Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2008-2009] Bastia-RCS | Avant-Match

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Flux RSS 189 messages · 10.660 lectures · Premier message par zero-zero · Dernier message par mektub3

  • Mmmh deadwing toi non plus tu n'as pas capté l'ironisation de Mektub lol
  • Ah ok, petite erreur alors ^^ ça arrive, surtout de nos jours ;)
  • Ce match là est sans conteste un tournant. Soit on prend le bon virage, soit c'est la sortie de route. Avec un groupe aussi fragile, je n'ose espérer une nouvelle branlée... La crainte de nos adversaires en début de saison s'est envolée. Aujourd'hui le Racing ne fait plus peur, c'est d'ailleurs tout juste si les médias s'intéressent encore à nous (plus ou peu de retransmission tv).
  • Oui enfin ça fait quelques semaines qu'on nous fait le coup du tournant "sans conteste" ;)
    D'ailleurs je conteste, preuve que ce n'est pas sans [-(
  • Nous enlever plus ou moins l'étiquette de favori à l'accession ne pourra nous être que bénéfique ;)
  • ah bon? Moi je préfère être en bonne position plutot que de courir derrière les premiers...
  • Ce qui serait pratique, c'est de jouer le maintien en L2, naviguer vers la 17ème place, comme ça, l'étiquette de favori, on en sera débarrassés définitivement. (+)
  • Deroff serait d'accord avec cette idée, parce que la pression, c'est mal :D
  • katzo68 a écrit, le 2009-01-27 22:43:51 :
    Nous enlever plus ou moins l'étiquette de favori à l'accession ne pourra nous être que bénéfique ;)


    Avoir 15 points d'avance sur le 4ème aussi nan ?
  • Nous enlever l'étiquette, n'a jamais été une certitude que nous ne monterions pas, ou bien?
  • C'est des excuses bidons ça, il y a deux ans on était favoris est on est comme même montés [-(
  • nivek a écrit, le 2009-01-27 23:10:47 :
    C'est des excuses bidons ça, il y a deux ans on était favoris est on est comme même montés [-(


    Meme du coté des supporters on commence a avoir la furlan attitude !
    L'excuse attitude !
    :o) :o) :o)
  • Une rencontre « charnière »

    Le Racing, qui a déjà affronté à deux reprises Bastia cette saison, rencontre une nouvelle fois une équipe corse qui joue gros lors de cette 21e journée de championnat. Les explications de Pascal Camadini, Corse de naissance et Alsacien d'adoption.

    A qui la belle ? Telle pourrait être la question avant ce déplacement du Racing à Bastia, dans le cadre de la 21e journée de L 2.
    Pour l'instant, les affrontements entre l'équipe corse et l'équipe alsacienne se soldent par un match nul. Les Strasbourgeois l'ont en effet emporté en championnat en août (1-0, but de Carlier) avant que les Bastiais ne prennent leur revanche en éliminant le RCS de la Coupe de la Ligue (1-2), à la Meinau.

    « Je m'attendais à mieux de leur part que cette 10e place »

    Dès lors, difficile de faire un pronostic avant cette 3e confrontation, surtout que depuis la fin de l'été, ces deux équipes ne sont plus vraiment les mêmes.
    Le RCS a sérieusement baissé de pied ces dernières semaines, perdant logiquement sa place sur le podium, pendant que les Corses, qui avaient bien débuté leur championnat eux aussi, se sont endormis dans un faux rythme.
    « A Strasbourg, lors du match de Coupe, les Bastiais avaient été très bons, se souvient Pascal Camadini, jeune retraité des terrains qui garde toujours un oeil sur son ancienne équipe. Ils avaient joué avec le coeur et les tripes et eu un gros impact physique. Mais franchement, je m'attendais à mieux de leur part que cette 10e place actuelle en championnat ».
    Mais pour tutoyer le haut du classement, encore aurait-il fallu que le Sporting enchaîne. Or depuis l'automne, le SCB n'a jamais réussi à faire une série et reste scotché dans le ventre mou de L 2. Au point que les Bastiais ne sont plus qu'à 5 points du premier relégable et n'ont qu'une seule crainte : être aspirés vers le bas.
    Bref, Bastia n'est pas au mieux, même à domicile où son « parcours n'est pas extraordinaire », comme le rappelle Pascal Camadini.
    Le bilan des Corses à Furiani n'a en effet rien de terrifiant, avec 4 matchs nuls, 4 victoires et une défaite (face à Lens).

    « S'ils perdent vendredi, la fin de saison deviendra très compliquée »

    Résultat : la pression est plus du côté corse que du côté alsacien, comme le souligne encore Pascal Camadini. « Pour eux, c'est encore plus un match charnière que pour le Racing, car c'est la dernière occasion de revenir à une place d'outsider. S'ils veulent recoller au haut de tableau, ils doivent faire une série de victoires. Et s'ils perdent vendredi, la fin de saison deviendra très compliquée », analyse encore le Corse.
    Et même si les Bastiais ont la réputation de répondre présents face aux « gros » - comme cela avait été le cas face à Lens, où Bastia s'était incliné contre le cours du jeu -, le Racing a une réelle chance à saisir vendredi.
    « J'ai vu Bastia il y a 15 jours face à Clermont. Ils ont gagné mais c'était laborieux, poussif », expose l'ancien milieu de terrain pour justifier son optimisme. Un optimisme accru par l'incertitude concernant la participation de Pierre-Yves André (touché au genou), « pion essentiel de Bastia ».
    « S'il ne joue pas, ce serait un vrai coup dur pour Casoni », poursuit encore Camadini. Et une vraie aubaine pour les Strasbourgeois, à la recherche d'une victoire depuis celle remportée face à Boulogne le 21 décembre.


    DNA
  • « Strasbourg n'a rien d'un foudre de guerre »

    C'est un Racing bien pâle qui s'en va rendre visite à des Bastiais, pas au top non plus. Entre désamour du public, absence de combativité et entraîneur incompétent, Banditu nous passe tout au crible. Entretien.

    Cliquez ici pour lire la suite de cet article
  • Etiquette ou pas, favoris ou pas, pression ou pas...
    De toute façon comme le it bien les DNA ça reste un match charnière.
    Si on ne gagne pas on perdra pas mal de terrain sur ceux qui nous devancent + Montpellier.
    Maintenant perso j'ai pronostiqué une victoire de Bastia...lol

    Je ne vois pas comment cette équipe peut réagir.
    Ils sont apathique, comme l'année dernière au moment leur "record"...
    Furlan dit il ne faut pas perdre...alors que merde !
    On joue la montée ou quoi ??

    Alors au moins qu'on y aille avec les tripes !
    Qu'ils mouillent le maillot et se déchirent sur le terrain !
    Même si défaite il y a, je préfère que ce soit sur de la malchance ou du manque d'efficacité, plutôt qu'à cause d'états d'âme de certains joueurs qui se prennent pour des ministres...
  • yannou a écrit, le 2009-01-27 16:27:12 :
    Qu'est ce que tu proposes Dolores comme solution en cas de plusieurs contre performance du Racing? faudra bien réagire non?


    Bah chépa... j'avais posté ça aussi dans mon message, tu as du le zapper...

    Citation:
    La moins pires des solutions consisterait à mettre un membre du staff aux manettes de l'effectif pro. Et là pour 5 mois d'intérim, je vois bien un Alex Vencel relever le défi.
    Au pire on se plante... mais on ne perd rien financièrement.


    J'ai oublié de préciser que Furlan aura tout le loisir de s'occuper de ce qu'il veut, à partir du moment ou il ne touche plus à l'équipe première. Qu'il adopte la Abou attitud', "j'encaisse le chèque à la fin du mois", c'est la meilleure chose qui puisse nous arriver.
  • On ferait bien d'aller à Bastia dans l'optique de chercher le match nul, parce qu'à l'état actuel des choses, si on va en Corse pour l'emporter, on se prendra une rouste monumentale. La rencontre qu'il faudra absolument remporter pour ne pas se faire distancer dans la course à la montée, c'est celui contre Brest.
  • Affaire Kébé fin ?

    L'attaquant du Racing a été au coeur d'un sacré maelström à la faveur de ses rendez-vous passés avec Bastia. Boubacar Kébé espère tourner la page à la faveur de vendredi, sans trop y croire. A tort ?

    Évidemment, cela ne peut être un match comme les autres. D'ailleurs, la rencontre d'une individualité strasbourgeoise avec les suiveurs du camp bastiais n'aura peut-être pas lieu. Entre Boubacar Kébé, l'attaquant du Racing, et le Sporting Club de Bastia, cela n'est franchement pas une histoire d'amour. Il a même été question d'exprimer de la haine. Et cela a eu tendance à agiter le landernau footballistique français, pour beaucoup de bruit et, aujourd'hui, pour rien.
    La mise à feu de la poudre est intervenue le 14 septembre 2007. Le Burkinabé porte le maillot de Libourne qui affronte Bastia en Gironde. Les deux équipes sont à égalité (2-2), quand l'actuel attaquant strasbourgeois s'en va tirer un corner devant quelques-uns des plus écervelés suiveurs corses. Des insultes racistes fusent. Le joueur leur répond par un doigt d'honneur, est expulsé et les visiteurs remportent la mise, à la faveur de deux buts inscrits en supériorité numérique (2-4).

    « Je vais me faire bombarder »

    S'ensuivent des rodomontades politiques - le maire de Libourne s'en mêle - et institutionnels - Frédéric Thiriez proclame prendre le problème à bras le corps - pour, dans un premier temps, le retrait d'un point pour les Bastiais. Lors du match retour, programmé le 22 février 2008, on gravit quelques échelons dans le mauvais goût. Blessé, Boubacar Kébé a fait l'impasse sur le rendez-vous mais une banderole rappelle que la bêtise ne s'édulcore pas avec le temps : « Kébé, on n'est pas raciste, la preuve, on t'e....e. »
    Le Sporting est condamné à un match à huis clos et perd deux points au classement. Dans un contexte envenimé par un incident à Metz, qui touche le Valenciennois Ouaddou, ou encore par la banderole anti-ch'ti déployée au Stade de France par les suiveurs du PSG lors de la finale de la coupe de la Ligue entre Paris et Lens, Boubacar Kébé devient un symbole.
    Il s'en passerait bien. Quelques mois après, du côté d'Ittenheim, au terme de l'entraînement d'hier, il préfère volontiers éviter le sujet, même s'il ne se fait guère d'illusion : « je vais me faire bombarder. » Steven Pelé passe dans son dos et le charrie : « en fait, il flippe ! »
    « Non, je ne flippe pas, rétorque l'intéressé. Ceux qui s'en sont pris à moi ne seront pas au stade puisque l'incident s'est passé à Libourne. Je veux tourner la page, même si le téléphone a sonné depuis le début de la semaine. J'ai envie de jouer, mais pas parce que c'est un match particulier, mais parce que c'est un match important pour Strasbourg. Cela serait pareil face à Nîmes, Châteauroux ou Metz. »

    « On peut faire confiance à l'intelligence humaine »

    L'intéressé joue la carte de la banalité. A ses côtés, on perçoit l'échéance sur un autre ton. « On passe au-dessus de ça, explique Jean-Marc Furlan, qui avait l'intention de titulariser le transfuge de Nîmes avant qu'une alerte à la cuisse ne remette en cause ses plans. On ira à la lutte contre l'esprit xénophobe et étroit et on peut faire confiance à l'intelligence humaine. »
    En Corse, les dirigeants ont veillé à ce qu'un 3e épisode pathétique ne corresponde à la suite du triste feuilleton. Si les auteurs de la banderole n'ont pas été appréhendé, un dialogue entre les dirigeants et les plus virulents des supporteurs laisse espérer un point final bienvenu au triste dossier. Rappelons que sur le terrain juridique, le tribunal administratif de Bastia a annulé les sanctions infligées au club corse.


    DNA
  • Pele et Marcos titulaires

    A peine rétablis, déjà titulaires. Hier à Ittenheim, ou le Racing a délocalisé son entraînement pour "fuir" les terrains annexes de la Meinau en partie gelés, Jean Marc Furlan a annoncé que le défenseur Steven Pelé et l'attaquant brésilien Marcos seraient titularisés demain (20h) à Bastia. L'entraîneur strasbourgeois a convoqué 18 joueurs pour la séance de veille de match ce matin (10h), toujours à Ittenheim. Après la débâcle de jeudi dernier à Reims (4-1), l'équipe sera remodelée. Renaud reintégrera l'entre-jeu aux côtés de Guillaume Lacour. La rentrée de Pelé pourrait faire glisser Pierre Ducrocq sur le flanc droit de la défense. Et le retour de Marcos entraînera le décalage d'Emil Gargorov sur la gauche. Du coup, Simon Zenke est en balance sur le flanc dropit avec un James Fanchone en perte de vitesse. Boubacar Kébé sera reconduit en pointe, à moins que la légère douleur ressentie à la cuisse hier ne l'empêche de tenir sa place. Auquel cas Zenke pourrait évoluer seul devant.

    L'équipe possible: Cassard, Szelesi ou Ducrocq, Pelé, Paisley, J-A. Fanchone, Cohade, Lacour, J. Fanchone ou Zenke, Marcos, Gargorov Kébé ou Zenke. Remplacants: Shereni, Traoré, Bah, Szelesi ou Ducrocq, Zeke ou J. Fanchone, Carlier, Gurtner.

    Victime d'une tendinite d'Achille depuis le début de semaine, le Zimbabwéen Harlington Shereni va mieux. S'il est déclaré apte en fin de matinée, il accompagnera ses partenaires en Corse.

    L'Alsace
  • On devrait avoir droit à cela :

    Equipe


    Bien, donc, retour des cadres et des joueurs manquants "importants selon le Fufu", donc plus d'excuses si débâcle il y a ... sinon on pourra commencer à penser sérieusement à des erreurs de directives dans le choix de consignes de jeu et d'un manque "d'enthousiasme" des joueurs à appliquer le système "Furlan".

    Le pavé est lancé ... :-w
  • Il pourra toujours dire que ces cadres manquent de rythme :-w
  • J'aurai préféré cela :

    Equipe
  • Ducrocq arrière droit ?!?! Mais c'est quoi cette lubie de Furlan encore. Ducrocq a été mauvais à chaque fois qu'il a été placé sur le côté, et pour cause, c'est pas son poste...

    On a l'impression que JMF veut couper la poire en deux : il veut faire revenir Pelé mais comme Ducrocq a été un des moins pires ces derniers temps, on le garde dans le 11.. Sauf qu'il n'a rien à faire en arrière droit.

    Si Furlan ouvrait les yeux il pourrait aussi se dire que, quitte à mettre Ducrocq et Pelé, Paisley pourrait aller faire un petit tour sur le banc. Après tout on a bien fait quatre victoire de suite et 5 matches sans défaite en championnat quand il était pas là en début de saison.
  • Sinon, pour faire jouer les 3, il est toujours possible d'aligner une composition de ce type:

    Equipe
  • Moi, peu importe la compositon de l'équipe que l'on aura, je nous sens bien revenir de Corse avec une valisette.
    A moins que... :-$
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