[2008-2009] RCS - Reims | Avant-match
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antorbrY'a 2 ans contre Metz la victoire était synonyme de montée. Amiens ne pouvait alors plus nous ratrapper, ce qui n'est pas le cas vendredi ou une victoire n'est pas nécessairement synonyme de montée acquise. -
Et si Lens laissait gagner Boulogne ?
Comme Barcelonne ils font jouer les remplaçants .
Lacour est confiant , ils vont tout donner et même plus pour le gagner ce match , de plus pour faire plaisir au coach Furlan . -
Si Lens avait gagné a Brest, peut-etre qu'ils pourraient laisser gagner Boulogne par sympathie pour la région.
Apres avoir perdu a Brest, je pense que Lens ne peut pas se permettre de ne pas gagner pour le dernier match a domicile car les joueurs avaient l'air assez verts de ne pas pouvoir feter la montée.
Bref, j'espere que Gervais ne demandera pas aux joueurs de lever le pied... Je ne pense pas. -
Lens a perdu à l'aller contre Boulogne. L'autre Racing sort de plusieurs saisons catastrophiques, je ne pense pas que Gervais irait se mettre le public à dos lors de la seule occasion franche de faire la fête sur les 5 dernières années.
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Quand tu sais que les deux présidents ont un repas de prévu ensemble, c'est tout de meme douteux! Maintenant peut-etre qu'ils seront d'accord pour juste se partager les points! Quoiqu'il arrive on doit gagner
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Gervais a aussi déclaré qu'il était pote avec Molinari depuis 25 ans et qu'il n'avait aucun intéret a aider qui que ce soit.
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Il y a une soirée sur Stras' prvu en cas de montée de Strasbourg ??
Style "soirée des amis du stub' fiers de la montée de leur équipe favorite" ? -
Ce ne sont pas les adversaires qui me font peur mais le Racing lui même.
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On parle de montée alors que nous avons pas encore gagné face à Reims....
De plus une victoire ne signifiera pas montée car je pense pas que les autres vont perdre.
Et quand je vois la dernière journée, lorsque le racing ira à montpellier, j'ai peur qu'on reste en L2
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zottel a écrit, le 2009-05-19 22:08:52 : Au moment de l'entrée de Romulo, vraiment, Mr. Boulonnais a applaudi à ce moment là ? Y avait un remplacement chez eux aussi
?
Les autres n'ont pas besoin de perdre. Match nul ça passe aussi.
Metz n'a pas encore gagné en Corse.
Montpellier peut ramener quelque chôse de tours
et Lens jouera peut être le jeu.
C'est pas utopique de croire à la montée vendredi -
:D (le smiley qui fait chier
)
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lenain2jard1 a écrit, le 2009-05-19 22:20:57 : zottel a écrit, le 2009-05-19 22:08:52 : Au moment de l'entrée de Romulo, vraiment, Mr. Boulonnais a applaudi à ce moment là ? Y avait un remplacement chez eux aussi ?
Les autres n'ont pas besoin de perdre. Match nul ça passe aussi.
Metz n'a pas encore gagné en Corse.
Montpellier peut ramener quelque chôse de tours
et Lens jouera peut être le jeu.
C'est pas utopique de croire à la montée vendredi
C'est résumé.
Battons reims ! Et si possible par quelques buts d'ecart, si c'est possible... -
Ca me fait bien marrer :
Ils n'auront aucun suspendu contre nous, délirant !
Decision Discipline 19 Mai -
Les sanctions sont toujours prononcées pour le lundi suivant, aucune surprise à ça, donc.
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Faut absolument gagner les deux match et seulement après on pourra regarder les autres équipes. Pas besoin de calculer c est gagner + gagner.
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Rien de plus facile.
De toute façon, Reims c'est dans la poche (lisez-vous), puis l'exploit à la Mosson contre un Montpellier sans pression puisqu'il aura battu Tours (13 matches = 9 victoires et 4 nuls) chez eux pour leur match de la saison... et on y est ! Avec Metz qui va rater son 6ème match de la saison d'affilée. Le compte y est, on est bon.
Finger in the noise (+) -
Les raisons d'y croire:
-Le Racing était mathématiquement en ligue 1 en 2002 et 2007 lors de la 37 ème journée.
-Lens veut effacer sa lourde défaite du match aller qui a été qualifiée "d'humiliante" pour le club sang et or.
-Ajaccio peut assurer définitivement son maintien en cas de victoire.
-Montpellier est l'une des équipes les plus en forme du moment. -
father-tom a écrit, le 2009-05-19 23:02:34 : Rien de plus facile.
De toute façon, Reims c'est dans la poche (lisez-vous), puis l'exploit à la Mosson contre un Montpellier sans pression puisqu'il aura battu Tours (13 matches = 9 victoires et 4 nuls) chez eux pour leur match de la saison... et on y est ! Avec Metz qui va rater son 6ème match de la saison d'affilée. Le compte y est, on est bon.
Finger in the noise (+)
En même temps, si nous supporter on y croit pas, qui y croira ?
Notre "boulot" c'est d'être un minimum optimiste pour pouvoir encourager notre équipe quand elle en besoin ! Et c'est pas en faisant les sceptiques qu'ils auront leur 12ème homme contre Reims. C'est aux joueurs et au coatch d'être réaliste. Nous, c'est un devoir d'y croire, et la montée ne se fera que si on est là ! -
Je n'ai vu personne dire que le Racing allait écraser Luis et ses gnomes et monter facile en D1.
Juste certaines personnes faire part de leurs espoirs et nuancer le lynchage en règle d'une équipe troisième et qui a toutes les cartes en main pour sa montée. -
Ce n'est pas le moment de tout balancer car vendredi se jouera la rencontre la plus importante de la saison à la Meinau,et le Racing a besoin plus que jamais de tous ses supporters.
Le résultat à Boulogne était décevant mais ça doit déjà être du passé dans nos têtes,car il faut se plonger dans la rencontre face à Reims à présent et ne plus penser à rien d'autre.
On est à Strasbourg,la Meinau c'est chez nous,alors je propose qu'on donne tout ce qu'on a vendredi prochain,histoire de montrer que nous les supporters méritons de voir notre club retrouver l'élite.
Maillots,drapeaux,écharpes,chants,tout est bon pour pousser nos gars à la victoire dans une Meinau pleine et colorée.
Allez messieurs les joueurs et amis supporters,c'est maintenant que la saison va se jouer et on y arrivera que tous ensemble. -
father-tom a écrit, le 2009-05-19 23:02:34 :
Finger in the noise (+)
My nose can't smell your noise :p -
L'art de se compliquer la tâche
Le Racing a laissé filer une bonne occasion de se rassurer à Boulogne. Tout en affichant ses limites, il a comme veillé à maintenir une tendance qui place définitivement sa saison sous le sceau de la difficulté.
Dans le plus grand port de pêche français, le Racing a été torpillé en bonne et due forme. Une mer d'huile pendant une vingtaine de minutes, la tempête qui souffle pendant un petit quart d'heure, le coup fatal du meilleur canonnier de la L 2, Grégory Thil, à la demi-heure et les protégés de Jean-Marc Furlan n'ont pas profité d'une mi-temps - la seconde - pour éviter de faire naufrage.
Il y a bien eu deux bouées, au moment de couler. Mais les tirs de Szelesi et de Ledy, cadrés, n'ont en rien réparé la coque d'un navire sombrant corps et âme. La fête de Jacques Wattez a été totale sur la Côte d'Opale avec ce vaisseau amiral envoyé par le fond.
Les limites de leurs compétences
L'homme fort de l'USBCO a célébré lundi ses quinze ans de présidence à la tête du club. Et ses joueurs lui ont offert un très joli cadeau. Le chef d'entreprise, spécialisé dans l'écorage, soit l'évaluation d'une pêche, n'a pu qu'apprécier. Un relégué au gros budget, qui plus est argenté, cela constitue une belle prise.
Sans être géniaux, les Boulonnais ont assuré l'essentiel. A deux points du podium, ils font partie du quintette de candidats aux deux places synonymes de L 1 derrière Lens, où ils se rendront vendredi.
La teneur et le verdict du sommet de la 36e journée constituent un incontestable faux pas pour le Racing. « Il y avait la possibilité de prendre une option, constate ainsi Jean-Marc Furlan lucide, mais on ne pouvait espérer au mieux qu'un match nul. L'équipe a une nouvelle fois montré son inconstance. »
Elle a surtout montré qu'elle ne sortait pas, durablement, du lot. L'entraîneur strasbourgeois en convient : « Il y a quelques équipes qui sont au même niveau, en dessous de Lens. On retrouve Tours, Strasbourg, Boulogne... et la différence ne tient à rien. »
Avant-hier, Lacour, Cohade et les autres ont peut-être une nouvelle fois touché aussi les limites de leurs compétences. Il y a une saison perturbée par les blessures, c'est vrai, et le Racing a dû composer sans Gargorov, Shereni et Pelé dans le Pas-de-Calais.
Mais il y a aussi le constat qu'au sein du bal des vampires de la L 2, légitimes dans leurs ambitions de vivre à la lumière de l'élite la saison prochaine, le Racing ne fait pas la loi sur le terrain adverse. Il a perdu à Metz (3-2), Lens (4-1), Tours (2-0) et donc Boulogne.
Le Racing perpétue la tradition
Rien n'incite donc à penser qu'il ramènera quoi que ce soit de Montpellier dans dix jours. Autant penser que c'est vendredi que son total de la saison sera atteint.
Vaincre Reims pourrait peut-être suffire (voir ci-dessous). Vaincre Reims s'avère assurément indispensable.
La chronologie juridique est susceptible de donner un petit coup de pouce à Furlan et sa bande. Ce soir, le tribunal de Rennes doit trancher le différend opposant Brest à Reims, au sujet du match de la 11e journée (lire encadré). Dans ce dossier, le club champenois est susceptible de faire une très mauvaise affaire et d'aborder le rendez-vous de la Meinau le moral dans les chaussettes et la quasi-assurance d'une relégation en National dans un coin de la tête.
Mais plutôt que d'envisager monter dès vendredi, une nouvelle fois, Jean-Marc Furlan n'a pas manqué de rabâcher le pronostic qui apparaît chaque semaine un peu plus comme un pressentiment avisé : « La montée se jouera à la dernière journée ».
Devant le raté de lundi, face à un adversaire à sa portée, il semble s'inscrire dans la tortueuse histoire d'un club naturellement agité, viscéralement compliqué. Il faut croire que le Racing perpétue la tradition.
DNA
Verdict aujourd'hui
Le 17 octobre 2008, Brest a pris le meilleur sur Reims (0-1), mais avait omis d'inscrire la titularisation de Brou Apanga sur la feuille de match.
Le club champenois avait émis une réserve au bout d'une heure de jeu. La FFF avait décidé de faire rejouer le match, remporté le 21 avril par Reims (3-2). Le club finistérien a saisi le Tribunal administratif de Rennes d'un recours en annulation.
La décision de l'organe juridique est attendu aujourd'hui. S'il suit l'avis du rapporteur public sollicité pour l'occasion, le TA devrait donner match gagné à Brest. -
Un Racing hors cadres
La défaite de lundi à Boulogne (1-0) l'a encore confirmé : en l'absence d'éléments majeurs, le RCS se transforme en équipe de Ligue 2 « immature et inconstante », selon son entraîneur Jean-Marc Furlan. Un constat maintes fois dressé cette saison.
C'est un fait. Incontestable et avéré. Qui témoigne de la fragilité de l'équilibre trouvé par le Racing cette saison et, surtout, des limites de son effectif. À chaque fois que les maladies, blessures, sélections et autres suspensions se sont conjuguées au pluriel, le club strasbourgeois s'est retrouvé en difficulté, perdant matches et points.
Lundi à Boulogne, les absences de Steven Pelé (suspendu, mais de retour vendredi contre Reims), Harlington Shereni et Emil Gargorov (touchés à la cuisse et encore forfait face aux Rémois dans 48 heures, le Bulgare étant même out jusqu'à la fin de saison) se sont révélées préjudiciables. Faut-il s'en étonner quand on sait qu'un Marcos, remis d'une blessure aux cervicales, et un Zoltan Szelesi, freiné par un long séjour sur le banc, n'avaient plus joué depuis le 13 avril à Lens ? Le Brésilien, d'ordinaire si précieux, n'a rien réussi de bon au stade de la Libération. Pas vraiment une surprise après une longue indisponibilité.
« Il suffit de deux blessés et d'un suspendu pour que nous soyons moins bons », constatait à chaud un Jean-Marc Furlan qui a déjà cent fois - ou presque - établi cette constatation. « Cette défaite à Boulogne est à l'image de notre saison et d'une équipe capable de signer de gros matches comme de passer à côté. Nous ne sommes pas les seuls. Montpellier, Tours, Boulogne et Metz, Lens même à un moment donné, sont confrontés à ces sautes de rythme. C'est pour ça que le championnat est aussi serré. J'ai connu des millésimes de L 2 bien meilleurs. »
À Strasbourg, 2008-2009 pourrait se résumer par cet aphorisme : un ou deux êtres vous manquent et tout le collectif est dépeuplé. Moins d'impact, moins d'application - peut-être pas d'implication - et le RCS repart ainsi de Boulogne avec le sentiment d'être passé à côté de son match et de quelque chose. « On a été poussifs et timorés », enrage un Grégory Paisley qui, s'il a parfois péché dans la relance, s'en est bien sorti dans son duel viril, mais correct avec Grégory Thil. « Je ne comprends pas. J'ai du mal à y croire, car c'est incroyable. Nous pouvions tout tuer et nous n'y avons même pas mis les moyens. C'est à l'image de notre saison. Nous donnons le bâton pour nous faire battre. Nous avons senti tout de suite que nous n'y étions pas. Tu as beau rameuter tes troupes et gueuler, quand le problème est collectif, c'est insoluble. »
À deux journées de la fin, le RCS garde tout de même un atout dans son jeu, selon le coordinateur sportif Ferhat Khirat : « Contrairement à nos adversaires, nous avons notre destin entre nos mains. »
« Nous jouons avec le feu »
Peut-être, mais avec un déplacement à Montpellier pour la clôture le vendredi 29 mai, il est hautement conseillé aux Bleus de s'imposer vendredi (20 h 30) à la Meinau face à un Stade de Reims au bord du précipice. « C'est vrai que nous avons encore notre destin en main », acquiesce Paisley. « Mais nous jouons avec le feu et les nerfs de nos supporters. » Même s'il assure « ne pas avoir peur », l'ex-capitaine envisage toutes les hypothèses. « Cette défaite à Boulogne est une déception d'autant plus grande que nous connaissions les enjeux. Tu as le droit de perdre chez les Boulonnais, mais seulement s'ils te sont vraiment supérieurs. Là, ils n'ont pas produit un niveau de jeu très élevé. Ça donne une idée du nôtre. Nous savons que nous pouvons très bien jouer la montée à la 95e minute du dernier match à Montpellier. Nous y sommes préparés depuis le début de saison et n'en sommes pas surpris. »
Personne ne l'est effectivement. Mais dans l'encadrement et l'environnement des Bleus, cette certitude de longue date n'empêche pas une pointe d'angoisse de poindre.
L'Alsace -
deadwing a écrit, le 2009-05-20 00:00:14 : father-tom a écrit, le 2009-05-19 23:02:34 : Rien de plus facile.
De toute façon, Reims c'est dans la poche (lisez-vous), puis l'exploit à la Mosson contre un Montpellier sans pression puisqu'il aura battu Tours (13 matches = 9 victoires et 4 nuls) chez eux pour leur match de la saison... et on y est ! Avec Metz qui va rater son 6ème match de la saison d'affilée. Le compte y est, on est bon.
Finger in the noise (+)
En même temps, si nous supporter on y croit pas, qui y croira ?
Notre "boulot" c'est d'être un minimum optimiste pour pouvoir encourager notre équipe quand elle en besoin ! Et c'est pas en faisant les sceptiques qu'ils auront leur 12ème homme contre Reims. C'est aux joueurs et au coatch d'être réaliste. Nous, c'est un devoir d'y croire, et la montée ne se fera que si on est là !
Je ne dis pas le contraire... J'espère une Meinau pleine et je serai au stade pour donner de la voix, en espérant la victoire.
Après, faut juste arrêter de dire qu'on a notre destin entre les pieds... ça revient à dire qu'on a toutes nos chances d'aller chercher les trois points ou un nul à Montpellier. Ou du moins, qu'on aurait plus de chances d'y arriver, que Metz ou Tours de remporter leurs deux derniers matches. Et c'est faux pour moi, niveau probabilité, vue la gueule du calendrier... Faut se sortir l'idée d'un exploit à Montpellier.
Le salut, c'est une victoire du Racing contre Reims, et une défaite de Metz et Tours sur les deux matches qui leur restent. Mais nos poursuivants ont autant de chances que nous au vu du calendrier, voire plus. J'irai au stade aussi, avec l'espoir d'une belle annonce du speaker sur une défaite de Boulogne et Metz, et d'un nul de Tours... C'est juste qu'il faudrait que l'issue de 3 matches nous sourit (4 avec le nôtre), c'est très tendu. -
Hello,
Enchanté de débuter sur le site. Voici ce que je viens de dénicher sur le site de l'équipe:
"La commission de discipline de la LFP a infligé de lourdes sanctions à l'encontre des divers acteurs de la bagarre déclenchée à la fin du match Reims-Nîmes (2-1), comptant pour la 32e journée de L2, le 17 avril dernier. «Quatre matches ferme ont été infligés à Michael Tacalfred (Stade de Reims), trois matches fermes à Salim Arrache, Younousse Sankharé et Christophe Mandanne (Reims)"
Outre le fait que Reims risque de perdre le match de Brest sur tapis vert ce soir, ils viendront de surcroît fortement diminués vendredi à la meinau!
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