[2006-2007] RCS - FC Metz | Avant Match
Flux RSS 584 messages · 24.712 lectures · Premier message par katzo68 · Dernier message par katzo68
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jamal« C'était magique ! »
Quinze ans après la nuit folle de la remontée, Jacky Paillard n'a rien oublié. Auteur d'un doublé contre Rennes, l'ex-milieu de terrain strasbourgeois incarne en quelque sorte un trait d'union entre les belles images du passé et l'instantané de demain.
Il est des choses qui ne s'oublient pas. Dans la mémoire collective des supporters strasbourgeois, la date du 13 mai 1992 est imprimée à jamais. Ce jour-là, le Racing jouait son avenir, sa vie et un peu plus encore sur un match. C'était contre Rennes, dans une Meinau remplie jusqu'aux cintres.
Après quatre saisons passées à mariner dans les limbes de ce qui s'appelait alors la Division 2, l'espoir de retrouver la lumière s'offrait à lui. L'attente était d'autant plus grande que les deux saisons précédentes s'étaient terminées en eau de boudin. Tour à tour, Nice et Lens avaient brisé le rêve au moment d'aborder l'ultime obstacle : les barrages.
« Pour rentabiliser ton arrivée, marque ! »
Une formule cruelle, à la vie à la mort, mais terriblement grisante pour qui en sort victorieux. Ce soir-là, le Racing était parvenu à chasser ses vieux démons. Sa prestation, après l'encourageant nul ramené de Bretagne à l'aller (0-0), fut énorme. La tête décroisée de Cobos, l'égalisation magistrale de Le Dizet, et surtout la frappe flottante venue d'ailleurs de Stephen Keshi, ont participé à la légende de cette nuit magique.
Plus diffus, en revanche, sont les souvenirs du doublé de Jacky Paillard. Lui, le petit Mayennais pas habitué à marquer, qui est venu sceller le triomphe (4-1). A l'évocation de cette soirée, la voix de l'ex-milieu récupérateur s'anime.
« Bien sûr que je m'en souviens, dit celui qui a porté durant trois saisons le maillot bleu. Le décalage de Marc Keller sur le premier, le centre d'Yvon Pouliquen sur le second... Un truc de fou. Surtout que c'était un contexte particulier, face à Rennes, le club qui m'avait envoyé balader une saison plus tôt. Je me souviens aussi que Gilbert Gress m'avait chambré : "Pour rentabiliser ton arrivée, marque ! »
Aujourd'hui, Jacky Paillard a coupé les ponts avec le petit monde du ballon rond. A 44 ans, l'homme tient le Bo'Bar, petit restaurant qui donne sur la place Victor Hugo, à Toulouse. « Je suis resté dans la ville où j'ai terminé ma carrière, poursuit-il. Après avoir raccroché, j'ai rejoint un petit club dans le Gers. Puis j'ai tout arrêté. »
Malgré la distance, à la fois géographique et temporelle, l'ex-international se tient informé. « Je m'intéresse à l'actualité de tous les clubs où je suis passé, précise-t-il. Je sais que le Racing dispute ce vendredi son match de l'année ! »
Même si elle est tentante, Paillard ne risque pas une comparaison entre les deux événements, distants de quinze ans. « Non, c'est vraiment différent, explique celui qui était arrivé à Strasbourg pour suppléer Ivan Hasek, à la carrière contrariée par des blessures récurrentes. Moi, je découvrais la D2, et ce n'était pas une partie de plaisir. Il y eu des matches à couteaux tirés, dans des endroits improbables.... »
« Rien ne vaut cette soirée-là »
« Avec le système des barrages, c'était beaucoup plus dur, poursuit-il. Là, le Racing va affronter une équipe de Metz qu'il connaît par coeur. Le Stade Rennais, il était en D1. On ne savait pas trop à quoi s'attendre. Il y avait un vrai aspect dramatique dans cette double confrontation. »
Si le contexte a évolué, le fond, finalement, reste inchangé. Le Racing de Papin aborde ce sommet avec la même envie que celui de Gress quinze ans plus tôt. « Je n'ai pas de conseils à donner, si ce n'est celui de ne rien changer aux habitudes, dit Paillard, qui semble restituer les consignes de l'époque : "Ne pas se prendre la tête, rester serein, jouer tranquillement son football". »
Si d'aventure, les Bleus parvenaient demain à emballer la partie et parvenir à leurs fins, ils devraient à leur tour se constituer un joli chapelet de souvenirs. « J'ai joué quelques matches de Coupe d'Europe, j'ai été international, notamment avec Papin, mais rien ne vaut cette soirée-là, conclut Paillard, toujours heureux d'évoquer le bon vieux temps quand Keller ou Hasek passent par Toulouse. C'était magique ! » Il est des choses qui ne s'oublient pas.
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Le plus beau match du Racing, en intensité, que j'ai vu dans ma vie!
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Une fournaise la Meinau ce jour là
Le virage rempli dès 16H15 et le stade plein à craquer 2 heures avant le coup d'envoi 
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Oublie pas la binousse le nain!!!!! mon invitation tient tjs
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Quelqu'un a des infos sur les joueurs retenus pour demain soir ????
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Vivement demain!!! Je n'arrive plus a attendre!!!!!
Et j'ai du mal a m'imaginé que demain soir on se dit qu'on est en ligue 1, j'ai l4impression que c'est impossible!! :p
Mais bon il parrait qu'enssemble tout devient possible!! :D -
Méfiance tout de même. Les Messins ne viendront pas en victimes expiatoires.
Aujourd'hui je suis dans le même état de stress et d'excitation qu'avant le 9 juillet 2006. J'espère ne pas revivre le même cauchemard.
Puisse la fête être belle, mais il y a du boulot pour y arriver
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Je n'ai pus m'empecher, apres la lecture de l'article des DNA , de revisionner ce match mythique (+) (+) (+)
Que d'émotion, il faut qu'on mette le feu a ce match comme ca (+) Aussi bien dans les tribunes que sur le terrain.
Vivement demain soir, ca va etre chaud
En route vers la L1 ALLEZ RACING (+) (+) (+) -
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Que de bon souvenir.
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Clair, j'en ai la chair de poulpe
Merci pour les vidéos! -
Péron "vif argent" avait fait un match de malade ce soir là (+) (+)
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Est-ce que ce match se jouera vraiment à "guichets fermés" ou est-ce qu'il reste encore des places?
Et qu'est-ce que ca veut dire à "guichtes fermés", 25000, 28000??? -
Toi t'as pas encore fais ton prono :p
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Qui moi???
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Il ne reste aucune place à vendre . Il y aura entre 26800 et 28000 spectateurs selon les sources ...Par contre on en est où des drapeaux??? :D
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« Un match très dur »
C'est le vénérable modérateur du forum officiel du FC Metz, Grenatine, qui s'est prêté avec sympathie au jeu en répondant très diplomatiquement à mes questions, afin d'éviter la goutte d'eau qui met le feu aux poudres. Résultat, il a fallu traduire !
Cliquez ici pour lire la suite de cet article -
Citation: "Puisse la fête être belle, mais il y a du boulot pour y arriver"
Rien d'autre à dire, il ne faut pas que ce match se transforme en traquenard.
Sinon très bel interview :) -
Le groupe Messin (18 joueurs): Marichez, Sissoko, Bassong, Béria, Delhommeau, Diop, C. Gueye, Leoni, Agouazi, Cardy, Diakité, Djiba, Renouard, Gygax, Lantéri, B.Gueye, Aguirre, Cissé.
Source: Site Off Metz -
Excellent l'article de Father.
Julius: c'était une fine allusion au fait que dans le concours de prono il faut aussi pronostiquer le nombre de spectateurs
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Ce message est une brève publiée sur le portail.
Le groupe strasbourgeois (18 joueurs) : Cassard, Puydebois - Bellaïd, Deroff, Ekobo, Kantari, Strasser, Vergerolle - Abdessadki, Camadini, Cohade, Gasmi, Johansen, Lacour - Gameiro, João Paulo, Mouloungui, Tum.
Source: Site officiel -
aragon a écrit : Excellent l'article de Father.
Julius: c'était une fine allusion au fait que dans le concours de prono il faut aussi pronostiquer le nombre de spectateurs
la vanne de la mort O:)
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Encore une fois comme au dernier match a domicile JPP convoque 18joueurs... Est ce pour faire tous le monde se sentir concerné au maximum pour avoir sa place dans les 16?
En tout cas nous y sommes la dans la dernière ligne droite avant le grand match, la pression monte
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Espérons tout simplement qu'il n'y ai pas autant d'engouement et de ferveur pour une grosse déception demain soir et que la montée va se jouer à couteaux tirés lors de la dernière rencontre à Dijon.
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Tous en Bleu et Blanc à la Meinau !
A l'occasion du dernier match de la saison à la Meinau, le Racing Club de Strasbourg invite les 26 800 spectateurs à venir soutenir leur équipe en s'habillant aux couleurs du Club. Ce derby face au FC Metz doit être une grande fête et le Club a réservé de nombreuses surprises à ses supporters. Pour participer à cette fête, les tribunes devront être en Bleu et Blanc !
Avant ce rendez-vous, le slogan est « Tous en Bleu et Blanc ! ». Afin de colorer des tribunes qui afficheront complet, le Club propose à ses supporters de venir en arborant les couleurs du RCS. Une fois dans l'enceinte du Stade (ouverture des portes : 17h30), les 26 800 spectateurs attendus auront l'occasion, grâce à Würth Parrain de ce cette rencontre, d'afficher encore plus leur soutien à leur équipe. Plus de 20 000 drapeaux et 20 000 cartes de maquillage aux couleurs bleu et blanche seront distribués par les Clubs de Supporters. L'avant-match s'annonce festif d'autant que, dans les allées du Stade, une troupe de six musiciens (« La Fanfare en Pétard ») animera le début de soirée.
A la mi-temps du match, un grand spectacle de danse avec lâcher de ballons permettra au public de rester dans le rythme et dans l'ambiance.
Si tout se passe bien, le Racing pourrait donc retrouver la Ligue 1 à l'issue de cette rencontre...
SO
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