Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2006-2007] RCS - FC Metz | Avant Match

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Flux RSS 584 messages · 24.712 lectures · Premier message par katzo68 · Dernier message par katzo68

  • ça arrive même au racing ça? étonnant
  • J'espere qu'on va gagné avec une super ambiance mais c'est pas metz qui me fais peur c'est qu'a chaque fois qu'il y a un coup a jouer le racing est a côté de ces pompes (et c'est vraiment un très gros coup)mais bon j'ai espoir !! (+)
  • Le Racing va a nouveau nous livrer une de ces entames de matches pourrave dont il a le secret, pour s'imposer à la 95e et monter en L1!!! =D
  • si ont s'impose a la 95ème je coirs que le stade va explosé...
  • si ça explose ce sera vraiment à la fin parce que durant le match je crains le pire niveau ambiance :-s
  • C'est un peu ce que je crains (voir mon message plus haut). Si la Meinau est pleine, c'est aussi du à la présence de touristes. J'ai bien peur que si le score est toujours à 0-0 à l'heure de jeu, voire à la pause, des sifflets vont commencer à tomber :|s :-s
  • ca dépend... le public ne chantera pas si on est mené, si on est a 0-0 ou 1-0 on sentira le stress a 2-0 ca commence a se dégager on entend déja un peut plus les tribunes et a partir de 3-0 c'est de la folie dans les tribunes et a 5-0 ... :(( les larmes de joie...
    d'ailleur je pense qu'on les aura en cas de monté avec nimporte quel résultat...
  • Personellement je pense qu'il y a quand même un engouement pour ce match et que ceux qui ont réussis à avoir les billets soutiendront pleinement le racing. Maintenant c'est sur que si l'on perd 2-0 au bout de 10 minutes de jeu y aura des sifflets.

    Enfin pour ma part je reste confiant sur ce match, et pas sur non plus qu'amiens réussisse à s'imposer à créteil qui lutte encore pour le maintien.
  • Faisons un pacte: nous serons dispersés mais répondont tous sans exeption aux "c'est nous les strasbourgeois"; criont de toutes nos forces et tout le monde suivra.
  • Si y'en qui siffle, même à 2-0 il y'a des baffes qui vont se perdent; parceque là y'a pas à réfléchier c'est 90 min derrière les joueurs. Aprés chacun fait ce qu'il veut, mais quand on est à 3 points de la montée, on se doit d'être solidaire.
  • 95 minutes guigues, pas 90. [-X
  • ok, ok :p
    j'aime aussi bien ma nouvelle expression : "ya pas à réfléchier" (+)
  • marc a écrit :
    95 minutes guigues, pas 90. [-X


    C'est important de le préciser. Parce qu'il y a des entraineurs qui croivent qu'un match c'est 90 minutes... :D
  • En tout cas demain à cette heure on connaîtra notre sort !
  • :|s :|s :|s :|s

    on
  • Pas forcément!
  • on s'appretra a tirer le feu d'artifice ou a se tirer une balle dans la tete :|s
  • athor a écrit :
    Si la Meinau est pleine, c'est aussi du à la présence de touristes.


    Tu parles des Messins la ?? :D
  • katzo68 a écrit :
    Pas forcément!


    Exact, tout le monde se monte la tête pour ce match, mais une victoire au pays de la moutarde aurait exactement le même résultat :-'
  • le feu d'artifice en moins et une ambiance de fou en moins....
  • Exactement, ne nous mettons pas de pression inutile!
  • Ben y en aura certain d'entre nous qui seront la pour mettre l'ambiance !
  • ouai mais bon yaurai quand meme 25950 personnes en moins
  • Le retour de Johansen.

    JPP et Francis De Taddeo, qui appartenaient à la même promotion reçue au DEPF (Diplôme d'entraîneur professionnel de football), ont chacun retenu 18 joueurs. Le coach du RCS a simplrement indiqué qu'il ne dérogerait pas à son traditionnel 4-4-2. Mais son onze de départ ne devrait guère différer de celui qui s'est imposé vendredi à Bastia. Sorti à la pause en Corse après une première période délicate, Yves Deroff devrait cependant s'effacer au poste de latéral droit. Yacine Abdessadki redescendrait ainsi d'un cran pour libérer une place dans l'entrejeu à Pascal Johansen de retour de blessure.

    Quant à De Taddéo, "un homme très discret, mais terriblement efficace à qui j'adresse un grand bravo (Papin)", il pourrait opter pour une défense à cinq. Le suisse Daniel Gygax, double buteur décisif contre Châteauroux le 13 avril (2-0), sera sans doute associé en pointe à Babacar Gueye (3e buteur de L2 avec 16 buts) de préférence à Papiss Cissé (12 buts).

    Camadini se moque de jouer.

    Ca pourrait passer pour de la provocation. Ce n'en est pas. Intérrogé hier sur son impatience de jouer un derby a guichets fermés, Pascal Camadini a simplement rétorqué qu'il aspirait, comme tout joueur, à le disputer, mais que savoir s'il serait titulaire ou non lui importait peu. Une façon de souligner que l'enjeu collectif primera ce soir les intérêts personels. "J'ai passé l'âge de m'inquiéter en attendant de savoir si je vais jouer ou non. L'essentiel, c'est de gagner contre Metz. Remplçant, titulaire ou même 17e ou 18e, tout le monde sera mobilisé. Tout est reuni pour faire de ce vendredi une grande soirée, avec du monde, une grosse ambiance et un bel adversaire, le champion de L2. Il reste à décrocher la victoire pour que la coupe soit pleine. Le Racing est tout près du but, mais il n'y est pas encore. Il nous reste une marche à franchir, une grosse marche. "Un discours auquel adhère JPP: "Cette dernière marche est souvent la plus dure."

    Tum se voit en "faux frère"

    Messin de 2004 à 2006, Hervé Tum espère jouer un vilain tour aux Messins et marquer de son empreinte ce qu'il souhaite être le match de la montée. Malgré ses 10 buts officiels (7 en championnat, 3 en Coupe de France contre Ostwald au 8e tour), l'attaquant camerounais n'est pour l'heure pas satisfait de son bilan. "Je ne pense pas avoir rendu les services qu'on attendait de moi. Mon rendement à été limité, notamment en raison des blessures. Une première année dans un nouveau club n'est jamais facile, à fortiori quand on connaît beaucoup de problèmes de santé. Mais je suis toujours resté au service de l'équipe, je me suis souvent sacrifié pour elle et je me suis montré combattif quand il fallait prendre des points, dans un registre parfois pas évident. Je sais qu'en un match, sans effacer complètement l'impression mitigée qui est la mienne, je peux faire de cette saison un moment inoubliable."

    Source: L'Alsace
  • Que la nuit soit bleue

    Un an après l'avoir quittée, le Racing a ce soir une occasion en or de retrouver la Ligue 1. Dans une Meinau pleine à craquer, et face aux voisins messins, autres pénitents déjà absous, les hommes de Papin veulent en finir à leur tour. Si possible dans l'allégresse et la joie. Les supporteurs n'attendent que ça...

    Ça y est. Le Racing est presque arrivé au bout du chemin. Son périple à l'issue longtemps incertaine, entamé voilà maintenant dix mois dans ce même stade, peut s'achever de manière éclatante. Et ce à une journée de la fin. Une victoire contre Metz lui ouvrirait à coup sûr les portes de la Ligue 1, élite que les Bleus avaient délaissée la mort dans l'âme au printemps dernier.
    « On sait d'où on vient et ce qu'on a à faire », martèle Jean-Pierre Papin, l'homme qui a mené avec l'enthousiasme et la ferveur d'un débutant cette croisade rédemptrice. Parti de rien, ou tout du moins de loin, le Racing s'est forgé une identité et a développé une force de caractère à toute épreuve, au long d'un parcours tout sauf rectiligne.

    « Ce groupe
    a une âme »


    Ceux qui se souviennent de la prestation mièvre lors de l'acte inaugural, un soir de juillet contre Dijon (0-0), peuvent mesurer l'ampleur des progrès réalisés. « Rien n'a été facile, mais l'équipe s'est construite progressivement, poursuit Papin. Par rapport au match de Dijon, on voit tout le travail qui a été abattu. Malgré les difficultés, il n'y a jamais eu de lassitude. Ce groupe a une âme. »
    Une âme de guerrier, qui a souvent permis de renverser des situations compromises, voire désespérées. Et empêché le doute de prendre racine. Imperméables aux critiques et au scepticisme du public, les Bleus ont suivi leur petit bonhomme de chemin, sûrs de leur fait.

    En transformant la Meinau en bastille imprenable - la dernière du championnat -, ils ont posé les jalons de leur réussite. Et c'est justement dans cette antre, d'où les sifflets sont parfois tombés de manière drue, que leur billet peut être définitivement validé. C'est même dans un certain confort que le Racing accueille le champion, titré depuis près de trois semaines et en partie démobilisé. « C'est vrai que l'on a un joker, poursuit Papin. Nos quatre points d'avance sur Amiens ne nous obligent pas forcément à gagner. » Si les Picards venaient à s'incliner sur la pelouse de Créteil, équipe à la lutte pour le maintien, l'affaire serait pliée.

    « Notre finale de la Ligue
    des Champions à nous »


    « On ne peut pas compter là dessus, tempère Papin. Le vrai leitmotiv, c'est de gagner. Histoire aussi de rabattre le caquet à Ludovic Batelli (l'entraîneur d'Amiens qui avait eu des propos virulents après la victoire du Racing à Bastia, s'étonnant que Strasbourg finisse toujours par s'imposer) qui nous a insultés en nous manquant de respect. »

    Si la sortie hardie du coach picard a pimenté la semaine, Papin n'aura pas recours à un long discours pour motiver les siens. « Tout le monde veut en être, et c'est normal, savoure JPP, qui a emmené hier soir 18 joueurs pour une mise au vert. C'est notre Ligue des Champions à nous. En face, on aura Milan ou Liverpool... »
    A défaut de disposer des mêmes atouts que les deux finalistes de la « reine » des coupes, Metz n'en reste pas moins un adversaire coriace. En décembre dernier, des Strasbourgeois timorés et vite dépassés avaient essuyé les foudres des Grenats. Pour ce qui reste la plus grosse dérouillée de la saison (4-1).
    Longtemps, les Strasbourgeois se sont retranchés derrière un discours de circonstances, après une défaite jugée malencontreuse mais pas si dramatique que ça. Hier, dans un élan de franchise, Papin a tenu à briser la glace.
    « C'est notre pire match, avec un scénario catastrophe qui a gâché la première partie de la saison, reconnaît-il. Un but contre son camp, une expulsion, un penalty : on ne pouvait pas être moins vernis. Mais parfois, ça fait du bien de se prendre une bonne claque. »
    Les Alsaciens ont peut-être vacillé sur le pelouse de Saint-Symphorien, mais ils sont restés debout. L'envie de laver cet affront habite aujourd'hui encore leur esprit. Même si la finalité de la soirée ne réside pas là, la motivation qui en découle n'en sera que plus élevée.
    Bref, tous les éléments sont réunis pour que Strasbourg vive une nouvelle nuit bleue. Quinze ans après celle qui avait fait chavirer de bonheur toute une ville, pour la remontée chapeautée par Gilbert Gress.
    « Mon groupe n'a jamais rien lâché, il mérite d'aller au-dessus », conclut Papin. Messieurs, c'est à vous de jouer...

    Dna
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