[Arrivée] Stéphane Darbion
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fidelioExact,Darbion est un millieu d'aile.
Jouant indifferemment a gauche,ou a droite. -
Je voulais dire que des joueurs moyens on en a pas mal.
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Plutot Djadjeje ou Gasmi alors...
Ils sont pas mal sur l'aile me semble-t-il -
Dja Djedje,est plutot un attaquant de pointe.
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Pourquoi relancer la piste Darbion, alors qu'on dispose déjà de Bezzaz pour le rôle de milieu gauche remplaçant ? A son poste, je pense qu'il vaut chercher un vrai renfort, capable d'être titulaire (Bonnet par exemple
)
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fidelio a écrit, le 2009-05-14 17:19:07 : Les dirigeants de Strasbourg seraient toujours sur la piste de Stephane Darbion.
Le millieu de terrain ajaccien ne manque pas de propositions (Angers,Grenoble,Metz),mais une eventuelle proposition du Racing retiendrait son attention.
Source:Foot transferts.
Surtout pas cette chèvre
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Enfin cette chèvre possède de bonnes statistiques, en terme de but ou de passe décisive, et comme dit il ne couterait pas grand chose au club,on peut également remaquer qu' il est encore jeune.
Je trouve que son profil ressemble un peu à celui de Feret, assez technique ( bon frappeur de coups de pied arrêté) pas excessivement rapide, intéressant quoi . -
Perso ce n'est pas la qualité de Darbion que je remettrais en cause ( il a l'air d'être pas trop mauvais )
Mais plutôt sa mentalité ( Le je viens je viens pas non merci ...
)
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Plutôt lancé le pari sur Eneramo alors ...
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A participé au match Montpellier - Ajaccio AC 2-1 (Ligue 2) le : titulaire
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Citation: DARBION SIGNE À NANTES.
Stéphane Darbion (25 ans) a décidé de
poursuivre sa carrière en L 2, malgré
l'intérêt de Boulogne-sur-Mer. Le
milieu offensif d'Ajaccio s'est engagé
pour deux saisons en faveur de Nantes
où il va retrouver Gernot Rohr, l'ancien
entraîneur du club corse. Tours était
également intéressé. G. D.
L'Equipe -
Dommage, ca aurait été un jours pas mal pour cette nouvelle saison
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Selon Ouest-France Darbion était sur le point de signer avec le Racing et c'est Roht qui l'a fait changer d'avis.
Darbion, une progression à poursuivre
Le nouvel attaquant nantais a confiance en Rohr pour le mener plus haut. En Ligue 1 par exemple, de préférence à Nantes.
Sandales allemandes aux pieds, bermuda long, coupe de cheveux séchage rapide, Stéphane Darbion semble tout droit sorti d'un village vacances. Le bon temps, c'est pourtant fini. Le quotidien de ce natif de l'Ain, va désormais s'inscrire à la Jonelière, « un village de football ».
Les infrastructures, qu'il avait découvertes en venant signer son contrat, ne sont bien évidemment pas le seul argument ayant contribué à le convaincre de rejoindre Nantes. Un club qui l'avait contacté dès « février ». À l'époque, il n'était bien évidemment pas question de Gernot Rohr dans la maison jaune. C'est pourtant bien le nouveau coach nantais qui a, semble-t-il, emporté la décision. Alors qu'il était sur le point de s'engager avec Strasbourg, un numéro connu s'est affiché sur son portable. « Je lui ai dit d'attendre un peu », sourit Rohr. Pas seulement. « Il m'a dit qu'il y avait un super coup à faire ici. Et que ma progression n'était pas finie. » Et le joueur a particulièrement confiance en ce coach qui « veut une bonne base défensive, mais laisse beaucoup de liberté dans le jeu ».
À 25 ans, Darbion, formé à Montpellier où il a évolué sous les ordres d'un certain Der Zakarian, arrive à Nantes pour aller chercher sa place en Ligue 1. Pour Rohr, il doit encore travailler « son jeu de tête », « son pied droit » et, manifestement, surveiller sa ligne, encore que, cette fois, les vacances ne lui auraient laissé qu'un petit kilo d'excédent à éliminer avec Bernard Ginès, le préparateur physique. Pour le reste, Gernot est élogieux : « C'est un joueur polyvalent en attaque. Il peut jouer à droite, à gauche, dans l'axe, en soutien. Un gaucher qui va vite et qui frappe très bien les coups de pieds arrêtés. Il peut aussi défendre et travailler pour l'équipe. »
Le n°8 de Da Rocha
Pour le public nantais, Darbion, c'est une frappe en pleine lucarne avec Ajaccio en novembre 2007, à la Beaujoire. L'un des 8 buts d'une saison qui l'a également vu délivrer « 7 ou 8 passes décisives » et « provoquer trois penalties ». Un bon bilan pour celui qui portera un numéro lourd de sens, à Nantes. Le 8. Celui de Da Rocha. « Moi, j'arrive après, je n'ai pas trop connu », élude diplomatiquement ce gaucher qui « aime jouer à droite pour rentrer sur mon pied de frappe ». Dans l'effectif actuel, il ne connaît d'ailleurs que Moullec, ex-Montpelliérain comme lui, et un peu De Freitas.
Un type dont il n'est pas sans rappeler la simplicité, la décontraction. À Ajaccio, il a pourtant connu une saison compliquée avec deux changements d'entraîneur et l'incarcération du président en juin. « On a souffert. Mais on avait un groupe sain et c'est sans doute ce qui nous a permis de nous en sortir. » L'esprit, c'est encore ce qui pourrait faire la différence, selon lui, dans une Ligue 2 dense, « où partout on voudra battre Nantes ».
Ce ne sera pas tous les jours fête au village.
P.-Y. A.
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