[Arrivée] José Cobos
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juninho67superdou a écrit, le 2009-06-02 23:19:31 : On peut me dire qui a cité Khirat pour qu'on l'inclue dans la crise actuelle ?
Pourquoi il prendrais pas avec les autres, on sait pas ce qu'il a foutu dans le lot Khirat, mais honnêtement qui sait ce que Khirat fait ou à quoi il sert?
Je vous renvoie à une émission de radiostub où j'étais invité et l'on en parle avec conan, ni lui, ni moi, ni paolo ne savaient ce qu'il foutait là et à quoi il servait, donc si on pouvait nous aider sur ce point ce serait pas mal. (+) -
A vue de nez il doit oeuvrer à la disco(o)rdination entre les différents éléments du club...
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The Legend. L'homme qui ne servait absolument à rien du tout.
Mais vraiment à rien.
(et c'est pas un montage)
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Vu l'organigramme du club, je pense que le gars doit être une sorte d'émminence grise, une sorte de jacques Attali. Ginette etant trop occupé par ailleur, Khirat devait servir de liaison entre le front et l'arrière garde , un peu comme Rintintin pou Rusty, dans cette série qui a bercé l'enfance de nombre d'entre nous.
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ET CANOSI ? On entend pas trop parler de lui tient au recrutement.. That's NORMOL ..?
Sinon, c'est ENORME le vide devant l'autre fantome ! :)) -
Pardon à tous les stubistes, suite au match à Reims, ce n'est pas khirat l'auteur de ces propos nauséabont mais nourredine bouachera :
S'adressant aux sups UB90 ayant fait le déplacement à Reims (match se terminant par 1 humiliante défaite 4 buts à 1 chez le dernier de Ligue 2....!) et répondant aux mêmes UB90 qui réclamaient la démission de Furlan, M. BOUACHERA se permet de leur dire :
SI CA NE VOUS PLAIT PAS, IL NE FALLAIT PAS VENIR.
Encore 1 belle raclure qu'il faut mettre à la porte en même temps que son cher entraineur furoncle (-) . -
Pour être clair M.Khirat est coordinateur sportif chargé du recrutement :
càd qu'il s'occupe avec 3 de ses collaborateurs (Canosi, Pierre Ginestet et 1 troisième mais je ne sais pas qui...) de tout le recrutement du Racing........et c'est lui qui soumet en dernier lieu les recrues à Furlan.
Que dire de son travail ces 2 dernières années :
Hormis,
Il est incompétent et c'est inadmissible de végéter pendant 3-4 saisons avec un pareil bonhomme.
Il ne comprend rien au foot et fait des choix de joueurs incohérents.
Pour sa gestion du"on a pas d'argent au Racing",
Je répondrai tout bonemment prends 1 joueur qui coûte cher ou relativement cher feret ou monterubio et complète avec des jeunes du centre de formation RCS.
Et non prendre des tâches au nombre de 4 ou 5 à chaque période de transferts du genre :
"Victor Correïa/Gromulo/Franck Dja Djé Djé/Boubacar Kébé/Yassine Bezzaz/David Klein et companie"
Avec un bémol pour Bezzaz qui n'est pas si mauvais jusqu'à présent.
Le reste sert à quoi sinon que d'alourdir la masse salariale (+ qu'avec des jeunes du centre de formation)
Quelque fois , il faut savoir recruter peu mais bien et faire confiance aux jeunes tout en sachant que ça arrive à tout le monde de faire des erreurs.
Il faut certes mettre de l'argent pour celà et enlever ses oursins de ses poches M.GINESTET, mais 1 ou 2 bons joueurs; ça vaut bien 5 ou 6 chèvres, non?
En bref, Khirat tu es 1 boulet et casse toi vite! :D
Khirat, tu es 1
et tu nous a bien fais rire mais maintenant fini la rigolade.
Il faut passer à autre chose, donc tu prends la porte....
VIREZ-LE
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Interview de Gernot Rohr dans lesDNA de ce matin :
- La perspective de travailler avec José Cobos est-elle envisageable ?
- C'est aux décideurs strasbourgeois d'envisager les choses. Je n'ai pas fait acte de candidature. Mais pour parler de Cobos, c'est quelqu'un pour qui j'ai énormément de sympathie. J'ai passé trois saisons merveilleuses avec lui à Nice (de 2002 à 2005). Je le considère comme quelqu'un de compétent. -
C'est là qu'on se rend compte que le ticket Gress - Cobos aurait été plus intéressant...
A l'heure actuelle, ça serait Cobos l'entraineur ! -
C'était Rohr-Cobos pas Gress-cobos.
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Rohr - Cobos c'était la rumeur des DNA, mais au niveau des supporters Gress - Cobos c'était aussi quelque chose d'alléchant (vu sur le forum KCB par exemple)
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Sauf que Gress travaille seul et que Cobos n'aurait pas eu son mot à dire (tout comme Janin qui ne prête que ses diplômes).
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Pour le retour de Cobos au Racing.
J'avoue que je ne connais pas ses compétences en tant que directeur sportif, mais je connais ses qualités humaines. José sait ce que sait l'amour du maillot, il l'a démontré à Nice lorsque le club était au bord de la faillite. José aime le Racing.
Il aurait beaucoup à apprendre aux joueurs et aux dirigeants et c'est quelqu'un dans lequel je reconnaitrais le Racing. -
Il était pas à l'origine d'un coup de pute à Nice ?
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Il me semble qu'il a pris parti pour le coté perdant lors d'une querelle d'actionnaires, ce qui lui à coûté sa place de directeur sportif.
Par contre en tant que joueur et capitaine, il a aidé à sauver le club de la faillite et lui a permis de remonter en D1.
Nice c'est également un bordel sans nom, mais Cohen a réussi à stabiliser le club en D1 depuis presque 10 ans. Pendant ce temps le RCS changeait 5 fois de président, descendait 2 fois en D2 et vendait ses meilleurs joueurs pour une bouchée de pain. -
On l'à notre latéral gauche
Un local qui aime son club,que vouloir de plus dans la direction?
Specht?Schilles?
Pour ça venue,il connait les structures,et à déjà une petite expérience dans le poste! -
José Cobos : « Je suis là ! »
Joueur emblématique du Racing, à l'époque où la Meinau vibrait encore au rythme des exploits strasbourgeois - même en Ligue 2 -, José Cobos est prêt à revenir. L'enfant du Neuhof, entièrement disponible mais jamais rappelé au chevet de son club, espère cette fois être associé au plan de sauvetage de la maison bleue.
Ses folles chevauchées, sur le flanc gauche de la défense, avaient enflammé la Meinau. Cheveux au vent, port altier, José Cobos avait campé le rôle de chouchou du Racing jusqu'à son départ au PSG, à l'orée de la saison 1993-1994.
« Les personnes venues de l'extérieur n'ont pas apporté grand-chose »
« Mon palmarès, je l'ai bâti à Paris (*), mais mes racines sont à Strasbourg, n'a de cesse de répéter celui qui a terminé sa carrière à l'OGC Nice, comme capitaine, avant d'embrasser la carrière d'entraîneur-adjoint. Après une courte pige à l'AS Monaco - directeur sportif de janvier à avril 2009 -, Cobos est libre de toute obligation.
Son passage à Strasbourg, durant les fêtes de Noël, a renforcé son envie de s'investir au Racing. Simple gestionnaire d'un restaurant sur la Côte d'Azur, l'homme est prêt à reprendre du service du côté du Krimmeri. Entretien.
- Que vous inspire la situation actuelle du Racing ?
- C'est désolant. A Strasbourg, je n'ai connu que deux clubs : le CS Neuhof et le Racing. Ils m'ont tout donné et permis de garder la tête sur les épaules. Quand je vois aujourd'hui une Meinau aux trois quarts vide, des résultats décevants, une situation qui n'est pas claire au niveau de la direction, je suis inquiet, comme tout amoureux du Racing.
« Vingt-cinq ans de haut niveau derrière moi »
- Pensez-vous pouvoir apporter quelque chose au club, en l'état actuel des choses ?
- Pourquoi pas. J'ai vingt-cinq ans de haut-niveau derrière moi. J'ai été joueur, entraîneur-adjoint, directeur sportif. J'ai des connexions à tous les niveaux. Je pense avoir laissé une bonne image à Strasbourg. En outre, je constate que depuis mon départ, les personnes venues de l'extérieur n'ont pas apporté grand-chose. Il y a eu des erreurs de casting, beaucoup d'erreurs. Alors, pourquoi ne pas faire confiance à quelqu'un du cru ?
- N'avez-vous donc jamais été sollicité jusque-là ?
- Non, et je trouve ça assez triste. J'ai bien été en contact à une certaine période avec le président Ginestet (au moment du limogeage de Furlan en juin dernier, quand son ami Gernot Rohr était un candidat à la succession, ndlr), mais ça n'est jamais allé plus loin. J'ai aussi eu l'occasion de converser avec Julien Fournier (actuel PDG du club), qui m'a l'air disposé à réunir toutes les forces vives pour sauver le club.
J'estime avoir un peu de crédibilité au niveau national et européen. J'ai assez voyagé au cours de ma carrière (Racing, PSG, Espanyol Barcelone, Toulouse et Nice). Aujourd'hui, j'ai juste envie de dire : "Je suis là !"
- Vous êtes là, certes, mais avez-vous des gens qui vous soutiennent ?
- Seul, évidemment, je n'arriverai à rien. J'ai entendu parler d'une solution de reprise locale. Cela m'intéresse. Je pense pouvoir aussi fédérer des investisseurs autour de ma personne. Il faut avancer main dans la main. Ma démarche n'est pas guidée par des intérêts personnels. Ma vie est actuellement sur la Côte d'Azur, où je suis bien. Mais si je peux jouer un rôle dans le sauvetage du Racing, j'en serais très heureux.
« Même en L 2, on jouait devant 35 000 personnes »
- Quelle attitude allez-vous adopter dans les prochains temps ?
- Pour le Racing, l'échéance importante se situe le 6 janvier, jour du passage devant la DNCG. D'ici là, je vais être à l'écoute, en position d'attente. Si on me sollicite, je pourrais exposer mon projet sportif. Une ville comme Strasbourg se doit d'être ambitieuse. Je connais l'engouement du public. A mon époque, même en L 2, on jouait devant 35 000 spectateurs.
Il y a ici le potentiel pour sortir de l'ornière et retrouver l'élite à moyen terme. Si on pouvait juste faire un peu plus confiance à ceux qui portent le maillot dans leur coeur...
(*) champion de France 1994, vainqueur de la Coupe de France 1995 et de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe 1996
DNA -
Qu'il vienne
Mais pour occuper quel poste ?
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pourquoi- pas ,mais il faudra déjà régler le problème qui et primordial " la vraie reprise du Racing "
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Ce qui est encouragent dans l'article c'est que Fournier veut également sauver le Club. Peut-être restera t'il
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Il est pas en train d'essayer de s'incruster ?
Ses échecs à Nice et à Monaco à cause de problèmes relationnels ne vous refroidissent pas ? -
On a déjà très froid, un peu plus ou moins on sentira pas la différence
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