Le Racing des années 90
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jiminho34ème et derniere journée avant les barrages
Le11/05/91
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Voici la fiche manquante du match RCS-Lens saison 94-95 (+)
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Voilà, la saison 90/91 est à découvrir en détails sur le stub !
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avant rcs - om ...
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Didier Meilleur buteur du Racing et mon joueur préféré durant mes premieres années de supporters à la Meinau!
Je me décide alors de le rencontrer et de lui offrir un Cadeau!
Billet Didier Monczuk 90-91 -
L'atout Coupe
Coupe de France, Coupe de la Ligue, Coupe d'Europe : ce Racing des années 90 aimait les matches couperet.
L'année de la montée avec Baills, Hughes, Bouafia, Farina en renfort, le Racing flirte longtemps avec la Coupe d'Europe (8e), mais la saison sera surtout entachée par le bras de fer que se livrent Gilbert Gress et le président Jean Wendling autour du transfert de José Cobos au PSG. De guerre lasse, l'ancien défenseur des sixties se retire sans solliciter un nouveau mandat et c'est Roland Weller qui prend les rênes du Racing.
Le nouvel homme fort du club strasbourgeois, dont la gouaille, le franc-parler et les interventions inopinées dans les vestiaires font désormais partie du livre d'or du RCS, mène le club comme son entreprise, « l'Alsacienne de restauration ». Une main de fer dans un gant de velours. Il aime son Racing, il adore ses joueurs. Qui le lui rendront bien.
Au bout du...dix-huitième tir
Conduits par Jacky Duguépéroux , les Bleus d'Alsace se hissent jusqu'en finale de la Coupe de France le 13 mai 1995 face au Paris St-Germain. Par manque d'audace, Strasbourg s'incline 1-0 sur une frappe de Le Guen. Et pourtant, ce Racing-là n'a peut-être jamais été aussi séduisant sur le papier : Vencel, Baills, Leboeuf, Pouliquen, Garde, Djetou, Sauzée, Mostovoï, Gravelaine, Keller étaient de l'aventure du Parc, alors qu'Ismäel et Dacourt patientaient dans l'antichambre.
Dès lors le Racing va se mettre à construire l'Europe. Une première saison pour voir, via la « Coupe à Toto », comme aimait en plaisanter Frank Leboeuf. Avec en novembre 1995 une élimination sans rougir devant les stars du Milan AC (Panucci, Costacurta, Baresi, Maldini, Desailly, Boban, Savicevic, Baggio, Simone, Weah).
D'une Coupe à l'autre, il n'y a qu'un pas que le Racing franchit le 12 avril 1997. La bande à « Dugué » s'empare de la Coupe de la Ligue après la séance de tirs au but face à Bordeaux (0-0). Au bout du... dix-huitième, c'est Stéphane Collet qui offre le précieux trophée annonciateur d'une magnifique campagne européenne contre les Rangers, Liverpool et Milan.
Quant à Roland Weller, il quitte la scène sur un triomphe, laissant à contrecoeur ce précieux héritage à McCormack...
source : DNA -
je ne sais pas si vous aviez déjà postée cette vidéo...
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Super coup de patte de Gravelaine dommage qu'elle est touché la transversale !
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Me souviens parfaitement d ece match : J'avais réussi à emmener mon Père au stade. Il faisait une chaleur accablante !
Plein de chôses incroyables dans cette vidéo :
- les looks de Gilardi-Balbir et Lama !
- Le vendange de Rott en fin de match :)
Malheureusement pour nous les Parisiens auront leur revanche quelques mois plus tard ... le 13 mai 1995 :( -
Mine de rien il y a tout de même 2 anciens strasbourgeois sur cette photo:
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Trois avec Lemerre. :-B
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Je pensais aux anciens joueurs à vrai dire mais c'est vrai qu'on peut rajouter Lemerre si on compte l'encadrement.
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Garde - Baticle, amitié d'Alsace
Mercredi 23 novembre à Tola Vologe. Après le nul de la veille contre l'Ajax, le décrassage vient de s'achever. Rémi Garde, déjà changé, et Gérald Baticle « débriefent » le match. Depuis 1995-1996 au RCS, les deux hommes n'ont jamais cessé d'échanger. Photo S.G.
L'entraîneur de l'Olympique lyonnais Rémi Garde et son adjoint Gérald Baticle se sont connus à Strasbourg en 1995-1996. Leur complicité, née à la Meinau, les a amenés à travailler ensemble quinze ans plus tard.
Robert Félix, le regretté intendant du Racing Strasbourg disparu en juillet 2010, ne manquait jamais une occasion de le rappeler : « Rémi (Garde) fait partie de ces joueurs rares qui m'ont conforté dans mon amour de ce métier et de ce milieu. »
En plus d'un demi-siècle au service du club, « Robby » - comme le surnommaient affectueusement ses amis - en a pourtant vu passer, des générations de Racingmen. Mais Rémi Garde a toujours occupé une place à part dans son coeur. Depuis le départ de celui que Jean-Michel Aulas a promu le 22 juin entraîneur de l'Olympique lyonnais, les deux hommes ne s'étaient jamais éloignés, jusqu'à ce que la mort les sépare. « Pour moi, passer de Lyon, d'où je suis originaire et où j'avais été formé, à Strasbourg a été compliqué. Robert a été un père pour moi », confie sans fausse pudeur l'ancien international.
Quinze ans après avoir quitté Strasbourg, Rémi Garde, la silhouette toujours svelte, n'a pas changé. En ce mercredi 23 novembre, au centre d'entraînement de Tola Vologe, l'ex-milieu de terrain honore sa parole. Aucun point presse n'est prévu au lendemain d'un nul 0-0 contre l'Ajax d'Amsterdam qui élimine pratiquement l'OL de la course aux 8 es de finale de la Ligue des champions. Mais depuis quelques jours, l'ex-Racingman a accepté de recevoir « L'Alsace » pour évoquer ce qui le caractérise le mieux : sa fidélité. Celle qui l'a conduit à faire cet été de son ancien capitaine au RCS, Gérald Baticle, son adjoint du côté de Gerland.
Ce matin-là, l'horizon de Lyon en Champions'League est plus bouché que le ciel bleu azur et ensoleillé qui surplombe Tola Vologe. L'heure n'est guère propice à évoquer le passé, fût-il aussi plaisant que cette amitié entre le coach rhodanien et son ancien coéquipier qui prend sa source dans le Krimmeri, la rivière qui serpente le long de la Meinau. Mais le rendez-vous est pris et le technicien lyonnais ne se dérobera pas.
Garde (1993-1996) et Baticle (1995-1998) n'ont joué qu'un an ensemble à Strasbourg. L'un était discret, l'autre, plus loquace. L'eau et le feu, en somme. « Lors des mises au vert, je partageais la chambre avec Marc (Keller) », se souvient « Gégé » Baticle, « Un jour où Marc était absent, je me suis retrouvé avec Rémi qui relevait de blessure. Nous avons passé des heures à discuter. J'ai pris beaucoup de plaisir. Nous étions en harmonie. Sur le moment, je n'ai pas vraiment compris que nous avions tissé des liens aussi forts. Du reste, quand il est parti à Arsenal, nous nous sommes un peu perdus de vue. Puis à la fin de sa carrière, il est devenu consultant pour Canal + et nous nous sommes retrouvés quand il venait commenter à Metz où je jouais. »
Contrairement à ce que leurs natures sinon opposées, du moins éloignées pourraient donner à penser, ce n'est pas l'expansif Baticle qui a renoué le fil d'une amitié en sommeil. « Autant Rémi est plus discret que moi, autant il est d'une fidélité rare. Il n'hésite jamais à appeler ses potes. Quand il est rentré sur Lyon, nos relations se sont intensifiées. Rémi a fait l'effort de les entretenir. Nous échangions nos idées, nos états d'âme aussi. Lorsqu'il était au recrutement à l'OL et moi, entraîneur des 18 ans à Auxerre, il venait souvent observer nos matches. Il mangeait à la maison. »
Garde a donc été le premier gardien de leur complicité. Mais dans sa démarche, il ne décèle nul paradoxe. « D'abord parce je n'ai pas eu l'impression de ne rien recevoir en retour. De par ma nature, je vais moins vers les gens que Gérald. Lui est plus ouvert aux autres, plus extraverti. Mais je suis peut-être plus entier. Comme je noue moins d'amitiés, je fidélise plus vite dès que je perçois chez mon interlocuteur l'ouverture d'esprit que je recherche. Cette ouverture d'esprit est d'ailleurs le trait commun entre tous mes proches. Gérald a beaucoup de qualités humaines. Entre nous, c'est tout simplement de l'amitié. »
De l'admiration aussi. Celle qu'un Baticle parfois souvent fonceur voue à un Garde plus en retenue. « Rémi est quelqu'un de calme, réfléchi, discret, mais plein d'humour, même si dans sa nouvelle fonction, il y a moins de place pour l'humour. J'aime son sens de la dérision, sa finesse, son intelligence. Ces qualités, il les avait déjà à Strasbourg. Il est très organisé, très structuré. Il a toujours besoin d'un temps de réflexion, parce qu'il aime disposer de tous les éléments avant de prendre une décision. Moi, pas. Je fonctionne plutôt au feeling et ça n'aide pas toujours à faire les bons choix. »
Cette autoanalyse ne s'applique naturellement pas à sa dernière orientation professionnelle, prise en début d'été après un coup de fil de son ami. « Rémi, directeur du centre de formation depuis 2010, m'a proposé le poste d'entraîneur des U19. Après un court temps de réflexion, je lui ai dit oui. Mais une semaine plus tard, il m'a rappelé pour me dire qu'on lui avait offert d'entraîner l'équipe première, qu'il réfléchissait, mais avait besoin de savoir si j'étais prêt à le suivre. J'ai dit banco. Pour moi, ce rôle d'adjoint était nouveau et la relation avec le coach n° 1 était primordiale. Avec Rémi, nous n'avons pas besoin de parler des heures pour savoir ce que l'autre ressent. »
Besoin, non. Envie, oui. Comme lors des mises au vert au Racing en 1995-96, à une époque où ils n'avaient pas encore compris avoir « tissé des liens aussi forts. »
L'Alsace -
Pas mal de têtes connues sur cette photo... (d'ailleurs il n'y avait pas un topic avec des vieilles photos d'effectif du Racing et des devinettes
)
La légende est totalement fantaisiste, saurez-vous la corriger ?
Désolé pour le grain pourri de ce vieil extrait poussiéreux
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Le placement des joueurs et de l'encadrement est vraiment du grand n'importe quoi effectivement !
En bas et aux deux extrémité en partant de la gauche vers la droite, je reconnais GEMMRICH puis HASEK ça c'est sur, après je dirais ZOETCHE ?,ORSONI ?, GUERRA, LECLERC ?, PERRON, CHRISTEN ?, SPECHT.
Au milieu et de gauche a droite, WENDLING, HILD, ZIX, GERALDES ?, DJORKAEFF, au bout JENNER, ETAME, JANIN et en haut a droite de SANSONE, MONCZUK .... -
Ah oué, c'est un peu du n'imp'....
Allez premier jet:
Premier Rang assis: Gemmerich, Hasek, ? , Geraldes, Guerra, V.Cobos, Péron, ?, Specht
Deuxième rang debout: Chaky Kientz, Max Hild, ?(Christen peut être), Soppo Din, Djorkaeff, ?, Zoetsche, ?, ?, Dall'Oglio, Etamé, Janin, ?, ?.
Troisième Rang: Weber (?), ?,? Sansone, Monczuck, J.Cobos, Kientz (qui venait d'Erstein pour l'anecdote). -
Première version pour les joueurs (de gauche à droite) :
En haut : Weber, Didaux, Dall'Oglio, Sansone, Monczuk, Cobos J.,
Au milieu Sopo Din, Djorkaeff, ?, Zoetschke, ?, Leclerc, Jenner, Etamé
En bas : Hasek, Christen, ?, Guerra, Cobos V, Péron, ?
Quasi sûr sur les noms donnés; un doute pour Christen. -
D'accord au final avec l'inversion Jenner-Dall'Oglio.
Le pantalon à carreau doit être effectivement Wendling plus que Chaky Kientz. -
A nous trois, on en place quand même un paquet de manière certaine....
Pour SOPPO DIN a gauche de DJORKAEFF je confirme maintenant... tout comme pour WEBER, DIDEAUX et DALL'OGLIO en haut et a gauche de SANSONE. -
conan a écrit, le 2014-05-22 13:18:15 : D'accord au final avec l'inversion Jenner-Dall'Oglio.
Le pantalon à carreau doit être effectivement Wendling plus que Chaky Kientz.
Pour WENDLING je suis certain... -
A coté de Perron c est Jean Marc Frotey
Et a coté de Youri peut etre Eric Rolling -
Mes propositions-synthèse (de bas en haut):
Gemmrich (entraîneur-adjoint) - Hasek - Christen - Géraldès - Guerra - V. Cobos - Péron - Frotey - Specht (entraîneur)
Wendling - Hild - ? - Soppo-Din - Djorkaeff - Orsoni - Zoetsche - Rolling - Leclerc - Jenner - Etamé - Janin (adjoint ou formation) - Zix (avec la chemise ?) - ?
Weber - Didaux - Dall'Oglio - Sansone - Monczuk - J. Cobos - F. Kientz
Les deux hommes en "training" (:D) devaient être kinés.
Jacky Kientz semble absent de la photo.
Merci et bravo à vous ! En fait le topic que je cherchais était Racing Nostalgie, avec plein de photos similaires.
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