[Arrivée][Officiel] Jean Claude Plessis
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fredclenain2jard1 a écrit, le 2010-03-14 12:13:13 : Loban ça doit être le nom que Fontenla et Ginette ont donné à la partie de leur transaction qui s'est passée sous la table ...
takl a écrit, le 2010-03-14 14:34:21 : fidelio a écrit, le 2010-03-14 12:13:00 : Pourtant,Ginestet a bien vu Loban.
Y'a bien des mecs qui ont vu le Yéti ou le monstre du Loch Ness. On est pas sûrs qu'ils existent, pourtant.
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J'ai apprécié son interview sur France bleu Alsace ce soir (de 18 heures à 18heures 30 environ)
En gros, il dit, je résume de tête :
- J'aurais préféré attendre le 24 mars pour annoncer ma venue, mais il fallait absolument informer les joueurs qu'on s'occupait d'eux, j'ai donc moi-même annoncé à Janin ma venue sans attendre.
- Je ne viens avec personne dans mes valises, les noms qui sont annoncés dans la presse ne sont pas fondés, c'est un manque de respect pour les gens en place ,ce n'est pas ma façon de fonctionner, j'ai pour habitude de d'abord rencontrer les gens en place ; il n'est pas question de directeur sportif pour l'instant
- Je serai totalement impliqué et j'irai voir le maximum de match et pas seulement l'équipe une.
- Je suis le président et c'est moi qui déciderai de tout (comprendre et non Fontenla, à qui je rendrai bien sûr des comptes) ; je serai le seul interlocuteur.
- Strasbourg est un grand club en ce sens qu'il a une histoire ; cela ne s'achète pas, et les clubs qui ont une histoire ne disparaissent jamais ;
- Je suis pas alsacien de naissance mais j'adore Strasbourg et je serai à 100% alsacien et pour le RCS, je prendrai même l'accent s'il le faut -
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strohteam a écrit, le 2010-03-14 19:47:11 : Impossible d'afficher la vidéo YouTube 3bItXJdXeeg via l'API
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Vous faites un peu ch*** avec défiance constante...
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Disons que quand Plessis parle, il a quand même plus de crédit que lorsque c'est Fontenla.
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rc-micky a écrit, le 2010-03-14 20:12:47 :
Vous faites un peu ch*** avec défiance constante...
Bon j'ai écouté l'interview.
Ce n'est pas de la défiance envers Plessis. Il a l'air sympa, il a de la gouaille, de la bonne volonté. En même temps il dit pas grand chose, à part qu'il est content.
Le truc c'est qu'on voit bien qu'il n'a pas encore mis les pieds à Stras, et qu'il n'a pas encore rencontré le col roulé (ça se fera mercredi a priori). Pour l'instant il est comme Dayan : il a eu des garanties, il sera seul maître à bord, Isenegger va filer doux, etc. Dayan a dit exactement la même chose début janvier, on a vu le résultat. Je pense que toutes ces garanties vont s'effilocher à la vitesse grand V et que Plessis se fera piéger comme les autres. Entre temps, Fontenla aura encore gagné 2 moi, 6 mois ou peut-être 1 an. La caution de types comme Plessis lui sert à enraciner sa politique du pourrissement. -
Grosso modo depuis que Fontenla est au club, l'impression est très contradictoire.
C'est encore une fois le cas avec la nomination de Plessis qui au demeurant et dans d'autres circonstances serait plutôt une bonne nouvelle. L'homme a fait ses preuves, il est compétant, il a ce mélange de grande gueule et de diplomatie qui pourrait bien aller au Racing.
Mais dans l'immédiat on a plutôt l'impression d'un papy jovial encore sous le coup de son pot de retraite et qui a envie d'aller un peu pétarader joyeusement sans en mesurer les conséquences.
Et face, il reste Fontenla, qui a fait ses preuves aussi
Concernant cette nomination, on ne peut pas se défaire de l'idée d'une volonté de casting et d'alibi de sa part. D'ailleurs la foi de Plessis en la parole de Fontenla et d'Hilali laisse perplexe.
Pour ma part, le mélange est détonnant. Et si un moteur à explosion bien règlé pourrait propulser le Racing vers l'avant, j'ai plutôt l'impression d'une explosion tout court dans ce cas bien précis. -
J'ai un titre pour quand il va se retrouver tout seul au milieu du Dallas racing: "Plessis Robinson"
Sinon dommage que Daniel Damm ne joue pas au Racing. J'avais aussi "Jean-Claude vend Damm"
Bref, je suis prêt :D -
T'as l'air surtout fatigué à mon humble avis. :p
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Aussi. 2h20.
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Jean-Claude Plessis, le successeur annoncé de Luc Dayan à compter du 24 mars, réaffirme sa foi en sa capacité à relancer le Racing. Conscient de l'environnement agité, il espère organiser une paix des braves en mesure de sauver le club strasbourgeois.
- Vous vous préparez à être le 5e président du Racing cette saison. Pourquoi avoir annoncé la perspective plus de dix jours avant sa concrétisation ?
- Ça démarre effectivement pour moi le 24 mars. Je ne pouvais pas passer à côté d'une saison pareille à Strasbourg ! En ce qui concerne la chronologie, j'ai considéré que les joueurs avaient besoin de savoir. J'ai informé Pascal Janin dès vendredi, avant le match. Savoir qui sera leur interlocuteur peut résoudre quelques problèmes au niveau des joueurs, du personnel et des supporteurs.
- L'environnement du Racing est néanmoins extrêmement agité. Cela ne vous inquiète-t-il pas ?
- Au niveau des actionnaires, au niveau des relations avec la mairie, cela se réglera ou cela ne se réglera pas. L'important, aujourd'hui, c'est que le club soit sûr d'être en L 2 la saison prochaine. Il y a une marge de cinq points. Je crois que l'on sait assez bien en Alsace que rien n'est acquis à ce moment de la saison. Il y a un an, à cette époque, le Racing était en L 1 me semble-t-il. Le projet, en premier lieu, c'est donc que le Racing assure le maintien.
« L'expérience va peut-être me servir »
- Alors que Julien Fournier et Luc Dayan ont échoué depuis décembre, qu'est-ce qui vous faire croire que vous allez réussir ?
- L'expérience va peut-être me servir. Et j'entends ne pas avoir autour de moi des gens qui parasitent mes décisions. Cela n'a pas été le cas avec Julien Fournier par exemple. Je choisirai les joueurs, je prendrai les principales décisions sportives. Et puis je pense être en mesure de convaincre des actionnaires qui, pour l'instant, découvrent le foot.
- Des actionnaires qui se sont mis tout le monde à dos...
- Des mots graves ont été dits, effectivement. Je pense que des excuses vont vite venir. Je me mets à la place du maire, il n'est pas supportable de voir des termes comme ça prononcés (ndlr : Alain Fontenla a parlé d'un environnement mafieux et d'une zone de non-droit il y a huit jours). Mais d'un autre côté, il faut une paix des braves, parce que sinon, l'équipe va droit en National. Sur la ligne de départ, il y avait un effectif pour monter. Le climat a fait que le Racing se trouve dans cette situation.
- Avez-vous obtenu de pouvoir travailler librement ?
- J'ai toutes les garanties de ce côté. A mon âge, je ne vais pas me laisser embêter. J'avais vraiment envie de retrouver l'odeur du vestiaire. Je vais suivre l'équipe sur tous ses matches, à la Meinau comme à l'extérieur. En tant que dirigeant, je n'en ai jamais raté. En fait si, trois en tout et pour tout. A cause du mariage de mes belles-filles. Si elles étaient restées vieilles filles, j'aurais fait un carton plein !
« A Manchester, personne ne supporte non plus l'actionnaire principal »
- Mais n'avez-vous pas l'impression d'être au coeur de relations inextricables qui risquent de nuire à votre action ?
- Les actionnaires se sont rendus compte qu'ils ne s'y sont pas pris de la meilleure des manières. Mais bon, ce n'est pas non plus la garantie d'un échec.
A Manchester United, personne ne supporte non plus l'actionnaire principal et cela ne tourne pas trop mal. Je sais ce qui s'est passé, notamment par le biais de Léonard Specht avec qui j'ai été en contact avant d'accepter la mission.
Et il faut bien se résoudre à une situation : ceux que vous avez pris l'habitude d'appeler les Londoniens ne veulent pas vendre. A partir de là, ce n'est pas une raison pour empêcher le club de tourner. Je suis prêt à assumer mon rôle et, s'il faut trouver quelqu'un à insulter, je veux bien être celui-là.
D'un autre côté, si c'est la Saint-Barthélemy au-dessus de moi, c'est vrai que je ne pourrai pas faire grand-chose.
- On a tout de même le sentiment qu'après une saison d'ores et déjà difficile, le Racing a pris du retard pour la suivante. Ne craignez-vous pas d'être dans l'urgence pour de longs mois ?
- On est au mois de mars. Et par rapport aux autres clubs, on n'est pas particulièrement en retard. Ailleurs, ils ont simplement prolongé l'un ou l'autre joueur. Et dans la perspective de l'actuelle saison, les joueurs ont bien conscience que mieux ils joueront, plus ils auront de chances d'avoir de bonnes offres pour la suite de leur carrière.
Ensuite, il est sûr qu'il me faudra quelques jours pour me faire une idée. Je m'appuierai sur les cadres en place. Et, de toute façon, on devra composer, à moyen terme, un amalgame de joueurs d'expérience et de jeunes. J'ai fonctionné de la sorte à Sochaux, presque tout le temps.
« Il faut se débrouiller »
La famille Peugeot ne donnait pas d'argent. De toute façon, il faut se débrouiller. On peut y arriver, avec toute une équipe pour rallier les sponsors, les partenaires et les bonnes idées autour de ce club.
- L'ennui, également, c'est que vous vous retrouverez à la tête d'un club de L 2 qui a un train de vie de L 1. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
- Que si j'ai 10 000 euros à dépenser, je préférerai les consacrer à un joueur qu'à un cadre dirigeant ou technique. On se retrouve dans des situations de sureffectif en pareil cas.
- Le Racing ne pourrait-il pas simplement être dans une impasse ?
- Strasbourg, ça vaut le coup. C'est une capitale, c'est à côté de l'Allemagne et il y a un autre bassin de population qu'à Sochaux. J'y crois vraiment. Je vais trouver ma place, je vais m'investir. Je n'ai pas l'habitude de perdre et je ne me vois pas arrêter ma carrière sur un échec. Je serai à Strasbourg pendant deux mois, alors que ma femme demeurera à Toulouse.
- Votre calendrier vous imposait un rendez-vous important, vendredi soir. Serez-vous quand même dans les tribunes de la Meinau pour la venue de Brest ?
- Oui, si je n'y étais pas, je commencerais très mal ma mission. Il y a la Nuit des Étoiles, un rendez-vous annuel et festif à Belfort dont je suis président d'honneur. Mais il n'est pas concevable que je ne sois pas présent au match.
DNA -
Des discours plutôt volontaires et rassurants, où il replace l'équipe au centre des préoccupations, c'est effectivement ce que l'on peut attendre de lui dans l'immédiat. Il faudra un peu de temps pour savoir si la mayonnaise peut monter, mais pour l'instant c'est assez satisfaisant.
Je remarque la sortie d'André Bord, comme d'autres parmi les candidats à la reprise avant lui, il ne prend pas J.L. Plessis de front, il déclare simplement qu'il fait une erreur et cherche à le dissuader de s'engager plus avant.
Cela résume en fait la position où se trouvent les opposants à Fontenla. Ils ne peuvent contester la crédibilité de J.L. Plessis et n'ont qu'une crainte, c'est qu'il vienne et qu'il réussisse à amadouer leurs alliés (la ligue, la municipalité, une partie du public). Si de plus, il venait a avoir des résultats sportifs, s'en serait fini pour longtemps de leurs prétentions à reprendre le club.
C'est un beau coup qu'à réalisé là Alain Fontenla. Reste à savoir s'il saura transformer l'essai pour le bien du club où si ce n'est qu'un coup de communication sans lendemains. Son avenir au Racing est de plus en plus suspendu à la réussite de J.C. Plessis.
C'est aussi un piège tendus aux opposants. S'ils essayent ouvertement de saboter ce qu'entreprendra J.L. Plessis, ils se décrédibiliseront également et le Racing sombrera alors définitivement. Ils n'ont en fait qu'un espoir, c'est que J.L. PLessis se plante, mais ils sont condamnés à un rôle de simple observateurs. -
sedna a écrit : et n'ont qu'une crainte, c'est qu'il vienne et qu'il réussisse à amadouer leurs alliés (la ligue, la municipalité, une partie du public). Si de plus, il venait a avoir des résultats sportifs, s'en serait fini pour longtemps de leurs prétentions à reprendre le club.
Ils n'ont qu'une certitude, c'est qu'il se plante. Comment peut on espérer quoique ce soit avec simplement Ralf Isenegger dans les parages ? -
En gros, Plessis se fait chier avec bobonne et cherche un plan stade le vendredi quoi... Le pauvre. :(
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J'espère sincèrement que la majorité a tord et qu'il réussiront avec plessis a la barre, après je serai de curieux de voir combien reconnaitront avoir tord, je pense que si la mayonnaise prend tout le monde ce cherchera des excuses et ne reconnaitront en rien c'est planté en accordant aucun crédit a l'équipe qui essaie de ce mettre en place et qui essaie et aimerait bien travaillé tranquillement pour prouver qu'il puissent y arrivé.
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(pour répondre aux certitudes de Jamal)
J'ai oublié de consulter ma boule de cristal ce matin...
J'essaye juste d'avoir un point de vue objectif en faisant abstraction de toute passion. Ce qui se passe au Racing depuis quelque temps ressemble beaucoup à une partie d'échec, il faut avoir toujours quelque coups d'avance en tête, essayer de prévoir ce que fera l'adversaire, ne pas se découvrir trop vite et tenter de masquer ses attaques.
J'essaye aussi de ne pas tomber dans le piège du manichéisme entre le grand méchant loup Fontenla (et forcément toute son équipe) et les grands seigneurs locaux, chevaliers sans peurs et sans reproche.
Tout ce qu'a fait A. Fontenla jusqu'ici se résume en fait à peu de chose et c'est exactement ce qu'on doit lui reprocher. Il n'a pas agi ni établi une ligne directrice solide pour l'avenir du club et s'est limité à la petite guerre de tranchée avec les locaux, hésitant lui-même entre tout laisser tomber et relever le défi. Cela nous a coûté trois mois d'immobilisme alors que la situation du club exigeait dés avant sa venue de prendre des mesures énergiques.
On ne peut pas forcément le rendre coupable de tous ces retards, mais il aurait certainement pu mieux gérer cette situation en soignant sa communication et en ne se montrant pas indécis.
La nomination de J.C. Plessis change la donne c'est une évidence. Le retour d'Isenegger n'est qu'un épouvantail agité par les opposants à Fontenla. Je suis persuadé qu'il aura la sagesse de le garder à l'écart de toute fonction au club et cela même au conseil de surveillance. Ces trois mois de confusion lui ont quand même sans doute appris certaine choses quand au milieu du football et de se méfier particulièrement des passions prompte à s'exacerber au Racing.
Pour moi, si J.L. PLessis réussit, le Racing peut retrouver sa place dans le football français. L'échec est possible car cela peut aussi être un rideau de fumée de la part des londoniens, le risque existe. Dans ce cas les locaux auront à leur tour leur chance, il repartiront de plus bas certes, mais ils en auront alors les moyens et les mains libres.
En revanche, s'ils tentent de façon trop visible de saboter ce qui pourrait être entrepris, il seront alors disqualifiés. -
Point de vue objectif en tenant le type de propos cité ? Mouai... Laisses moi penser le contraire, que tu ne l'es carrément pas :)
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sedna a écrit, le 2010-03-15 09:00:36 : Je suis persuadé qu'il aura la sagesse de le garder à l'écart de toute fonction au club et cela même au conseil de surveillance.
Tout ça c'est dans l'hypothèse où il n'est qu'un cornichon maladroit sincèrement désireux de réussir, il qu'il peut acquérir un peu de sagesse avec le temps. Je pense pas que ça soit tout le temps le cas. La recherche du petit bonus, l'orgueil mal placé,... beaucoup de choses semblent s'en mêler. -
Je ne voulais pas te froisser, mais simplement indiquer que pour ma part, je n'avais pas de certitudes.
P.S. (toujours pour Jamal) -
?! Tu n'as pas de certitudes mais tu annonces pourtant ta couleur concernant les investisseurs locaux...
Bref, soit cohérent, un peu... -
En même temps s'il y a bien un stubiste qui tourne sa langue 7 fois avant de poster, qui semble toujours peser le pour et le contre qui tente un maximum de prendre du recul, c'est bien sedna. Je trouve injuste de l'accuser de subjectivité à outrance et de se voiler à la face juste parce qu'il n'appelle pas à l'écartèlement sur place publique de Fontenla. Surtour qu'il ne fait pas un jugement de valeur sur les locaux ou Fontenla, il élabore juste des scénarios de ce qu'il pense être en train de se jouer.
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zottel a écrit, le 2010-03-15 09:17:11 : sedna a écrit, le 2010-03-15 09:00:36 : Je suis persuadé qu'il aura la sagesse de le garder à l'écart de toute fonction au club et cela même au conseil de surveillance.
Tout ça c'est dans l'hypothèse où il n'est qu'un cornichon maladroit sincèrement désireux de réussir, il qu'il peut acquérir un peu de sagesse avec le temps. Je pense pas que ça soit tout le temps le cas. La recherche du petit bonus, l'orgueil mal placé,... beaucoup de choses semblent s'en mêler.
Oui pour le moment rien n'indique qu'il soit capable/souhaite évoluer. J'ai toujours autant de mal à comprendre comment ce gugusse aussi maladroit et puéril a pu faire fortune dans la finance, il a pas hérité plutôt ?! -
J'ai jamais insinué que lui ou qui que ce soit d'autre devait cracher sur Fontenla, je n'arrive juste pas à comprendre pourquoi on lui accorde du crédit après les 4 derniers mois et que le seul argument récurrent contre les locaux est toujours le même à savoir la jalousie, la soif du pouvoir.
Si c'était le cas, ils avaient largement les moyens de faire tout un foin quand Ginestet était présent, de l'obliger à vendre, etc... Ils ont attendus d'être présentés au nouvel actionnaire sans jamais rien revendiquer, preuve qu'ils n'étaient pas contre la venue d'un quelconque investisseur étranger.
Mon commentaire se voulait ironique à demi mesure quand je disais qu'ils (et non je) ont la certitude que Plessis se plante suite à la certitude de sedna que la seule obsession des alsaciens s'arrêterait à la hauteur de leur nombril.
Bref fin du hs. -
iuliu68 a écrit, le 2010-03-15 10:07:13 : En même temps s'il y a bien un stubiste qui tourne sa langue 7 fois avant de poster, qui semble toujours peser le pour et le contre qui tente un maximum de prendre du recul, c'est bien sedna. Je trouve injuste de l'accuser de subjectivité à outrance et de se voiler à la face juste parce qu'il n'appelle pas à l'écartèlement sur place publique de Fontenla. Surtour qu'il ne fait pas un jugement de valeur sur les locaux ou Fontenla, il élabore juste des scénarios de ce qu'il pense être en train de se jouer.
C'est pas non plus sale d'être subjectif ou d'émettre des jugements de valeur. Suffit de l'assumer et de le dire. C'est déjà un présupposé de songer qu'il essaye, de façon univoque, de faire réussir le Racing. Et donc qu'il ne peut que se comporter raisonnablement avec Ralphy, enfin comme on le ferait tous. Beaucoup feraient le présupposé inverse.
esca4ever a écrit, le 2010-03-15 10:16:47 : zottel a écrit, le 2010-03-15 09:17:11 : sedna a écrit, le 2010-03-15 09:00:36 : Je suis persuadé qu'il aura la sagesse de le garder à l'écart de toute fonction au club et cela même au conseil de surveillance.
Tout ça c'est dans l'hypothèse où il n'est qu'un cornichon maladroit sincèrement désireux de réussir, il qu'il peut acquérir un peu de sagesse avec le temps. Je pense pas que ça soit tout le temps le cas. La recherche du petit bonus, l'orgueil mal placé,... beaucoup de choses semblent s'en mêler.
Oui pour le moment rien n'indique qu'il soit capable/souhaite évoluer. J'ai toujours autant de mal à comprendre comment ce gugusse aussi maladroit et puéril a pu faire fortune dans la finance, il a pas hérité plutôt ?!
C'est pas ma formation, ce type est de toute façon un martien pour moi. Après, s'il était vraiment "trader", si je me souviens bien de Kerviel, c'est quand même un gars qui vivait essentiellement en tête à tête avec un ordi. Pas un patron-homme de médias.
Discussion verrouillée.
