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Sous un soleil automnal qui nous a réservé une de ses dernières lueurs avant la rigueur hivernale, la réserve du Racing a gagné 3-1... sans briller.
A Molsheim, alors que la "une" sombre à Brest, les Bleuets l'emportent face au promu Lunéville.
Une très belle entame de match ! Rien à dire, les hommes de François Keller sont au-dessus du lot. Le fond de jeu est agréable à voir : Les Bleus déroulent proprement, la balle circule bien, parfois à une touche de balle, un vrai régal ! Dans tous les domaines, le Racing domine tant sur le « plan tactique que technique » comme dirait un célèbre sélectionneur. Sur le plan physique, le pressing, très haut, empêche les joueur du FC Lunéville de ressortir la balle. A l’exception de la 2e minute, où les visiteurs heurtent les montants. Les Bleuets ont eu du pot...eau ! Asphyxiés et acculés, les Lorrains cèdent. Après 17 minutes de jeu, 2-0 pour les strasbourgeois. Un but de Guillaume Ruiz sur un bon centre d'Oumar Pouye, qui s’est lui même transformé en buteur quelques minutes plus tard. La messe est dite ? A cet instant, on croit que les Lorrains vont se prendre une valise. Il faut dire qu' avec l'équipe composée de F. Keller, avec Caci, Benkaïd, N'Doye, Pouye, Belhameur, Othon et des jeunes pousses intéressantes comM. Schmittheissler, c'était le service minimum.
Et pourtant… Le Racing est atteint du syndrome de l'équipe qui mène 2-0. Doivent-ils gérer et laisser les autres attaquer ? Doivent-ils marquer ce 3e but Le doute s'installe si bien que Racing se met à déjouer au fur et à mesure que le chronomètre s’égraine. En 2e mi-temps, les anciens pensionnaires de DH sortent de la nasse. Pour ainsi dire, ils profitent d’une baisse de régime et des faiblesses du milieu de terrain. La sortie de N’Doye en phase de reprise, n’aidant rien. Les Lorrains sont dangereux. Mais heureusement pour les Racingmen, c’est la saison des vendanges ! Au total, cinq occasions franches gâchées, grâce à un Schmittheissler impérial. Le Racing souffre certes au niveau défensif, mais reste lucide devant le but en marquant le troisième but libérateur. Bien qu’une minute plus tard, les joueurs de Lunéville réduisent la marque. Au final, le Racing s’est éteint mais a assuré l’essentiel : la victoire.
En somme, une belle journée, 3 points et une place de leader. Pourvu que ça dure ! Mais qu’en serait-il sans l’appui des joueurs de la « une » ?
Une très belle entame de match ! Rien à dire, les hommes de François Keller sont au-dessus du lot. Le fond de jeu est agréable à voir : Les Bleus déroulent proprement, la balle circule bien, parfois à une touche de balle, un vrai régal ! Dans tous les domaines, le Racing domine tant sur le « plan tactique que technique » comme dirait un célèbre sélectionneur. Sur le plan physique, le pressing, très haut, empêche les joueur du FC Lunéville de ressortir la balle. A l’exception de la 2e minute, où les visiteurs heurtent les montants. Les Bleuets ont eu du pot...eau ! Asphyxiés et acculés, les Lorrains cèdent. Après 17 minutes de jeu, 2-0 pour les strasbourgeois. Un but de Guillaume Ruiz sur un bon centre d'Oumar Pouye, qui s’est lui même transformé en buteur quelques minutes plus tard. La messe est dite ? A cet instant, on croit que les Lorrains vont se prendre une valise. Il faut dire qu' avec l'équipe composée de F. Keller, avec Caci, Benkaïd, N'Doye, Pouye, Belhameur, Othon et des jeunes pousses intéressantes comM. Schmittheissler, c'était le service minimum.
La saison des vendanges
Et pourtant… Le Racing est atteint du syndrome de l'équipe qui mène 2-0. Doivent-ils gérer et laisser les autres attaquer ? Doivent-ils marquer ce 3e but Le doute s'installe si bien que Racing se met à déjouer au fur et à mesure que le chronomètre s’égraine. En 2e mi-temps, les anciens pensionnaires de DH sortent de la nasse. Pour ainsi dire, ils profitent d’une baisse de régime et des faiblesses du milieu de terrain. La sortie de N’Doye en phase de reprise, n’aidant rien. Les Lorrains sont dangereux. Mais heureusement pour les Racingmen, c’est la saison des vendanges ! Au total, cinq occasions franches gâchées, grâce à un Schmittheissler impérial. Le Racing souffre certes au niveau défensif, mais reste lucide devant le but en marquant le troisième but libérateur. Bien qu’une minute plus tard, les joueurs de Lunéville réduisent la marque. Au final, le Racing s’est éteint mais a assuré l’essentiel : la victoire.
Quoi de neuf du côté des pros ?
Si Schmitheissler a assuré malgré un petit loupé en 1ère mi-temps (sortie aérienne loupée), on ne peut pas dire la même chose de Pouye. Très actif pendant la 1ère demi-heure, il a « disparu » de la circulation en 2ème mi-temps. Certes, il marque un but et fait une passe décisive, mais n’est-ce pas le minimum face à un adversaire au talent limité ? Peut-être qu’il se satisfait de sa condition de « lofteur »… Belhameur est définitivement à ranger dans la catégorie des intermittents du spectacle. Tantôt transparent, tantôt un accélérateur de jeu. Une prestation inégale. Comme toujours. Pas de quoi se retrouver dans les petits papiers de Laurey. Sauf si le virus des expulsions se poursuit. Sait-on jamais. Un match correct de N’Doye, bien qu’il manque de repères et d’automatismes au milieu avec son comparse Anthony Caci. Ce qui ce comprend aisément. Quentin Othon, notre vraie-fausse recrue, très à l’aise sur le côté gauche, a été moins présent dans le jeu, lorsqu’il s’est retrouvé en position de milieu défensif après l’entrée de Shiashia. Hicham Benkaïd ? Plutôt bon dans l’ensemble, durant les 70 premières minutes en raison de sa vitesse et de son engagement. Ne mériterait-il pas d’être appelé en « une » suite aux piètres prestations de Blayac et de Guillaume ?En somme, une belle journée, 3 points et une place de leader. Pourvu que ça dure ! Mais qu’en serait-il sans l’appui des joueurs de la « une » ?
