La marque Racing club de Strasbourg
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xeliem67bou a écrit, le 2012-02-20 21:21:27 : La marque à la SASP, certes. Mais à qui appartiendra la SASP ?
Ben à Sitterlé tant qu'il sera dans le club. Après plus. Donc on ne peut plus l'accuser de vouloir se faire la peau grasse sur le racing. -
Et que se passera-t-il si d'aventure les objectifs sportifs fixés ne devaient pas être atteints?
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Effectivement Xeliem67, dans la mesure où une revente de ses parts de la SASP se ferait sans bénéfices individuels sur-dimensionnés par rapport à l'investissement.
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De toute façon, cela parait tout de même assez logique que du bénéfique soit fait... Tout dépend de ce que tu entend par sur-dimensionné, mais un club en cfa2 ne vaut pas autant qu'un club en L1
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xeliem67 a écrit, le 2012-02-20 21:23:32 : bou a écrit, le 2012-02-20 21:21:27 : La marque à la SASP, certes. Mais à qui appartiendra la SASP ?
Ben à Sitterlé tant qu'il sera dans le club. Après plus. Donc on ne peut plus l'accuser de vouloir se faire la peau grasse sur le racing.
On ne peut PLUS l'accuser, mais force est de constater qu'il a quand même tenté le coup ^^ Et que pour une raison X ou Y, il a décidé de faire marche arrière (preuve que le soit disant complot qu'il a mis en avant était bidon?) Bref, on verra la suite, rien ne sera signé non plus dans la foulée et je ne serais pas étonné que Godin relâche de nouvelles cartouches dans les prochains jours. -
bou a écrit, le 2012-02-20 21:25:06 : Effectivement Xeliem67, dans la mesure où une revente de ses parts de la SASP se ferait sans bénéfices individuels sur-dimensionnés par rapport à l'investissement.
Ca c'est pas notre problème bou. Il prend un risque non négligeable en investissant dans le club. Alors s'il réussit à le valoriser mais aussi a trouver des investisseurs prêt à payer une certaine somme, ça ne nous concerne pas. -
katzo68 a écrit, le 2012-02-20 21:24:42 : Et que se passera-t-il si d'aventure les objectifs sportifs fixés ne devaient pas être atteints?
La propriété de la marque n'a théoriquement pas de lien avec les résultats sportifs. -
Tu as l'air bien informé pour savoir qu'il avait l'intention à travers cela de ce faire la peau grasse sur le racing. Cela lève une ambiguité. Nous ne pouvons pas affirmer ce que tu affirme.
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Entièrement d'accord mais à condition que cela ne se fasse pas sur le dos de l'association.
PS : en réponse au post de " jamal ". -
La convention n était du moins tant que le club est amateur pas une mauvaise solution
Ensuite la cession des actions de la SASP suffit à garantir l investisseur en cas de retrait -
Verdammi, a Facebook-Group: Une ponctuation pour schilles1979. Mensches Kìnd was häsch uff d'Schüàl g'leert? Hàn se kè Punktà, kè Accent, kè Kumma ìn dim Kàff?
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Vieux génie fatigué sans doute qui utilise l ironie quand il ne sait plus que répondre
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Sans vouloir te vexer je crois qu'il a plus de répondant que toi.
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Disons qu il est de ton avis
Et comme l anonymat créé des génies par milliers je vous laisse jugés de votre superiorite -
Il vecchio je crois toutefois que tu as besoin de révoir tes cours de droit
Pour ma part mon doctorat remonte à 1980 (sérieusement) et mes études à Strasbourg sont à l origine de ma passion jamais démentie pour le Racing -
Ah l'anonymat. Le mot est lâché. L'anonymat sur le net, belle invention. J'attends que tu nous pondes une thèse sur le sujet. Mais dans un autre topic. Il pourra être question des multi-pseudos, des amis qui vous veulent du bien, de personnalités qui avancent masquées comme ce fut le cas avec dariusliffe.
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Pour abonder dans de sens d' "il-vecchio " je trouve absolument indécent qu'on ne reconnaisse pas que j'ai " loupé " sciences-po à l'oral, que l'ENA était à ma portée si j'avais eu le niveau, que St-Cyr m'était destiné si je n'avais pas été anti-militariste et que j'aurais pu faire une carrière autrement plus glorieuse que celle que j'ai faite ( pas si mal après tout ) si je n'avais pas été incompétent.
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schilles1979 a écrit, le 2012-02-20 21:59:38 :
Ensuite la cession des actions de la SASP suffit à garantir l investisseur en cas de retrait
Revendre un club 5 millions si son investissement se mesure à cette somme est loin d'être garanti. Il y a mieux comme investissement j'imagine si on cherche à spéculer... -
Oui cent fois oui même si cet argument comme tous les autres d ailleurs n arrêtent pas GODIN et ses admirateurs
Eux seuls détiennent LA VERITE -
Sitterlé fait marche arrière
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Les interventions de Robert Grossmann et Jean-Emmanuel Robert (au fond) ont permis à la Ville d'exprimer clairement sa position et de dévoiler la marche arrière de Frédéric Sitterlé sur la convention de marque. Photo S.G.
Sous la pression d'une municipalité unie comme jamais, le nouvel homme fort du club strasbourgeois Frédéric Sitterlé a accepté de réintégrer la marque RCS dans la SASP. Il renonce au contrat de licence censé être signé par l'association amateur au profit de sa holding Blodelsheim Media Venture et va vite devoir fournir à la Ville des garanties bancaires sur son futur investissement.
« Le contrat de licence de marque a bien existé. Ça n'a pas été un mirage. Mais le maire a exprimé le cadre de ce qui était acceptable et de ce qui ne l'était pas. Frédéric Sitterlé a bien compris le message et proposé de retirer cette convention de marque. C'est une avancée. Mais ça ne suffit pas à dire que tout est rose et qu'on est dans le meilleur des mondes. »
Alain Fontanel, l'adjoint aux finances de la Ville de Strasbourg, ne s'était pas encore exprimé sur la situation plus que tendue au Racing depuis fin décembre. En conseil municipal hier en début de soirée, l'élu est sorti de sa réserve, poussé à le faire par l'interpellation du conseiller d'opposition Jean-Emmanuel Robert, publiée dans son intégralité sur notre site vendredi. L'épilogue d'une longue journée débutée dans la matinée par une entrevue « cordiale et ferme » entre Roland Ries et Frédéric Sitterlé, devant une demi-douzaine de témoins (dont Alain Fontanel, l'adjoint aux sports Serge Oehler, le président de l'association Patrick Spielmann et son trésorier Gérard Lehr). Une façon à peine déguisée de dire qu'elle a sans doute été un brin musclée.
Lors de la séance de ce lundi, Frédéric Sitterlé a réussi un fait rarissime à la salle des conseils : unir la majorité et l'opposition, souvent peu enclines à se faire des cadeaux, pour servir une même cause, le Racing et la préservation de ses intérêts. Alain Fontanel et Roland Ries n'ont d'ailleurs pas manqué de remercier J.-E. Robert pour son interpellation, le maire allant même jusqu'à avouer que leurs analyses « n'étaient pas si éloignées », son adjoint aux finances lui faisant écho en évoquant « des positions proches et convergentes. »
Quelles étaient-elles ? Sur ce sujet, l'ancien maire délégué Robert Grossmann, aujourd'hui dans l'opposition, s'est montré plus qu'offensif : « Nous avons validé en octobre les subventions d'aide à la reconstruction du RCS (Ndlr : 650 000 euros pour la Ville et la CUS auxquels s'ajoutent 100 000 euros d'achat de prestations) parce que vous (Alain Fontanel) nous avez assuré que l'investisseur allait injecter 2,3 millions d'euros. Or, que découvre-t-on quelques mois plus tard ? Qu'il n'a pas mis un kopeck, ni un centime d'euro. Et qu'il porte maintenant de lourdes accusations en invoquant certaines malversations à l'association. Je l'ai rencontré deux fois et lui ai demandé qui il visait par ces accusations. Il m'a dit qu'il ne pouvait rien dire. Mais il n'en a pas moins jeté la suspicion sur certaines personnes. Aujourd'hui (hier) , le journal « L'Alsace » a publié la convention de marque qui garantissait à M. Sitterlé et sa holding une rente. C'est noir sur blanc. Ce n'est pas la presse qui l'a inventée. »
L'ironie de Robert Grossmann
A. Fontanel a d'ailleurs confirmé être en sa possession depuis plusieurs semaines (1). Il a surtout informé le conseil municipal que Frédéric Sitterlé l'avait abandonnée. En fait, de la réunion de la matinée sont ressortis quatre éléments principaux, détaillés par l'adjoint aux finances : « 1. La réintégration attendue de la marque dans la SASP (Société anonyme sportive professionnelle) . 2. La rédaction d'une convention de gestion équilibrée entre la SASP et l'association sous le contrôle du ministère de la Jeunesse et des Sports et d'un conseil juridique indépendant(2). 3. La réaffirmation de la primauté de la responsabilité financière du privé dans le financement du club, avec un étalement de nos contributions et la nécessaire sécurisation des mises de fonds de Frédéric Sitterlé avec des engagements écrits de part et d'autre. 4. La prochaine audition de Frédéric Sitterlé en commission Ville et/ou CUS. »
L'élu a donc clairement indiqué que les subventions de la Ville pourraient être revues à la baisse si les engagements de Sitterlé l'étaient aussi, de manière à ce que la participation de la Ville et la CUS n'excède pas 20 % du budget du club.
En prenant connaissance de ces informations datées du matin, Robert Grossmann n'a pu s'empêcher de manier l'ironie, se félicitant que « M. Sitterlé redevienne le philanthrope, l'ami des sports et l'amoureux du Racing que nous sommes aussi. Quand il y a une coalition d'authentiques amoureux du Racing, M. Sitterlé fait sans doute marche arrière. Nous venons à l'instant seulement de sortir d'une très sale période. Jusqu'à aujourd'hui, nous avions des éléments qui nous permettaient de penser qu'on avait fait main basse sur le Racing avec l'argent des contribuables. »
Fermez le ban. Du moins pour l'instant. Car il reste maintenant à s'atteler à la rédaction de la convention de gestion liant la future SASP et l'association amateur « pour trouver un équilibre intelligent et respectueux du rôle de chacun » (Fontanel). Dans les prochains jours, Frédéric Sitterlé devra apporter à la Ville des garanties bancaires authentifiant sa surface financière et sa capacité à répondre aux besoins d'argent du club. Pour prouver qu'il est bien l'hôte de marque qu'il prétend être depuis son arrivée aux manettes du RCS.
(1) Hier, Frédéric Sitterlé a déclaré sur France 3 Alsace que ce document n'était qu'une ébauche. Trois moutures ont été discutées, la dernière il y a quelques jours seulement. Dans les trois figuraient les montants de la location de la marque parus sur notre site ce lundi.
(2) Alain Fontanel avait déjà émis cette idée lors du conseil d'administration de l'association le lundi 6 février. Mais Frédéric Sitterlé s'y était opposé.
L'Alsace -
Dans l'interview de Sitterlé sur Alsace 20 (vers 3min20), pourtant tournée après la fameuse réunion avec la Mairie, les choses ne sont pas aussi claires ...
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C'est-à-dire ?
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Faudrait que je revoie la vidéo, mais l'idée de la convention de marque était de la mettre à la disposition gratuitement de l'association, qui serait alors subventionnée par une SASP à la hauteur des montants qu'on a pu lire ci ou là, sachant que l'association choisirait la SASP avec qui elle voudrait travailler (pour 5 ans alors du coup ?).
Bref rien à voir avec ce que j'ai pu lire dans les autres médias. -
Comme l'a dit Strohteam la marque à la SASP - voir à l'association - c'est une très bonne chose. Le coup de gueule de Spielmann & les coups d'épée de Godin ont eu l'effet escompté. Au final chacun peut tranquillement croire aux histoires qui arrangent sa conscience, l'important c'est que le Racing redevienne propriétaire de sa marque (+)
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Et que l'on reparle de foot
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