légende Podolski semble toucher à sa fin.

    Source:so.foot.fr
  • "Le Football, c'est comme les échecs ... mais sans les dés. Lukas Podolski, 28 Juin 2008"
  • L'affaire Pezzoni

    La fin du mercato allemand a été agitée par le départ précipité du défenseur du 1. FC Cologne Kevin Pezzoni, sous la pression de supporters venus le menacer chez lui...

    Outre-Rhin, la fin du mercato estival a vu les retours de Klasnic et van der Vaart. Mais ce qui a surtout fait la une, c'est "l'affaire Pezzoni". Kevin Pezzoni? Un grand gaillard allemand brun de vingt-trois ans, ancien international Espoir, défenseur au 1.FC Köln avec lequel il a disputé une centaine de matches depuis janvier 2008, malgré une saison 2011/12 ternie par un statut de remplaçant et la relégation du club. Après l'affaire Breno, l'affaire Pezzoni... Encore un remplaçant qui vit mal son statut? Non, les deux cas sont différents: si le jeune Brésilien a craqué à cause de son isolement au Bayern, Pezzoni a été pris en grippe par un groupe de "fans".
    Revenons au 27 août 2012: ce jour-là, Cologne perd 0-2 à Aue. Un match raté de la part des "Boucs" – sans victoire après trois journées – et surtout de Pezzoni, remplacé dès la 34e minute après avoir pris un carton jaune et frôlé le rouge... Triste résultat pour sa première titularisation de la saison.

    Cinq jours pour partir

    Dans la nuit qui suit, une page Facebook est créée, pour "mettre la pression sur Pezzoni". Très vite, elle compte plusieurs centaines de fans, dont certains se lâchent, tel celui qui propose de briser les jambes du joueur (qui avait déjà été agressé en février par un inconnu lors du carnaval de la ville). Ceci donne des idées à un groupe de cinq types qui, le soir d'après, arrivent – masqués – au domicile du joueur pour l'insulter et le menacer de mort. Le 1er septembre, la séparation avec le FC Cologne est rendue publique comme étant issue d'un commun accord. Mais si le contrat entre le joueur et le club est à son terme, "l'affaire Pezzoni", elle, n'en est qu'à ses débuts.

    http://www.cahiersdufootball.net/images-article/images2/2012_09/p...

    Le départ de Pezzoni suscite nombre de réactions de sympathie et de déclarations de soutien envers le joueur. Le sélectionneur national Joachim Löw qualifie ce qu'a vécu Pezzoni d'inacceptable, tandis qu'Oliver Bierhoff traite les agresseurs de Pezzoni de "criminels". Les ex-coéquipiers de Pezzoni à Cologne publient une lettre ouverte à leurs fans, leur demandant de respecter les joueurs. Le syndicat de joueurs VdV annonce craindre des morts. Reinhard Rauball, président de la Ligue allemande de football, affiche quant à lui sa fermeté dans un entretien au magazine Focus le week-end suivant, en invitant les clubs à renforcer leurs personnels de sécurité et en appelant à une tolérance zéro envers les fans violents.
    Mais les agresseurs ne sont pas seuls dans le collimateur. Car il apparaît rapidement que la séparation ne s'est pas passée comme annoncé. Les soupçons de l'entraîneur de Dortmund Jürgen Klopp, qui dit qu'il ne croit pas que Pezzoni ait voulu quitter son club, sont confirmés dès le week-end d'après: dans une interview au Welt am Sonntag, Pezzoni indique n'avoir jamais voulu résilier son contrat avec le FC Cologne, et que c'est le club qui a été à l'origine de la séparation. Pezzoni va plus loin: au lieu de le protéger comme il l'espérait, le FC Cologne aurait en fait saisi cette "occasion" pour se débarrasser de lui.

    Un Bouc émissaire


    Ses déclarations sont corroborées par celles de Holger Stanislawski. L'entraîneur de Cologne avait indiqué début septembre que le club avait cherché la meilleure solution pour Pezzoni, et que celle-ci était la résiliation de son contrat. Ces propos vont à l'encontre du discours officiel du FC Cologne qui, au cours d'une conférence de presse le 4 septembre, démentait tout lien entre les menaces envers Pezzoni et la fin du contrat de celui-ci. Une affirmation rendue d'autant moins crédible que le joueur a quitté la ville dès le 2 septembre, et que le club a versé un dédommagement de 150.000 euros à Pezzoni – chose rare pour une rupture par commun accord. Le président du conseil d'administration Claus Horstmann a indiqué que le club a voulu ainsi donner la chance à Pezzoni de se trouver un club dans un meilleur environnement, et se montrer généreux pour son départ.
    On y croit d'autant moins qu'après les déclarations de Pezzoni rejetant la faute de son départ sur son ex-club, où il ne se sentait ni désiré ni protégé, le FC Cologne a vertement répliqué en insistant sur le fait que Pezzoni était allé voir Stanislawski le 29 août pour indiquer qu'il ne se sentait pas en état de jouer son prochain match. Et de soutenir que si son contrat n'avait pas été résilié, faute de pouvoir être transféré à cause de la clôture du marché des transferts, la seule alternative pour Pezzoni aurait été d'être sorti du groupe pro. D'où le choix de la résiliation – choix que le club dit déplorer, puisqu'il appauvrit l'effectif des Boucs.
    Le club a profité de l'occasion pour balancer sur Pezzoni, en rappelant par exemple que son père a demandé le paiement d'une prime à laquelle le joueur n'avait pas droit, faute d'avoir joué un nombre suffisant de matches la saison passée. Pire, il a laissé sous-entendre que Pezzoni était un menteur, notant qu'il n'y avait pas de preuve que son agression de février dernier, qui lui avait valu un nez cassé, fût liée à un fan du club.

    Et maintenant?

    Finalement, le club a décidé – tardivement – de calmer le jeu. Il a ainsi indiqué qu'il n'y aurait pas d'action judiciaire contre Pezzoni, ne donnant ainsi pas suite à son annonce consécutive aux déclarations négatives du joueur envers son ex-club. Plus que se débarrasser de Pezzoni, le FC Cologne a en fait surtout voulu mettre un terme rapide à une publicité dispensable. Pour Pezzoni, la page Cologne est donc tournée. Après avoir déposé plainte à la suite des menaces reçues, le joueur se cherche un club. Des pistes sont évoquées, surtout anglaises: Ipswich, Aston Villa, Middlesbrough... Ce serait pour Pezzoni l'occasion d'un retour en Angleterre: avant son séjour à Cologne, il a vécu cinq années à Blackburn.
    De son côté, le FC Cologne veut se recentrer sur son championnat. Sous la pression du sponsor principal REWE, la direction du club – qui ne sort pas grandie de ce méli-mélodrame pour ne pas avoir assuré un soutien aussi fort par exemple que le Bayern envers Neuer [1] – s'active pour rattraper ses bourdes. Elle a ainsi fait fermer la page Facebook anti-Pezzoni à l'origine de cette histoire. Mieux, les dirigeants ont réussi à identifier le créateur de ladite page et annoncé qu'ils feraient tout pour l'exclure complètement du club et l'interdire de stade.
    Mais le bilan de l'affaire Pezzoni n'est pas satisfaisant, dans la mesure où les agresseurs – pas encore identifiés – ont bel et bien obtenu le départ du joueur. Dans une interview à die Zeit, l'ex-capitaine du FC Magdebourg Daniel Bauer, qui a connu une situation similaire l'an passé, pose la question de savoir où s'arrêtera cette spirale de haine. Bonne question. Faut-il attendre qu'un joueur plus célèbre soit concerné, ou qu'un autre soit gravement blessé, pour que de telles exactions ne soient plus une éventualité?

    Source
  • guigues a écrit, le 2009-12-21 08:46:08 :
    "Le Football, c'est comme les échecs ... mais sans les dés. Lukas Podolski, 28 Juin 2008"

    :)) (+)
    Je ne la connaissais pas, celle-là :D
  • Ribery aurait pu la prononcer!! :))
  • Sankt Pauli s'affiche gay-friendly


    Club marqué très à gauche, Sankt Pauli (deuxième division) a annoncé jeudi que le drapeau arc-en-ciel, symbole de la marche pour les droits des homosexuels, serait hissé de façon permanente sur le toit de son stade. «Le club combat activement l'homophobie et la discrimination depuis plusieurs années», a expliqué le vice-président Gernot Stenger, sur le site internet du club. ( AFP)
  • Le 22/01/2014
    La Bundesliga à l'honneur

    Voici une info qui ravira les amateurs de foot allemand, un peu passé au second plan dans les grilles de programmes de Canal depuis l'hégémonie de la Premier League sur Canal+Sport. Comme elle l'avait fait la saison dernière pour la Premier League avec une journée en immersion passée à Londres, Canal+ rédicivera dimanche soir à 23h15 dans l'Equipe du Dimanche avec une édition spéciale consacrée à la Bundesliga.
    A l'occasion de la reprise du championnat 4 matchs seront diffusés ce week-end sur Sport+ (programme plus bas) et l'Equipe du Dimanche se décline sur un format spécial : « Das ist Deutschland ! ».
    Pour rendre compte de ce championnat riche en couleurs et en buts, ses stades pleins, ses belles pelouses et son marketing très rôdé, et donner un avant-goût de ce qui attend le PSG contre Leverkusen en Ligue des Champions mi-février, les équipes de l'EDD partent ce week-end en reportage dans tout le pays :
    Borussia M'Gladbach-Bayern Munich : les galactiques du Bayern : Avec ARD et ZDF et les consultants extrêmement nombreux pour commenter la rivalité historique entre les deux équipes. Reportage également sur la couverture radio.
    Borussia Dortmund-Augsbourg : une ambiance unique en Europe : Reportage dans « le mur jaune » : symbole du gigantisme du Signal Iduna Park qui possède une étonnante « fan zone ».
    SC Fribourg-Bayer Leverkusen : Reportage sur l'accueil des supporters de Leverkusen à Fribourg et découverte du plus petit stade de Bundesliga. Visite guidée avec Patrick Guillou, l'enfant du pays.
    VFL Wolfsbourg-Hanovre 96 : la puissance financière de Volkswagen ! : Le stade est au pied de l'usine Volkswagen. Visite guidée avec Valérien Ismael (entraineur de la réserve de Wolfsbourg) et séquences avec Klaus Allofs, directeur sportif de Wolfsbourg.

    Les matchs sur Sport+ :
    Vendredi 24 janvier
    22h45 - M'Gladbach-Bayern Munich

    Samedi 25 janvier
    15h25 - SC Fribourg-Bayer Leverkusen
    18h25 - Eintracht Francfort - Hertha Berlin


    Dimanche 26 janvier
    17h25 - Hambourg SV - Schalke 04

    Equipe
  • Gladbach-Bayern en direct sur ARD ;)
  • Lewandowski accusé de coups et blessures

    Visé par une plainte d'un adolescent pour coups et blessures, Robert Lewandowski réfute les accusations dont il s'estime victime. «Je tiens à dire clairement que je n'ai pas utilisé la force contre ceux qui ont violé ma vie privée», a écrit sur sa page Facebook l'attaquant polonais, qui a réagi à un doigt d'honneur adressé par le lycéen. Ce dernier a livré sa version des faits au quotidien allemand Bild : «Il est sorti de sa voiture pour se ruer vers moi. Il m'a demandé pourquoi j'avais fait ça puis m'a frappé le front avec la paume de la main avant de repartir.»

    «Robert m'a expliqué que le garçon lui avait fait un doigt d'honneur et qu'il était sorti de sa voiture pour lui demander le pourquoi de son geste en lui posant la main sur l'épaule, a expliqué de son côté le patron du Borussia Dortmund, Hanz Joachim Watzke. Mais il jure qu'il n'a pas touché le garçon au visage ni ne l'a frappé. Je crois Robert à 100%.»

    lequipe.fr
  • Vendredi 24 janvier 2014
    Borussia M'Gladbach 0 - 2 Bayern Munich
  • ici
  • Bonne opération pour Fribourg cette après midi face à Leverkusen 3-2, ça leurs permêt de sortir de la zone de relégation et en même temps, ça rend service au Bayern qui se retrouve avec dix points d'avance et un match en moins sur le Bayer!
  • Vendredi 24 janvier 2014
    Borussia M'Gladbach 0 - 2 Bayern Munich
    Samedi 25 janvier 2014
    Borussia Dortmund 2 - 2 FC Augsburg
    VfB Stuttgart 1 - 2 FSV Mayence
    VfL Wolfsburg 1 - 3 Hanovre 96
    Nuremberg 4 - 0 Hoffenheim
    SC Fribourg 3 - 2 Bayer Leverkusen
    18:30 Eintracht Francfort Hertha Berlin
    Dimanche 26 janvier 2014
    15:30 Pariez Werder de Brême Eintracht Brunswick
    17:30 Pariez Hambourg SV Schalke 04
  • Comme l'indiquait katzo68, il y a un autre topic pour cette saison :'>

    Premier but de Jonathan Schmid en Bundesliga cette saison, même si c'est plus Kiessling qui marque !
    Superbe victoire de Mainz 05, qui bat Stuttgart après avoir terrassé le HSV là-bas avant la trêve.
  • Gerd Müller, atteint d'Alzheimer



    Gerd Müller se rapproche de la fin du match.

    Légende du Bayern Munich et de la sélection ouest-allemande, l'ex-attaquant souffre de la maladie d'Alzheimer. C'est le Bayern qui a officialisé la nouvelle ce mardi. L'homme est « suivi professionnellement depuis février 2015 », explique le club bavarois dans un communiqué.

    Entre 1966 et 1974, le champion d'Europe 1972 et champion du monde 1974, a planté 68 buts en 62 sélections avec la RFA (dont 14 unités en Coupe du monde). « Gerd Müller est l'un des très grands du football mondial. Sans ses buts, le Bayern et le football allemand ne seraient pas là où ils en sont », expose le président du club munichois, Karl-Heinz Rummenigge.

    Un homme qui restera dans les mémoires, assurément.

    SoFoot



    Ils en parlent comme s'il était déjà mort...:-s#-o
  • Ils sont quand même trash dans la conclusion de leur article, même si elle est facile...
  • En effet, on se met quelques secondes à la place de ses proches..
  • Le scandale VW semble avoir impacté les résultats de son équipe de Wolfsbourg
    A voir sur la durée mais suis pas tres optimiste pour leur saison
  • Stefan Effenberg va prendre son 1er poste d'entraineur
    En 2e division à Paderborn
    Lui l éternel donneur de leçons et grande gueule
    Maintenant à lui de montrer ou pas ce qu'il sait ou pas faire
    J'pense qu'on va pas le rater en Allemagne
  • A-il déjà entrainé une autre équipe avant Paderborn.?
  • Il suffit simplement de lire mon post précédent pour avoir la réponse
  • Je l'ai lu, mais tu parles de deuxième division, il aurait bien pu entrainer une équipe de troisième division .
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