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- Après-match
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Pour le troisième match de préparation, l'opposition s'est durcie avec une vive équipe de Schiltigheim toujours prompte à pousser le Racing dans ses derniers retranchements.
Après trois semaines de préparation, Jacky Duguépéroux choisit de travailler les associations de joueurs en match. Nous retrouvons donc Stéphane Bahoken en compagnie de Jérémy Blayac en pointe, poussant Oumar Pouye sur l'aile gauche et par jeu de chaises musicales, Jean-Philippe Sabo en arrière latéral, poste qu'il n'a plus occupé depuis… longtemps.
Le repositionnement de Sabo à son poste initial au Racing n'aura duré que 3 minutes. Après un premier contact avec l'adversité schilikoise, Jean-Philippe Sabo reste au sol. Le temps d'envoyer N'Dour à l'échauffement, c'est finalement le jeune Lilian North, valeur montante de la réserve, qui se présente à la ligne médiane. Pendant un court laps de temps, Oumar Pouye s'est même mué en arrière latéral. Une grosse béquille à la cuisse semble être le diagnostic pour l'ancien Marseillais.
Les deux équipes sont en mode diesel quand arrive la deuxième péripétie de la rencontre. La défense schilikoise se permet une passe en retrait au gardien qui ramasse le ballon. L'arbitre Louis Corsini se voit obligé de siffler un coup-franc indirect dans la surface, à l'angle des six mètres, malgré les palabres et autres gesticulations ostentatoires des Schilikois. Finalement, le tir d'Oumar Pouye - sur remise de Belahmeur - finit dans le mur.
Les deux ailiers se trouvent à nouveau à l'entrée de la surface, malheureusement, le tir de l'ex Schilikois Belahmeur s'envole beaucoup trop, tout comme un autre tir de Pouye à la fin du premier quart d'heure. La période des feux d'artifices est pourtant passée.
Les Verts se réveillent enfin par l'intermédiaire de Yannick Imbs. Un premier coup-franc tiré directement sort Olivier Blondel du chômage technique. Après les premiers remplacements des Strasbourgeois (voir fiche), le marquage est laxiste sur un deuxième coup-franc tiré par Imbs, repris victorieusement par Weber qui trompe Blondel de près (0-1).
Malgré une dernière fusée de Yannick Aguemon sur laquelle le portier Sébastien Schneider met les poings sur les i, rien ne sera marqué avant la mi-temps, où le millier de spectateurs peut enfin se "déshydrater", comme le dit notre speaker.
En deuxième période, le match devient de plus en plus rugueux avec l'équivalent du Sarre-Unionnais Yann Schneider il y a quelques jours, Anis Bouziane, qui chatouille les chevilles suffisamment pour se faire réprimander par l'arbitre puis par Ernest Seka, dont le doigt tendu rappelle l'air réprobateur de parents qui voient leur enfant pris la main dans le pot de confiture.
Après de multiples changements de part et d'autres, c'est finalement sans Blayac mais avec Liénard que les coups de pied arrêtés sont paradoxalement les plus efficaces. Sur un corner, Liénard dépose la balle sur la tête d'Abdallah N'Dour, qui ne se fait pas prier pour trouer les filets adverses (67ème, 1-1). Sur un coup-franc, Dimitri Liénard trouve le poteau directement, puis dépose quelques minutes plus tard une nouvelle offrande sur la tête ou une autre partie du corps imposant de Massiré Kanté, qui dévie suffisamment le ballon pour surprendre le gardien adverse (2-1).
Le match se finit alors sur les premières gouttes de pluie de la soirée. Les deux clubs affichent leur satisfaction sur le déroulement de la rencontre. Après trois semaines de préparation, le Racing semble dans le dur et ce retournement de situation de fin de match ne peut que les rassurer. De l'autre côté, pour une première opposition après une seule semaine d'entraînement, les Schilikois se sont montrés vifs et collectifs, à l'inverse de la saison passée où ils ont semblé poussifs à la même période. José Guerra ne pourra pas fêter son anniversaire de la meilleure manière qui soit, mais aura à nouveau contrarié les Strasbourgeois, comme à chaque rencontre.
Mardi, face à un autre adversaire de CFA2, Jacky Duguépéroux fera souffler quelques cadres en relançant les jeunes pousses du club, qui ont suivi la rencontre du jour de la terrasse du club house, entourant le nouveau venu Felipe Saad, resté en civil. La rencontre se déroulera également probablement sans Jean-Philippe Sabo, hilare comme à son habitude mais boitant, une poche de glace fondue dans la main.
Tournée des villages oblige, les Strasbourgeois ont ensuite pris le temps d'échanger paroles et selfies avec leurs fans, déjà chauds pour la reprise d'une saison qui s'annonce avec ambition.
Le repositionnement de Sabo à son poste initial au Racing n'aura duré que 3 minutes. Après un premier contact avec l'adversité schilikoise, Jean-Philippe Sabo reste au sol. Le temps d'envoyer N'Dour à l'échauffement, c'est finalement le jeune Lilian North, valeur montante de la réserve, qui se présente à la ligne médiane. Pendant un court laps de temps, Oumar Pouye s'est même mué en arrière latéral. Une grosse béquille à la cuisse semble être le diagnostic pour l'ancien Marseillais.
Les deux équipes sont en mode diesel quand arrive la deuxième péripétie de la rencontre. La défense schilikoise se permet une passe en retrait au gardien qui ramasse le ballon. L'arbitre Louis Corsini se voit obligé de siffler un coup-franc indirect dans la surface, à l'angle des six mètres, malgré les palabres et autres gesticulations ostentatoires des Schilikois. Finalement, le tir d'Oumar Pouye - sur remise de Belahmeur - finit dans le mur.
Les deux ailiers se trouvent à nouveau à l'entrée de la surface, malheureusement, le tir de l'ex Schilikois Belahmeur s'envole beaucoup trop, tout comme un autre tir de Pouye à la fin du premier quart d'heure. La période des feux d'artifices est pourtant passée.
Les Verts se réveillent enfin par l'intermédiaire de Yannick Imbs. Un premier coup-franc tiré directement sort Olivier Blondel du chômage technique. Après les premiers remplacements des Strasbourgeois (voir fiche), le marquage est laxiste sur un deuxième coup-franc tiré par Imbs, repris victorieusement par Weber qui trompe Blondel de près (0-1).
Malgré une dernière fusée de Yannick Aguemon sur laquelle le portier Sébastien Schneider met les poings sur les i, rien ne sera marqué avant la mi-temps, où le millier de spectateurs peut enfin se "déshydrater", comme le dit notre speaker.
En deuxième période, le match devient de plus en plus rugueux avec l'équivalent du Sarre-Unionnais Yann Schneider il y a quelques jours, Anis Bouziane, qui chatouille les chevilles suffisamment pour se faire réprimander par l'arbitre puis par Ernest Seka, dont le doigt tendu rappelle l'air réprobateur de parents qui voient leur enfant pris la main dans le pot de confiture.
Après de multiples changements de part et d'autres, c'est finalement sans Blayac mais avec Liénard que les coups de pied arrêtés sont paradoxalement les plus efficaces. Sur un corner, Liénard dépose la balle sur la tête d'Abdallah N'Dour, qui ne se fait pas prier pour trouer les filets adverses (67ème, 1-1). Sur un coup-franc, Dimitri Liénard trouve le poteau directement, puis dépose quelques minutes plus tard une nouvelle offrande sur la tête ou une autre partie du corps imposant de Massiré Kanté, qui dévie suffisamment le ballon pour surprendre le gardien adverse (2-1).
Le match se finit alors sur les premières gouttes de pluie de la soirée. Les deux clubs affichent leur satisfaction sur le déroulement de la rencontre. Après trois semaines de préparation, le Racing semble dans le dur et ce retournement de situation de fin de match ne peut que les rassurer. De l'autre côté, pour une première opposition après une seule semaine d'entraînement, les Schilikois se sont montrés vifs et collectifs, à l'inverse de la saison passée où ils ont semblé poussifs à la même période. José Guerra ne pourra pas fêter son anniversaire de la meilleure manière qui soit, mais aura à nouveau contrarié les Strasbourgeois, comme à chaque rencontre.
Mardi, face à un autre adversaire de CFA2, Jacky Duguépéroux fera souffler quelques cadres en relançant les jeunes pousses du club, qui ont suivi la rencontre du jour de la terrasse du club house, entourant le nouveau venu Felipe Saad, resté en civil. La rencontre se déroulera également probablement sans Jean-Philippe Sabo, hilare comme à son habitude mais boitant, une poche de glace fondue dans la main.
Tournée des villages oblige, les Strasbourgeois ont ensuite pris le temps d'échanger paroles et selfies avec leurs fans, déjà chauds pour la reprise d'une saison qui s'annonce avec ambition.
