- Note
- 0.0 / 5 (0 note)
- Date
- Catégorie
- Après-match
- Lectures
- Lu 2.168 fois
- Auteur(s)
- Par mediasoc
- Commentaires
- 1 comm.
Le RCS s'est rappelé du niveau du Championnat de France Amateur en se prenant une tôle de la part des efficaces Moulinois.
Avec les suspensions de Sabo et de Momha, ainsi que la blessure de Vincent Guignery, le côté gauche est déplumé pour cette rencontre face à Moulins.
Disposé dans un 3-5-2 expérimental (inspiré de la deuxième mi-temps du match contre Mulhouse) avec Sikimic Modeste et Golliard en défense centrale, les Strasbourgeois ont bien ratissé les premiers ballons dans les quinze premières minutes, notamment par Thomas Martin. L'équipe se projetait bien vers l'avant jusqu'à la belle occasion de Stéphane Noro, qui des 16 mètres ouvrait trop sa frappe qui finissait à un mètre du but. En réponse à l'action strasbourgeoise, la première pénétration de Moulins dans la surface finissait par un tir non-cadré de Berthommier (déjà) pour quelques dizaines de centimètres.
Jusque là, le match était équilibré et laissait entrevoir la possibilité de marquer. Le tournant du match a lieu à la 27ème minute, où Berthommier échappe à la défense centrale, à la limite du hors-jeu. Seul Modeste le suit et le fauche en taclant. Une faute d'inexpérience ? Toujours est-il que la sanction est totale : carton rouge, pénalty et premier but des Moulinois.
Côté Strasbourgeois, Anthony Sichi se procure la plus grande occasion suite à un beau mouvement de Ledy et Pinaud sur la droite. La reprise de la tête du sudiste échappe inexplicablement au cadre. L'espoir est encore présent quand les joueurs entrent sur la pelouse pour la deuxième mi-temps.
Les Strasbourgeois se redéploient pour la deuxième mi-temps et c'est de nouveau Sichi qui se rate dans un face-à-face avec le gardien. Il tombe également à plusieurs reprises dans la surface suite à des duels, mais l'arbitre M. Leleu reste inflexible. Entre temps, Kamata a eu le temps de trouver la transversale d'un tir de 20 mètres, après être entré dans la défense comme dans du beurre.
Toujours à 0-1, Noro trouve Sikimic sur un coup-franc, mais celui-ci place une reprise de la tête à côté du cadre. Le capitaine strasbourgeois était au contact avec un défenseur de Moulins et avec Ludovic Golliard.
Sikimic se blesse ensuite sur une action qui semblait anodine (66ème). Il ne reste alors plus que Golliard comme défenseur sur le terrain, secondé un temps par Thomas Martin. F. Keller fait des changements offensifs, et Noro recule de plus en plus sur le terrain. C'est la confusion générale dans l'équipe.
La sanction tombe dans la foulée, à la 70ème. Saline est seul sur le côté gauche de son attaque, il repique vers l'axe et adresse une frappe imparable dans le petit filet opposé. A 0-2, la "messe est cuite".
Malgré l'empilement d'attaquants (Binder, Ledy, Perrin, Benchenane...) le Racing n'y croit plus. Les cinq dernières minutes sont anecdotiques, avec deux buts supplémentaires des visiteurs sur un contre et sur un magistral coup-franc. Une équipe "pur CFA" a donné une leçon aux Strasbourgeois qui rêvaient encore la montée.
Ce samedi, le RCS rend visite aux voisins de Moulins, Yzeure, qui était la seule équipe à avoir gagné à la Meinau jusqu'ici. Le voyage se fera sans Sikimic et Modeste, et peut-être sans espoir.
Disposé dans un 3-5-2 expérimental (inspiré de la deuxième mi-temps du match contre Mulhouse) avec Sikimic Modeste et Golliard en défense centrale, les Strasbourgeois ont bien ratissé les premiers ballons dans les quinze premières minutes, notamment par Thomas Martin. L'équipe se projetait bien vers l'avant jusqu'à la belle occasion de Stéphane Noro, qui des 16 mètres ouvrait trop sa frappe qui finissait à un mètre du but. En réponse à l'action strasbourgeoise, la première pénétration de Moulins dans la surface finissait par un tir non-cadré de Berthommier (déjà) pour quelques dizaines de centimètres.
Jusque là, le match était équilibré et laissait entrevoir la possibilité de marquer. Le tournant du match a lieu à la 27ème minute, où Berthommier échappe à la défense centrale, à la limite du hors-jeu. Seul Modeste le suit et le fauche en taclant. Une faute d'inexpérience ? Toujours est-il que la sanction est totale : carton rouge, pénalty et premier but des Moulinois.
Côté Strasbourgeois, Anthony Sichi se procure la plus grande occasion suite à un beau mouvement de Ledy et Pinaud sur la droite. La reprise de la tête du sudiste échappe inexplicablement au cadre. L'espoir est encore présent quand les joueurs entrent sur la pelouse pour la deuxième mi-temps.
Les Strasbourgeois se redéploient pour la deuxième mi-temps et c'est de nouveau Sichi qui se rate dans un face-à-face avec le gardien. Il tombe également à plusieurs reprises dans la surface suite à des duels, mais l'arbitre M. Leleu reste inflexible. Entre temps, Kamata a eu le temps de trouver la transversale d'un tir de 20 mètres, après être entré dans la défense comme dans du beurre.
Toujours à 0-1, Noro trouve Sikimic sur un coup-franc, mais celui-ci place une reprise de la tête à côté du cadre. Le capitaine strasbourgeois était au contact avec un défenseur de Moulins et avec Ludovic Golliard.
Sikimic se blesse ensuite sur une action qui semblait anodine (66ème). Il ne reste alors plus que Golliard comme défenseur sur le terrain, secondé un temps par Thomas Martin. F. Keller fait des changements offensifs, et Noro recule de plus en plus sur le terrain. C'est la confusion générale dans l'équipe.
La sanction tombe dans la foulée, à la 70ème. Saline est seul sur le côté gauche de son attaque, il repique vers l'axe et adresse une frappe imparable dans le petit filet opposé. A 0-2, la "messe est cuite".
Malgré l'empilement d'attaquants (Binder, Ledy, Perrin, Benchenane...) le Racing n'y croit plus. Les cinq dernières minutes sont anecdotiques, avec deux buts supplémentaires des visiteurs sur un contre et sur un magistral coup-franc. Une équipe "pur CFA" a donné une leçon aux Strasbourgeois qui rêvaient encore la montée.
Ce samedi, le RCS rend visite aux voisins de Moulins, Yzeure, qui était la seule équipe à avoir gagné à la Meinau jusqu'ici. Le voyage se fera sans Sikimic et Modeste, et peut-être sans espoir.
